La Règle De Bienséance

privilégie la raison, l’ordre, la raideur morale, ainsi on retrouve de nombreuses règles dans les différents types d’art. La poésie exige des versifications précise et, tel que le théâtre, elle doit suivre trois règles ; la réglé de trois unités (lieux, temps, actions), la règle de bienséance (elle ne doit pas choquer) et la ressemblance. La peinture quant à elle se retrouve par des lignes droites, un équilibre et une proportion.. Boilau définit le classicisme, il fonde ce mouvement sur des codes précis

ont été élaborées tout au long du XVIIe siècle : • La règle des trois unités : l’unité de temps (l’action ne doit pas dépasser 24 heures), l’unité de lieu (il faut un décor de palais pour une tragédie, un intérieur bourgeois pour la comédie) et l’unité d’ action (il faut tenir l’intrigue à une action principale). • La vraisemblance et la bienséance. La vraisemblance vise à montrer sur scène ce que le public peut croire. La bienséance interdit de faire couler le sang sur scène. On doit mourir

précises, à savoir la règle des trois unités. La première l’unité d’action qui avait pour but de concentrer l’intérêt dramatique sur le sujet principal de l’œuvre. La deuxième est l’unité de temps, qui elle doit faire attention de coïncider avec la durée de l’action. Et la dernière, l’unité de lieu qui doit respecter le fait que l’action doit se dérouler en un lieu unique. Il existe d’autres exigences comme l’unité de ton pour pouvoir séparer une tragédie d’une comédie, les bienséances externes qui doivent

les textes antiques. Les règles de la tragédie classique trouvent leur fondement dans la poétique d Aristote qui envisage l’art comme une imitation du réel. La règle essentielle qui induit toutes les autres est celle de la vraisemblance : ce qui se passe sur scène doit sembler vrai au spectateur. De ce principe se déroule la règle des trois unités  -L’unite de temps doit se dérouler entre le lever et le coucher du soleil ou alors en 24 heures. L'unité de temps, ensuite : par un souci de

comédie classique est confrontée à un certain nombre de conventions qui s'appliquent à toute œuvre théâtrale : - La règle des trois unités (unité de lieu, de genre, d'action). Si la comédie d'aventures ignore généralement cette règle, il n'en est pas de même de la comédie sociale ; - Une structure en trois temps : exposition/péripéties/dénouement ; - L'observation de la bienséance. Bien que la comédie sous la Régence nous paraisse parfois débridée, il n'est pas question de commettre des blasphèmes

☻ Acte : Grande division d'une pièce, en fonction du déroulement de l'action, du lieu, des personnages.  ☻Aparté : Discours qu'un personnage dit à part et que seul le spectateur est censé entendre. ☻Bienséance : Respect des convenances morales et esthétiques.   ☻Burlesque : Comique où l'on attribue un style bas à des sujets ou personnages sérieux.Comique outré.   ☻Comique : Ensemble des éléments qui provoquent le rire. Comique de geste, de mots, de situation, de caractère. ☻Choeur

vu ». Il s’agit à présent de se démasquer et c’est là que se rencontre l’obstacle !  Ainsi cette scène si sensuelle et suggestive qui devrait inciter à toutes les audaces est-elle modérée par la crainte de déplaire et surtout de contrevenir à la bienséance, tout comme la princesse qui préfère « la raison et la prudence » en s’empêchant d’aller vérifier dans le jardin la présence du duc. Une belle occasion manquée, décidément ! II) Le débat introspectif et le flottement onirique A) Un amour sous

une bouche rose, des dents « bien rangées aussi transparentes que de la porcelaine », deux fossettes « aussi fraîches que celles d’un enfant ». Description psychologique : * Elle maîtrise parfaitement l’art des convenances, l’art de la bienséance ainsi que l’art de la flatterie. Pour obtenir les renseignements qu’elle veut auprès d’un homme, elle sait jouer de son charme et utiliser la flatterie au mieux. Elle appelle par exemple Merle « Monsieur l’officier », flattant le capitaine et le

Le Théâtre au XVIIème siècle Les règles du théâtre du XVIIème siècle dit théâtre classique : -Règle des trois unités Cette règle a pour but de ne pas éparpiller l'attention du spectateur avec des détails comme le lieu ou la date, l'autorisant à se concentrer sur l'intrigue pour mieux le toucher. °Unité d'action : La pièce ne met en scène qu'une seule action principale. Il peut y avoir des intrigues secondaires mais ces dernières doivent trouver leur résolution au plus tard en même temps

malgré lui. Mais cela, c'est une autre histoire...  IV-/ Etude du genre : Comme beaucoup d'autres pièces de Jean Racine, Andromaque est une tragédie à la forme très classique : cinq actes, un texte écrit en alexandrins. Elle respecte également la règle des trois unités : -Unité d'action : la chaîne amoureuse de la pièce se forme autour de l'intrigue principale constituée par le rejet de Pyrrhus par Andromaque, qui reste fidèle à son mari Hector. -Unité de temps : malgré la complexité de l'intrigue