La Prisonnière Passe Hugo

comment accueillez-vous cette œuvre épique dans votre époque ? Quelles connaissances acquises pouvez-vous valoriser ? Comment vous situez-vous dans la continuité des nombreux écrivains et artistes qu’il a inspirés : Du Bellay à la Renaissance, Victor Hugo au XIXe siècle, Yves Bonnefoy au XXIe pour ne citer que trois poètes français d’époques bien différentes ? Beaucoup ont retenu en particulier le personnage d’Ulysse. Séquence 2-FR01 5 © Cned – Académie en ligne Ce personnage est au centre

blonde Apollonie). La nostalgie du paradis perdu (troisième terme clé de notre modèle analytique) est aussi une constante aiguë de la situation « démoniaque » de l’homme dans le monde. Elle s’exprime soit par des mouvements régressifs, orientés vers le passé, soit par des projets d’évasion, orientés vers l’avenir ou l’atemporel, dans des espaces exotiques ou irréels, imaginaires, introuvables sur la carte du monde… La nostalgie de l’Antiquité, de l’Âge d’or de l’humanité, est un premier mouvement régressif

Janvier 2001 Les châtiments Victor HUGO Préface de 1853 Il a été publié à Bruxelles une édition tronquée de ce livre, précédée des lignes que voici : « Le faux serment est un crime. » Le guet-apens est un crime. » La séquestration arbitraire est un crime. » La subornation de fonctionnaires publics est un crime. » La subornation de juges est un crime. » Le vol est un crime. » Le meurtre est un crime. » Ce sera un des plus douloureux étonnements de l'avenir que, dans de nobles pays qui, au

compromettant, mais vous savez bien que les apparences sont trompeuses. Ce qui vous inquiète, c’est que votre appareil ait atterri entre des mains malintentionnées. Déjà, vous regrettez certaines photos, certains mails, certaines conversations. Le passé, la famille, l’argent, le sexe… En cherchant bien, quelqu’un qui voudrait vous nuire aurait de quoi briser votre vie. Vous regrettez, mais les regrets ne servent plus à rien. Comme vous frissonnez, vous vous levez pour fermer la fenêtre. Le front collé

famille avait, au fil des siècles, successivement émigré de Modène à Trieste, Salonique puis Alexandrie, né en France en 1912, livré très jeune à lui-même, administrateur de sociétés fréquentant des gens troubles ou invraisemblables, il a toujours eu un passé flou. De 1939 à 1945, pendant l’Occupation, son existence fut encore plus imprécise. Mais il semble que, malgré son origine, il réussit à vivre dans l’illégalité totale sans jamais quitter Paris. Grâce à une fausse identité, il ne porta jamais l'étoile

société). 4. Des personnages positifs qui vivent au sein de la société. 5. Parfois le roman cycle concerne un seul individu- R. Roland- le roman fleuve (idée de Tolstoï selon que la vie humaine peut être présentée comme un fleuve, riche qui passe- le musicien Jean Christophe 6. Chez Jules Romains le roman cycle ne présente ni la vie d’une famille, ni celle d’un seul individu mais il est organisé par une simultanéité d’événements- Les hommes de bonne volonté (le roman polyphonique). Il raconte

camarade René d'Urvoy, presque un voisin. Vers 1540, il fréquenta le salon de sa parente, Louise de Clermont- Tonnerre. Dès cette époque, féru de poésie, il lut certainement les derniers Grands Rhétoriqueurs, ainsi que Marot et ses imitateurs : «J'ai passé l'âge de mon enfance et la meilleure part de mon adolescence assez inutilement, lecteur, mais, par je ne sais quelle naturelle inclination, j'ai toujours aimé les bonnes lettres, singulièrement notre poésie française.» (''Au lecteur'', dans ''L'Olive'')

elle touche le prince Salina et le prestige de sa famille, mais aussi le monde éphémère de ses souvenirs, des objets, des personnes, des animaux aimés, de tout ce qu’il restait auprès de ses descendants. Vanité de toute chose devant le temps qui passe. Passage destructeur des années; temps qui détruit tout. A mettre en corrélation avec Ironie : c’est le petit fils Fabrizietto qui va commémorer la chute du Royaume des deux Siciles pour rendre hommage à Garibaldi : le déclin de la noblesse.

Stendhal. - «Tu es un misérable» est évidemment une allusion au roman ‘’Les misérables’’ de Victor Hugo (page 323) dont le début de son poème ‘’Demain, dès l’aube’’ transparaît dans «Demain à l’aube» (page 329). - «J’imagine Christian comme on imagine des étoiles au fond d’un égout» (page 74) pourrait rappeler le «Je suis un ver de terre amoureux d’une étoile» de Ruy Blas dans la pièce de Victor Hugo du même nom. - La mention de «la ‘’Bérénice’’ d’Edgar Poe» (page 217) reste cependant vague : «Je

que sa veuve pleurait toujours. Pourtant, avec audace, Racine, au début de sa première préface, cita dix-huit vers de ce chant III, en prétendant : «Voilà, en peu de vers, tout le sujet de cette tragédie. Voilà le lieu de la scène, I'action qui s'y passe, les quatre principaux acteurs, et même leurs caractères. Excepté celui d'Hermione dont la jalousie et les emportements étaient assez marqués dans l'’’Andromaque’’ d'Euripide.» - au chant IV, où Didon dit : «Celui-là qui fut mon premier époux, celui-là