La Règle De Bienséance

dans l’acte 1, scène I il fait tout un discours à Philinte sur ce sujet. On peut donc se demander si Alceste mettra en œuvre tous ces propos. Enfin, la troisième est une intrigue judiciaire. Elle concerne les problèmes d’Alceste avec les lois de bienséance (la confrontation avec Oronte). On peut se demander que t-il arriver au personnage principale suite à tous ces procès. -En quoi Alceste est-il au cœur de l’action ? Alceste est le personnage principal de cette pièce. Il est amoureux d’une jeune

Molière fait de la comédie un véritable instrument de critique sociale par le rire ; la tragédie s'inspire essentiellement de l'Antiquité et est considérée comme le genre noble. Le théâtre est dirigé par la règle des trois unités (unité de temps, de lieu et d'action) et le respect de la bienséance et vraisemblance fait aussi partie du code d'écriture théâtrale. La tragi-comédie, quant à elle, est le fruit du mélange des genres tragique et comique. Le XVIIè siècle permet la renaissance de genres oubliés

du classicisme. Le classicisme considère qu’il faut imiter les auteurs de l’Antiquité grecque et romaine parce qu’ils ont su représenter des vérités humaines éternelles et universelles. Classicisme Le classicisme c’est La bienséance L’art doit respecter la bienséance, c’est-à-dire évité de choquer le public. Il faut suivre les convictions politiques, morales et religieuses de L’époque. Au théâtre, il ne doit pas y avoir de violence sur scène. Les méchants doivent être punis, l’honnête homme

de la représentation de la mort sur scène semble d'abord résider dans le fait que le théâtre se doit d'impressionner le spectateur, de le marquer, mais pas de le choquer. Cependant il est contestable que la représentation, sous prétexte de la bienséance, ne doive pas montrer ce qui susciterai le plus d'émotion chez le spectateur : la mort d'un personnage. Monsieur X, jeune metteur en scène, passioné de théatre moderne, vient tout juste d'inaugurer sa première mise en scène d'Andromaque, au

épelé « le Droit ». La morale, la bienséance et la religion sont d’autres règles qui régissent elles aussi la vie en société. La question se pose donc de savoir si une règle est juridique ou non. Par exemple, la règle édictant « tu ne tueras pas » contient des aspects religieux, juridiques et moraux. Qu’est qui fait donc la singularité des règles de droit ? SECTION 1 : LA SINGULARITE DES REGLES DE DROIT Qu’est qui fait qu’une règle de droit est une règle de droit ? Quels sont les attributs

qu’une esthétique classique se référant aux conceptions esthétiques héritées de l'antiquité. Avec ces principes, Boileau dans son Art poétique (1674) et La Poétique d’Aristote codifient le théâtre, soumis à la règle des trois unités et aux impératifs de vraisemblance et de bienséance. La règle des trois unités divisée en trois : -L’unité d’action qui consiste à la représentation d’une seule action afin que le spectateur puisse concentrer toute son attention sur le point essentiel de la tragédie, c'est-à-dire

possède un centre. Et le personnage qui occupe ce centre est celui en qui toutes les relations dramatiques se croisent. [...] Ce personnage-pivot, centre de gravité de la tragédie, n'est pas nécessairement le plus émouvant ; le contraire est même la règle dans le théâtre de Racine et nous verrons le sens de cette disposition structurelle ; ainsi, dans Phèdre, c'est Hippolyte qui occupe le centre : aimé de Phèdre, amant d'Aricie, accusé d'inceste par son père, il se situe au point de croisement des

documentation, reconstitution et personnages réels ; mais aussi Récit d’analyse psychologique Dénouement (excipit) : Les personnages : Triangle amoureux : -Princesse de Montpensier : aveuglée par la passion donc elle se laisse mourir, d’après la règle de la bienséance. -Duc de Guise : qui représente l’égoïsme et l’ambition ; réalisation de ses ambitions ; moralité (=sens). -Conte de Chabannes : qui représente la loyauté ; qui a une mort absurde. Dernière phrase : Opposition ! : Atouts : « dans la fleur

jour, un seul fait accompli tienne jusqu'à la fin le théâtre remplit » l'Art poétique de Boileau La seconde règle est la règle de vraisemblance: l'intrigue doit être possible, aucun rebondissement extraordinaire ni réaction fantaisiste. Au XVII siècle les deux valeurs fondamentales sont l'ordre et la raison ce qui représentait le bon sens. La dernière règle était la règle de la bienséance; interdiction aux dramaturges de montrer des scènes choquantes ainsi les événements violents (batailles meurtres

du 17ème siècle. Cette forme de théatre obéit à des règles très strictes, mise en place, entre autre, par l’Abbé d’Aubignac qui analysera le théatre antique au théatre contemporain et mit en place les règles de base du théatre classique, comme la règle des trois unités par exemple. D’après Aristote l’idéal d’une pièce était que le temps d’action corresponde au temps de la representation. Il fallait que la pièce soit vraisemblable, c’est pour cela qu’elle ne dépassait pas les 24 heures , à la difference