La Prisonnière Passe Hugo

Marquereau Paul Question de Corpus Ce Corpus est composé de trois de trois poèmes écrits par Victor Hugo. Victor Hugo est un poéte et dramaturge du XIXè siècle. Victor Hugo occupe un place marquante dans la littérature française dans des genres et des domaines d'une remarquable variété comme la poésie, le théâtre ou encore le roman. Le premier poéme est extrait du recueil de poémes Les Contemplations écrit en 1856. Le second poéme est extrait du recueil poétique Les Châtiments écrit en 1853.

Le roman Les Misérables fut écris en 1862 par Victor Hugo, écrivain français. Dans son roman, l'auteur à voulu dénoncer la société et la misère dans laquelle vivait le peuple. Dans cet extrait, il s’intéresse au cas de Fantine, femme du peuple, qui essai de survivre et d'assurer un avenir à sa fille Cosette. Pour ce commentaire, nous nous demanderons comment l'auteur dénonce le sort des femmes au XIXeme siècle. Nous allons, dans un premier paragraphe, nous pencher sur la déchéance de Fantine puis

qui s'inspire d'eux... Au départ, il y avait l'émotion de Hugo, son désir de faire partager sa pitié et sa révolte devant la situation des pauvres, des laissés-pour-compte et des marginaux pour provoquer la prise de conscience de ses contemporains ; le résultat ? une oeuvre poignante, avec des situations fortes, des personnages à la fois humains et symboliques, solidement construits pour qu'ils s'imposent à notre imagination. Hugo consacre une partie de son roman à Fantine, la mère de Cosette

Victor Hugo : Notre-Dame de Paris (1830) Introduction : Victor Hugo est un monument de la littérature française et chef de file du romantisme. Il cherche à mettre en exergue la passion et les émotions ressenties par ses personnages. Écrivain engagé, il écrit Notre-Dame de Paris, un roman qui présente l'amour entre Quasimodo, un sonneur des cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris qui représente la difformité et la laideur et Esméralda, une Égyptienne

CORRECTION BAC BLANC N° 1 1ERE STG (femmes) QUESTIONS 1. Beaumarchais, dans le Mariage de Figaro, Hugo, dans le chapitre X du cinquième livre des Misérables, et Pierre Perret, dans sa chanson « Lily », dénoncent la condition féminine. ❖ Beaumarchais, à travers le personnage de Marceline, dénonce les hommes qui condamnent les femmes qu'ils ont eux-mêmes séduites : « Hommes plus qu'ingrats, qui flétrissez par le mépris les jouets de vos passions, vos victimes! » les accablant de leur opprobre

et le chrétien qui, face à l'image de la France prisonnière « Tous deux adoraient la belle » «  Prisonnière des soldats » (vers 3-4) abolissent les différends idéologiques qu'ils avaient pu avoir jusqu'alors, au nom du commun combat. Cette partie donne déjà le ton qu'aura le reste du poème. La deuxième étape du vers 28 au vers 50 «  La sentinelle tira » « Celui qui n'y croyait pas » décrit l'élément perturbateur de ce « récit », marqué par un passé simple( vers 28 : «  La sentinelle tira ») et

le Réséda, poème qui évoque l'union des Hommes, malgré leurs différences, au nom de leur patrie, au nom de la liberté. Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Tous deux adoraient la belle Prisonnière des soldats Dans cet extrait, on comprend que «la belle prisonnière des soldats» désigne la France occupée par les Allemands. Les deux hommes dont parle le poème ont un amour pour la France qui leur permet de dépasser leurs différences. Benjamin Péret reproche à ces poètes d'avilir

la crainte. Cette angoisse se cristallise tout particulièrement sur Don Salluste : « Ce marquis est pour moi comme le mauvais ange » « Cet homme redoutable » (acte II, sc. 1). Elle souffre de l'étiquette qui règne dans ce palais où elle se sent prisonnière, ce que résume parfaitement l'antithèse qui organise le vers 129 : « Aujourd'hui je suis reine. Autrefois j'étais libre. » Le tableau représentant une figure de sainte, « Santa Maria Esclava », mentionné dans le discours didascale au début de l'acte

La poésie romantique est-elle prisonnière du moi ? La poésie romantique accorde une place prépondérante aux tourments intérieurs, aux interrogations sur soi et aux introspections. La poésie, expression d’une souffrance, d’un déchirement se décline sur des registres sombres. Elle conduit pourtant le poète à s’engager sur d’autres plans. Comment passe-t-on de cette dimension lyrique, introspective à l’ouverture sur le monde ou à l’engagement politique ? Le poète souffre – il a une sensibilité

un art populaire qui connaît plusieurs succès qui semble incapable de se renouveler. La tragédie, prisonnière des règles qui remonte au XVIIème siècle, imite sans cesse Racine. Quant à la comédie, elle ne sort pas des chemins ouverts par Molière. En quoi le théâtre romantique est différent du théâtre classique ? C’est contre cette uniformité que partent en guerre certains Romantiques (Victor Hugo, Alfred de Vigny, Alfred de Musset). Leur préoccupation est de trouver, au théâtre, une forme un