La Raie

G:\Spectre_électromagnétique.jpg b) Les différents spectres des lumières . Il existe plusieurs type de spectre : _continu _en raie _polychromatique _monochromatique Spectre continu : Toutes les couleurs sont présentes, aucune couleurs sont présentes, aucune n’est absorber. Il est obligatoirement polychromatique. G:\polychromatique.jpg Spectre en raie : Certaine couleurs sont absorber: sur le spectre nous voyons certaine couleurs en bars, et des espace noir : c’est les couleurs absorber

transition l’atome initialement excité perd de l’énergie par une émission de lumière. (comme l’indique l’introduction). La raie correspondante est une raie d'émission 2.3. [pic] h est la constante de Plank 2.4 [pic] c est la célérité de la lumière 2.5. ((E( = 3,39 – 0,54 = 2,85 eV ((E( = 2,85 x 1,6.10-19 = 4,56.10-19J 2.6.. [pic] 2.7. [pic] Cette raie met en évidence l’atome d’hydrogène. ----------------------- [pic] [pic] U. V. VISIBLE

l’orientation du prisme correspondant à la déviation minimale pour une raie donnée (que vous choisissez). Bloquez la rotation de la plate-forme et affinez le réglage avec la vis micrométrique. Mesurez précisément la position angulaire de la raie choisie. Précision ? Retournez ensuite complètement la plate-forme, de façon à échanger le rôle des faces d’entrée et de sortie du prisme, et mesurez de même la position angulaire de la même raie. TP4 – Spectrométrie par prisme et réseau 4 Université Joseph

quel domaine électromagnétique appartiennent-t-ils ? A. Rayons X B. Ultraviolet C. Visible D. Infrarouge Q5/ Peut-on associer ces photons à une raie du spectre d’absorption de l’atome d’hydrogène ? Non, le spectre donné ne concerne que le domaine visible. Peut-on associer une transition électronique à une raie d’absorption du spectre ? Q5/ Quelle est l’énergie à apporter à un électron pour le faire passer du niveau n=2 au niveau n=3 ? L’exprimer en joules. On appelle

est quantifiée c’est-à-dire qu’elle peut prendre toutes les valeurs possibles avec un spectre d’émission continu. C. La raie L correspond à la 2ème raie de la série de Balmer et la variation d’énergie associée est égale à -2,55 eV. D. La raie d’émission L a une fréquence plus importante que la raie L. E. La longueur d’onde associée à la raie K est supérieure à celle de la raie K∞. F. Toutes les propositions précédentes sont fausses. QCM n°3 : Choisir la ou les propositions exactes : A. Soit

Le spectre du néon possède une raie à cette même longueur d’onde, donc nous avons identifié cette première raie du spectre à une raie émise par le néon. Nous avons procédé de même pour les 4 autres raies obtenues sur le spectre de la boule

envoyé un Inde pour observer une éclipse solaire, il fait la découverte dans la couronne du Soleil d’une raie encore inconnue à cette époque là. Chaque élément ayant une place précise dans le spectre de la lumière, la présence d'une raie inconnue signifie la présence d'un élément inconnu. Peu de temps après, ce sont les astronomes Lockyer et Frankland qui analyseront et nommeront cette raie l’Hélium en référence au symbole grec du Soleil. En 1895 sa présence sur Terre fut identifiée par le chimiste

de Saint Luc avec le titre de maître peintre. Son œuvre la Raie lui permet, en 1728, d'entrer dans l'Académie royale. A partir de 1757, il habite au Louvre, là où la plupart de ses œuvres sont exposées. « On ne peint pas seulement avec des couleurs, on peint avec le sentiment », selon Chardin. III. Œuvre en particulier : La Raie Dans la partie droite, partie représentant surtout des éléments non-vivants ou inanimés, on voit une raie, ailes déployées contre un mur, avec les organes qui sortent

différents spectres de raies. Série (ni) 1 2 3 4 Nom Lyman Domaine UV 5 Balmer Paschen Brackett Pfund Visible IR IR IR Spectre de raies de l’hydrogène. Raie de tête Raie limite raie de tête : nf = ni+1 on obtient Balmer : ni = 2; nf = 3 λ t = 656.3 nm t raie limite : nf infini ∞ on obtient l Balmer : ni = 2; nf = infini ∞ λ l = 364.7 nm Pour une série donnée : lt 

certaine largeur, en général négligeable sauf pour les sous-couches les plus externes (c’est-à-dire les moins énergétiques en valeur absolue) qui interviennent dans la liaison chimique. ν étant donc bien défini, cette émission donne lieu à une « raie ». À chaque couche correspond une « série » de raies (tableau 1). Les transitions correspondant aux raies les plus intenses sont celles qui obéissent aux règles de sélection optiques. Le lecteur pourra se reporter utilement à l’article [83] dans le