La Science de la logique

supposeront jamais vrai ce qui est faux, et parviendront sans se fatiguer en efforts inutiles, mais en accroissant progressivement leur science, à la connaissance vraie de tout ce qu’ils peuvent atteindre. » dans « Règles pour la direction de l'esprit ». Selon Leibniz et Hume, les vérités démontrées sont divisés entre les vérités de raison : vérités logiques ; et les vérités de fait : vérités vérifiées par l’expérience. Les premières n’ont pas besoins d’expérience pour être démontrées. Elles peuvent

demandée a existé ou existe. Il s’agit également de savoir s’il est possible qu’une telle chose existe. Dans ce cas il faut réfléchir aux conditions qui rendent possible l’existence de la chose. Ces conditions peuvent être physiques, matérielles ou bien logiques et rationnelles. La notion de vérité se comprend d’abord par sa définition traditionnelle comme « adéquation [ concordance ou conformité] entre la chose et l’esprit ». Est vrai non pas un être ou une chose ou encore un fait historique, mais un énoncé

général, une vérité est donc une représentation mentale ou une expression conforme à la réalité (on l'appelle alors « vérité de fait » ou « vérité nécessaire » pour Leibniz). On distingue aussi une « vérité de raison » répondant aux principes de la logique. On peut également dire que le concept de « vérité » est proche de celui d’ « objectivité ». Mais il s'agit ici de mots, c'est-à-dire d'éléments de langage, de signes ayant un sens convenu que chacun connaît. Ces signes sont des inventions humaines

Histoire des sciences Cours de 7 séances. David AUBIN. L’histoire des sciences. L’épistémologie (science de la connaissance) et la philosophie des sciences sont des domaines assez proches. La sociologie des sciences est un autre domaine mais il y a de nombreux ponts entre la sociologie des sciences et l’histoire des sciences. Ce qui est important est d’aborder les sciences sous tous ses aspects. Il faut intégrer les aspects philosophiques et sociologiques. 3 grands objectifs : comprendre les

Mi-XIXème, la conception dominante est celle que vulgarise Benjamin Constant qui divise l’humanité religieuse en 3 âges : - fétichisme - polythéisme - théisme Auguste Comte, positiviste, radicalise cette pensée (CF ANNEXE).  Loi des 3 états. Science contre religion. - L’état théologique. L’homme recherche les causes des phénomènes dans les puissances surnaturelles. Il peut être subdivisé : fétichisme (on divinise des êtres vivants, des objets), polythéisme (on divinise des puissances), théisme

des Traitements MCT.......................................................................... 11 1.6 Modèle Logique............................................................................................................................... 13 1.6.1 Modèle Logique de Données MLD ....................................................................................... 14 1.6.2 Modèle Logique de Traitements MLT .................................................................................. 14 1.7Modèle

; les vérités de raison d’une part , les vérités de fait, d’autre part. Les vérités de raison sont les vérités qui concernent les sciences formelles ( logique et mathématiques ) ; les vérités de raison sont donc celles qui sont démontrables. Qu’est-ce que démontrer ? Démontrer, au sens précis du terme , c’est montrer la nécessité d’une proposition. Ainsi, la logique, qui est l’étude des règles que doit adopter la pensée pour être cohérente, montre –t-elle que si je dis que « tous les hommes sont

 la  Science   Louis-­‐Ernest  Barrias  (1899),  Paris,  Musée  d’Orsay       Sommaire         Introduction…………………………………………………………….......................................................................p01         I.  Objectivité  et  énoncés  scientifiques……………………………………………………………..p13     A.  L’association  naïve  entre  énoncé  de  fait,  objectivité,  et  science………………………

comment, ils n'eurent pas inventé le terme de science. Ce terme est réellement appliqué sous son aspect de discipline en Grèce antique, c'est ce que les historiens s'accordent à dire face à Leucipe de Milet et Démocrite qui postulaient déjà, et sans aucune information quant à la matière, que notre monde était composé d'atomes ! Bien entendu, la science n'est alors pas développée sous sa forme qu'on lui connaît aujourd'hui, mais des techniques de logiques forgent une pensée, qui bien qu'elle est dépassée

- Pour Bacon, « la science véritable est la science des causes ». Il s’oppose à la logique aristotélicienne qui établit un lien entre les principes généraux et les faits particuliers : pour lui, la logique se borne à exposer des découvertes déjà existantes et ne fait pas de vérification. - Il abandonne la pensée déductive, qui procède à partir des principes admis par l’autorité des Anciens, au profit de l’« interprétation de la nature », où l’expérience apporte des connaissances nouvelles. Ainsi