La Prisonnière Passe Hugo

apportent un côté strident aux vers 5-7 · La personnification est aussi au service avec un double sens : elles sont captives de leur image et captive de leur proie V7 « triste captive » elle sont-elles mêmes prisonnières de leur image · S3 l’idée de captivité se retrouve avec le participe passé « prise » V9 et le mot « nœuds » V10 encore idée de captivité double · Adj « fatale » une nouvelle idée se dégage idée de destinée qui montre la condamnation des deux individus à un destin tragique · La strophe

Commentaire : Victor Hugo, Notre Dame de Paris, livre VIII, chapitre IV, (1831), « Ecoute. Un jour…Je le crus » La beauté du diable 1. Une beauté lumineuse • Adjectifs : « resplendissante », « belle », « splendide », • lumineuse : « « soleil », « or », « métal », « pétillaient », « étoiles », « paillettes », « scintillaient », mille étincelles », « resplendissante figure », le prénom « Esméralda » signifie émeraude en espagnol, pierre précieuse • Insistance sur le noir :

mariage de Figaro - Pierre de Marivaux (1688-1763) : le jeu de l’amour et du Hasard O Tragédies XVIIe siècle : - Pierre Corneille (1606-1684) : Horace & Cinna - Jean Racine (1639-1699) : Phèdre, Andromaque & Iphigénie XIXe siècle : - Victor Hugo (1802-1885) : Ruy Blas - Alfred de Musset (1810-1857) : Les Caprices de Marianne & On ne badine pas avec l’amour XXe siècle : - Jean-Paul Sartre (1905-1980) : Les Mouches - Jean Giraudoux (1882-1944) : La guerre de Troie n’aura pas lieu Comédies

laquelle nous devons nos éternelles stigmates ». Néanmoins, on peut distinguer dans ce courant deux étapes. Un premier romantisme qui est un rêve du passé et une exaltation du souvenir puis un second romantisme dans lequel l’espérance et la prophétie jouent un rôle majeur. Dès lors l’action et la poésie deviennent synonymes. C’est ainsi que Victor Hugo, après avoir composé une ode pour le couronnement de Charles X, dernier roi français sacré, en 1825, selon les anciens rites prétendument hérités de

« Apres la bataille. », Victor Hugo II. « Le dormeur du val. », Arthur Ribaud III. « Le cauchemar des deux mères », Eugene Manuel IV. « Mort ! », Paul Verlaine V. « Carte postale », Guillaume Apollinaire VI. « La rose et le Réséda », Louis Aragon VII. « Le déserteur. », Doris Vian VIII. « Si j’étais né en 17 à Leidenstadt », Jean Jacques Goldman IX. « Exécution », Sybille Rembard Apres la bataille, Victor Hugo Mon père, ce héros au sourire si

clairement dans quel(s) roman(s) et pourquoi ? Dans un roman, le personnage est un être de fiction. Cependant, comme pour une personne « réelle », on peut identifier son identité (par exemple son nom, son âge, son sexe, son origine sociale, son passé...). Les informations sont données sous la forme de portraits, ou, au contraire, dévoilées tout au long du récit. Le personnage de roman est d'abord un acteur de l’intrigue à laquelle il participe. Son rôle dépend néanmoins de la place qu'il occupe

ressemble ici à un cri, il semble qu’il demande asile à toute la société, se débarrasser de la crasse de la société. On retrouve aussi le besoin de s’isoler propre au romantisme, toujours loin des hommes, de la société et son triste spectacle. Victor Hugo cherche le progrès social, garantir à un plus grand nombre de personnes un train de vie décent, de la dignité, du bonheur. On y découvre une société rongée par les inégalités, la méprise envers la société (personnes et animaux). Le thème majeur qui

romantiques, la technique du romancier est réaliste. Flaubert utilise la technique narrative del’impersonnalité, utilisée du Naturalisme et de Zola et de Verga. Il refuse la technique du narrateur omniscient (omnisciente= che sa tutto), utilisée de Victor Hugo dans Les Misérables ou de Manzoni dans Les Fiancés.  Le narrateur doit être invisible comme Dieu dans la création. Il veut être invisible et donner une vision objective de l’écriture. Il utilise comme Verga dans Les Malavoglia la focalisation interne

|- L’homme engagé : | |du XVIème siècle à nos jours. | |HUGO, Discours sur la misère, 1849. | | |- L’homme et l’infini : |- La condition féminine (DM)

l'auteur: Victor Hugo (né 26 février 1802 à Besançon-mort le 22 mai 1885 à Paris). Date de la première publication: 1830. La première représentation alieu quand à elle le 25 février de la même année. Édition et genre du livre: Petits classiques Larousse. Le livre est une pièce de théâtre une tragédie précisément du genre romantique. B) Présentation de l'auteur: Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon. Fils de général crée comte selon la tradition familiale il passe son enfance