La Redistribution Des Revenus

que l’on appelle le revenu primaire. Ceux qui ont apporté le capital nécessaire à la production (machine…) vont toucher des profits (actionnaires) ou des intérêts, tandis que ceux qui ont fourni leur travail reçoivent un salaire ou un revenu mixte. La valeur ajoutée est partagée ne profits (mesurés par le taux de marge) et en salaires versés aux travailleurs c)Le mécanisme de la redistribution : Les revenus primaires des ménages sont composés des revenus salariaux, des revenus mixtes rémunérant

redistributif , ce qui correspond a l’intervention de l’etat pour faire face aux inégalites de situations , c’est cette redistribustion qui va permettre a l’Etat de lutter contre cette inégalite … L Etat va donc se pencher sur ce mecanisme de redistribution , qui est un système fiscal qui a pour burt de lever des ressources . les cotisations sociales financent des prestations d’assurances et certaines aides .. comme les assurances sociales qui permettent au salarié qui vers des cotisations de lui

pas toujours existé et n’existe pas partout (aucune centralisation, morcellement de l’organisation sociale ou sociétés « primitives » ) Comment en est- on arrivé là ? -cas des empires de l’Antiquité : l’impôt n’était pas la source principale de revenu et il n’y avait pas de mode unique de fonctionnement. -4e et 5e siècle : morcellement politique des territoires. -9e siècle : régime féodal => morcellement de la souveraineté mais affirmation de l’autorité féodale. Début de la naissance d’un Etat

quantité consommée, en pourcentage, à la variation relative du prix, elle aussi en pourcentage. Si cette baisse du prix n’incite pas à acheter plus d’unités du bien concerné, elle peut amener à consommer une plus grande quantité d’autres biens (effet de revenu). Dans tous les cas, les agents économiques procèdent à une analyse à partir des coûts qu’ils doivent supporter du fait de leur décision, et des avantages qu’ils espèrent retirer de la décision prise. Puisque toute décision est soumise à l’incertitude

considérée comme non optimum du point de vue du bien-être de la collectivité ; ce qui justifie l’intervention de l’Etat. Ainsi dans le cas des rendements croissants, les coûts de la production sont décroissants. Si les firmes cherchent à égaliser leur revenu marginal à leur coût marginal, elles maximisent leurs pertes et non leurs profits. Les rendements croissants conduisent à une absence d’équilibre du niveau de production et à des situations de monopoles. L’Etat peut alors pratiquer une politique de

terme (action structurelle) ou à court terme (régulation conjoncturelle). L’économie de marché ne peut se passer de l’intervention de l’État. Richard Musgrave (américain 1910-2007) a établi une typologie qui distingue 3 fonctions : allocation, redistribution et régulation. L’État intervient dans l’allocation des ressources en mobilisant des moyens financiers pour lutter contre les externalités négatives, établir un cadre réglementaire dans lequel s’exerce l’activité économique, créer les institutions

représentation simplifiée de l’activité éco générale grâce aux flux de revenus qui circulent entre les agents éco. Flux de revenus prennent naissance dans 3 catégories d’opérations : - Les opérations sur produits (ou biens et services) : production (Y), consommation (C), investissement (I), exportations (X), importations (M). - Les opérations de répartitions des revenus : primaire (rémunération des facteurs de production) + secondaire/redistribution (état prélève impôts+taxes+cotisations sociales pour financer

les pouvoirs publics peuvent contribuer à la justice sociale : fiscalité, redistribution et protection sociale, services collectifs, mesures de lutte contre les discriminations. On montrera que l'action des pouvoirs publics s'exerce sous contrainte et qu'elle fait l'objet de débats quant à son efficacité : risques de désincitation et d'effets pervers. Acquis de première : État-providence, prélèvements obligatoires, revenus de transfert NOTIONS : Égalité, discrimination, assurance/assistance, services

Décrivez les conséquences de la redistribution sur l’économie. La politique de redistribution adopté par l’Etat comporte de nombreux avantages mais également de nombreux inconvénients. En effet, les classes sociales n’étant évidemment pas homogène, leurs intérêts deviennent donc différents. Cette politique est basée sur le fait de prélever certains agents économiques en fonction de l’importance de leurs revenus, et donc de redistribuer à d’autres qui possèdent des revenus nettement inférieur. Ce système

salaire est un revenu qui tient une place essentielle dans la dynamique de l’activité économique. Ainsi, si on s’inscrit dans une perspective keynésienne , la flexibilité salariale (réduction des salaires et plus globalement du coût du travail) tout comme la flexibilité dans la gestion de la main d’œuvre (flexibilité quantitative externe) avec le développement des emplois précaires, pénalisent le niveau de revenus des actifs