La Réforme La Justice Administrative

judiciaire, Serge Guinchard, DALLOZ - Roger Perraut, Institution judiciaire - Institution judiciaire, Francis Legen - Mailys douence, l’instruction juridictionnelle Partie I : la justice Partie II : les juridictions PARTIE I : La justice La justice en France peut être appréhendée sous deux angles différents. La justice constitue tout d’abord un pouvoir qui est un pouvoir de juger. On peut le définir comme le fait de dire le droit à l’occasion d’une protestation. C’est aussi le pouvoir de dire

plus tard si cela donne quelque chose de cohérent. Cette cohérence pourrait souffrir de tous ces emprunts. Au niveau de la responsabilité civile délictuelle, la Chine va transposer le droit anglo-américain du « torts » mais il y a une culture administrative très forte en Chine et en France. Entre 1911 et 1949, on injecte dans le droit chinois des lois non-modifiées. En 1949, Tchang Kaichek emporte l’organisation et les lois, l’ensemble des choses mises en place dans les années 1930 sera appliqué

rendre la justice. Dès lors que l’on a une vie en société, on a besoin de la fonction juridictionnelle. Sans cette fonction on n’a ni stabilité ni paix sociale. A partir du moment ou on a l’implication société = justice, la vrai de question est de savoir qu’est ce la justice. Quand on parle de justice : plusieurs sens. - 1er sens du mot justice c’est un sens large selon lequel la justice est une vertu un sentiment d’équité (notion subjective). - 2eme sens du mot justice : La justice est une fonction

Introductions aux Institutions Juridictionnelles Introduction Mais quelle est la place de la justice dans l'État? Celle des juges dans l'État? Quelle est l'indépendance des juges dans l'État par rapport au pouvoir juridique? Chapitre 1: les origines de la justice d'État Section première: l'héritage antique L'antiquité est marquée par l'influence grecque mais aussi par l'influence romaine qui a inspirée nos instituions. La démocratie athénienne confie le pouvoir de juger à des magistrats

de fait. On parle de tribunaux, de cours, ou de juridictions nationales ou internationales. → L'ensemble des décisions de justice (jugement d'un tribunal, arrêté d'une cour, décision de la cour européenne de justice, etc..) est la jurisprudence. La juridiction est la compétence d'une institution, elle a pour mission de juger et a le pouvoir et devoir de rendre la justice par application du droit. Cela renvoie à une notion morale alors que le droit n'est pas forcément juste. La fonction première

assurance, un consommateur achète une cuisine équipée défectueuse, un salarié est licencié sans motif réel; une personne âgée est victime d’une escroquerie, un jeune est maltraité... Quand on ne parvient plus à s'entendre à l'amiable, on attend de la justice qu'elle rétablisse chacun dans ses droits, mais aussi qu'elle protège les intérêts des individus et ceux de la société. En effet, l’organisation judicaire désigne l’ensemble des tribunaux et des cours du royaume. Le terme tribunaux est réservé à

juridictionnelle 2 B. L’émergence de la juridiction administrative française : de la loi des 16 et 24 août 1790 à l’arrêt Cadot (1889) 2 C. Essor et crise de la juridiction administrative française (de « l’âge d’or » du droit administratif et de la juridiction administrative à la loi du 31 décembre 1987) 3 D. Renouveau ou nouvelle naissance du juge administratif français : de la loi du 31 décembre 1987 à aujourd’hui. L’adaptation de la justice administrative aux exigences européennes 4 Partie I : Le contentieux

COMMENT L’ORDONNANCE DE VILLERS-COTTERÊTS CONTRIBUE-T-ELLE À L'UNIFICATION ADMINISTRATIVE DU ROYAUME ? L’affirmation de la législation royale est un des principaux éléments du renforcement du pouvoir monarchique au XVI s. elle oblige les autorités religieuses à tenir des registres paroissiaux et impose l’usage du français dans les actes officiels en effet la langue française devient la langue du droit, du sacré, des lettres et des sciences au dépens du latin. Le roi François 1 s’impose

trois phases principales dans l’évolution de son organisation judiciaire et dans l’application du droit privé. Elles sont liées à son histoire ancienne et récente. I) L’histoire de l’organisation judiciaire au Maroc 1. Avant le Protectorat La justice était rendue par le juge musulman, le Cadi. Sa compétence était générale et universelle. Le Cadi était compétent pour connaître des affaires de droit commun. Dans la pratique, les parties se présentaient devant le Cadi, seules ou assistées d’un mandataire

important. En effet, représentant le pouvoir exécutif, il se doit d’avoir une fonction suprême. A.La suprématie de la fonction présidentielle par la réforme de la responsabilité pénale du chef de l’Etat. La reforme du 23 février 2007 a modifié le titre IX de la constitution. Ce titre s’intitule la haute cour il remplace la haute cour de justice. Les nouvelles dispositions de l’article 67 indiquent que le président dispose d’une immunité pendant la durée de son mandat. Il ne peut pas être poursuivit