La Redistribution Des Revenus

France est toujours plus forte que la concentration des revenus. Pour le patrimoine, on peut évoquer les plus aisés et les moins aisés alors que pour le revenu cela n’a pas de sens. En France, les 10% des ménages les plus aisés avaient un revenu 3,6 fois plus élevé que les 10% des ménages les moins aisés. Ces revenus provenaient pour 63,5% des salaires, 27,9% du patrimoine. Par contre les 10% des ménages les moins aisés avaient un revenu qui se décomposaient pour 33,8 % de salaire, 26,5% de prestations

ce que l’on appelle le nouvel âge des inégalités qui s’est illustré par un inversement de la courbe de Kuznets. La flexibilisation des marchés et le souci de méritocratie des modèles économiques libéraux ont provoqués une hausse des inégalités de revenu, du phénomène de pauvreté et des « working poor », des écarts de consommations important et bien d’autres… On assiste à ce que Louis Chauvel a appelé « l’effritement de la société salariale ». Nous avons relevé précédemment l’importance de l’égalité

ressources, composition. Fonctions : - Consommation (satisfaire besoins/services) 85% du revenu - Epargner (marginal)  15% du revenu - Produire (marginal-entrepreneur individuel) Ressources : revenu disponible  revenu primaire (issus de la production : revenu du travail, du capital, mixtes), Prélèvements obligatoires (fiscaux, sociaux-43-44%), Prestations sociales (revenu de transfert, pensions de retraite, RSA) Composition : Ménage ordinaire (famille), une seule personne

c’est-à-dire l’état lui-même mais aussi les collectivités territoriales. L’état théorique correspond ainsi aux administrations publiques de la comptabilité nationale. L’état assure des services publics et peut effectuer des opérations de redistribution des revenus. Ces dépenses sont financées soit par les impôts soit par endettement (émission de titres) soit par création monétaire (ceci est très contrôlé au niveau européen aujourd’hui). On appelle déficit public la part des dépenses publiques G

De même, JB SAY, avec sa « loi des débouchés », est persuadé de l’équilibre de l’offre et de la demande sur chaque marché, ce qui conduit à un accord mutuellement profitable. Chaque agent, lorsqu’il produit un bien ou un service, obtient un revenu en échange (rémunération des facteurs de production), qu’il consacrera à une consommation et assurera alors un débouché égal à la production. Globalement, les offres et demandes seront identiques, pour peu que le marché ne soit pas contrarié dans

de surproduction. L'offre et sa fabrication créer des emplois donc verse des revenus; ces revenus vont entièrement dépensés donc acquérir toute cette offre. Mais il explique qu'il peut y avoir une surproduction temporaire dans certain secteurs. La monnaie doit être neutre (pas demander pour elle même) Say s'est trompé parce que l'on ne consomme pas tout (épargne). LA LOI DE SAY - LOI DES DÉBOUCHÉS OFFRE REVENUS  SALARIES  CONSOMMATION + ÉPARGNE  DEMANDE  CHEF D’ENTREPRISE  CONSOMMATION

budgets des états, impôts des entreprises et particuliers. Variations et conséquences. Impôts et redistribution Fiscalité : E des prélèvements obligatoires par l’état But : Financer les dépenses publiques. Rôle économique : * Incitatif : exonérations ou abattements d’impôts * Dés incitatif : taxes frappant à la consommation * De redistribution : corriger et limiter les inégalités de revenus. Ex : subventions, allocations S’opposer à l’impôt est en infraction avec la constitution. Contre

Table des matières Le programme de stabilité 3 La construction Européenne 3 La Banque Centrale Européenne 5 Le plan d’assouplissement quantitatif 5 Les finances publiques 6 Fonction de redistribution 8 Le multiplicateur économique 9 Le budget 9 Le programme de stabilité 10 Son rôle 10 Que doit-il contenir ? 11 Qui effectue le contrôle et l'évaluation ? 11 Le budget fédéral 11 L’exposé général 12 Le budget des voies et moyens 12 L’exposé général des dépenses 12 Le cycle budgétaire 13 Le budget européen

par rapport à une échelle de valeur collectives. Ces inégalités engendrent une hiérarchie sociale et vont donc structurer la société française actuelle. Plusieurs éléments vont déterminer la place de l’individu dans l’espace social. La PCS et les revenus déterminent la position socio-économique. Le diplôme détermine la position socio-culturelle. Enfin, le sexe, la position dans le cycle de vie, le lieu de résidence et la composition du ménage déterminent les facteurs socio-démographiques.

impôts : • Impôts direct : sur le revenu, société • Impôts indirect : TVA ; TIPP - Les cotisations sociales : payées par les employeurs et les salariés. Affectées au système de protection sociale : assurance vieillesse, santé, chômage. Suivant les pays, cette répartition peut varier d’un pays à un autre. Recettes des administrations publiques ces dernières années : Pour la France : - 13% des recettes proviennent de l’impôt sur le revenu et de l’impôt sur le bénéfice des entreprises