La Science de la logique

vais tenter de retracer un bref historique de l’évolution de cette science humaine, pour comprendre le paradigme relativiste dans lequel elle s’inscrit actuellement. Tout d’abord, l’objet d’étude de l’anthropologie est révélé par son étymologie : l’Homme. Ainsi, l’objet anthropologique est un sujet, c'est-à-dire que l’anthropologue étudie des interactions de femmes et d’hommes dans un cadre socio-culturel, par opposition aux sciences dites « dures » qui ont une distinction claire entre le scientifique

sans règles et être plus réaliste, ils imitent les grecs et les romains qui étudient les corps humains, les portraits, le nu, la nature, donc il s’inspire de l’antiquité qui mette l’homme au entre de ces intérêts. • La perspective : La science neuve de la perspective donne l’illusion de la troisième dimension, qui met en évidence le réalisme. Les peintres vont utiliser à présent la perspective avec un seul point de fuite pour donner de la profondeur à l’œuvre. En imitant les grecs qui ont

L’Emergence de la Pensée Logique La Pensée philosophique grec se développe entre -500 et 500. Ailleurs dans le monde, Lao Tseu en Chine et Bouddha en Inde vont développer leur propre modèle de pensée. L’Homme cherche a comprendre ce qu’il est en se basant sur la raison, voulant agir sur son destin. Les penseurs grecs vont se poser 3 questions fondamentales : Blackboard. On s’éloigne d’une conception mythologique du monde. L’objectif des grecs et d’arriver à la connaissance par l’observation Première

l’historicisme. Dans cet extrait, Popper s’interroge sur la validité des hypothèses scientifiques, puis, quels moyens utiliser pour trouver d’autres hypothèses. Ainsi, il cherche à nous exprimer son point de vue à travers l’observation de faits. La science peut-elle nous induire en erreur ? Quelle validité à propos des théories scientifiques ? Dans un premier temps, nous analyserons le fait que même issue d'une observation unique, la théorie doit être testée puis, dans un second temps, nous verrons

que philosophie qu'en géométrie ou en logique, nous avons vu que des "évidences" en apparence aveuglantes non seulement se révèlent contestables, mais encore fausses. Pire encore : nous avons montré que la formulation d'une prémisses majeure suppose le recours à une induction, inférence douteuse entre toutes. Pourtant, nous savons que certaines inductions se justifient parfois ; aussi, pour pouvoir bénéficier à nouveau de la puissance magistrale de la logique, il suffirait au fond de choisir pour

Sciences et illuminati En quoi la question du savoir scientifique retrouve-t-elle la problématique de la caverne ? La question du savoir scientifique se rattache à la problématique de la caverne sous différentes notions. Il convient d’abord de définir le savoir scientifique. Le savoir est défini habituellement comme un ensemble de connaissances ou d'aptitudes reproductibles, acquises par l'étude ou l'expérience. La science vient du latin scientia signifiant « connaissance ».  La science, c’est

Rhétorique, Logique  Arithmétique, Géométrie, Musique, Astronomie. Il m’a été dit que depuis l’antiquité, ils sont considérés comme « les sept piliers de la Sagesse ». Le Trivium, regroupe les trois premiers,  les arts du verbe, le Quadrivium, regroupe les 4 derniers, les arts des sciences. Ainsi les sept arts libéraux résultent de la conjonction du nombre 3 (nombre du ciel, les sciences de l’âme pensante « la tête ») et du nombre 4, (nombre de la terre exprimant le quadrivium les sciences de la pratique

à des théories vraisemblables. A partir du Ve siècle av J-C arrive la philosophie notamment de Socrate et de Platon qui fait réfléchir l’homme sur des arguments et des raisons à des phénomènes et des problèmes rencontrés. Par la suite viendra la Logique d’Aristote qui permettra d’amener encore plus de rationalité dans les propos des philosophes. Aristote bâtit des règles sans lesquelles on ne peut raisonner ni démontrer quoi que ce soit. Le problème du savoir Les philosophes ont longtemps cherché

la recherche de la vérité ? Le mot ''science'' vient du latin classique scientia ''qui sait'', ''instruit'', ''habile'' et ''connaisseur''. Dès l'époque classique, ce terme prend le sens du grec épistèmê (savoir théorique). La notion de vérité est emprunté au latin veritas veritatis, le vrai mais aussi la réalité, les règles, la droiture, la conformité de l'idée avec son objet, du récit avec un fait, de ce qu'on dit avec ce que l'on pense. La science et la vérité entretiennent donc dès le départ

les candidats selon trois dimensions psychologiques : • La capacité de mémorisation (sous-test I et sous test 4) ; • La capacité à résoudre des problèmes mathématiques et calculatoires (sous-test 2 et sous-test 5) ; • La capacité de raisonnement de logique inférentielle (sous-test 3 et sous-test 6) Pour chacune des soixante dix questions, quatre réponses sont proposées au candidat. Une seule de ces réponses est juste. Afin de ne pas inciter le candidat à répondre au hasard, les bonnes réponses rapportent