La Peur Selon Sartre

tant qu’individu (Cogito de Descartes), ayant une identité et qui m’est propre. B. L’expérience. ->L’expérience de la vie étant formatrice, nous savons comment nous réagirions dans une situation donnée et connue (ex: Je sais que je vais avoir peur au décollage de mon avion ou je vais rougir si je dois m'exprimer en public.) ->Ainsi, l’on peut se connaître soi-même si l'on considère que cette connaissance est le fruit d'une expérience passée. C. L’introspection ÆL’introspection nous permet

philosophie selon laquelle le monde, plus particulièrement | |l'existence humaine, est dénué de toute signification, but ou d’une quelconque vérité compréhensible. Malgré un certain nombre de | |controverses en raison de ses pamphlets antisémites et de son engagement collaborationniste, il n'en demeure pas moins un des plus grands | |écrivains de la littérature française du XXe siècle aux côtés d'autres experts de l'absurdité humaine comme Jean-Paul Sartre, Albert Camus

périls de l'Entre-deux-guerres et qu'illustrent Jean Cocteau (Orphée, 1926 - La Machine infernale, 1934), Jean Giraudoux (La Guerre de Troie n'aura pas lieu, 1935 - Electre – 1937), Albert Camus (Caligula, écrit en 1939 mais créé en 1945) et Jean-Paul Sartre (Les Mouches, 1943). L'Existentialisme sartrien s'exprime aussi au théâtre comme avec Huis clos, en 1945. Le reflux de l'idéologie communiste et la complexité de la modernité vont trouver leur échos dans ce qu'on a appelé le « Théâtre de l'absurde »

assumant, soit en refusant l’écriture de son passé ». On a souligné tout ce que la notion d’écriture devait au Sartre de Qu’est-ce que la littérature ?. Ainsi, lorsque Barthes écrit : « le choix, puis la responsabilité d’une écriture désignent une Liberté, mais cette Liberté n’a pas les mêmes limites selon les différents moments de l’Histoire », on entend, comme en échos, les mots de Sartre pour qui : « l’auteur est en situation, comme tous les autres hommes. Mais ses écrits, comme tout projet humain

ont commencé par être des philosophes. Les auteurs – en nombre limité, il est vrai –, sur lesquels nous nous sommes appuyés pour argumenter notre propos, sont Georges Gusdorf, Henri Bergson, Sigmund Freud, Georg Simmel, Georges Gurvitch, Jean-Paul Sartre et Alain Touraine. Pour introduire la question : Georges Gusdorf Le problème de la liberté ne se pose pas – il n’est pas pensable – dans les sociétés dont la culture n’accorde aucune valeur à l’individu, et ne lui reconnaît donc aucun droit : cette

unique et distinct des autres êtres, mais aussi ce qui reste identique en l'homme malgré les changements du temps, ou encore ce qui fait l'unité des caractéristiques de l'homme malgré ses contradictions. Or, pour ces raisons, le moi est insaisissable selon Pascal. Il argumente sa thèse dans les Pensées en prenant l'exemple de l'expérience amoureuse. En effet, si l'on aime quelqu'un c'est uniquement pour ses qualités, physiques ou morales, car le jour où ses qualités disparaissent, l'amour s'étiole également

la main, à son gré». L'homme libre peut agir librement, disposer comme il l'entend des choses extérieures. La liberté reste comprise comme rapport extérieur. L'homme libre est celui du maître que nulle contrainte extérieure ne vient empêcher d'user selon son bon vouloir de sa propriété, biens matériels ou esclaves Mais alors, peut-on dire, par exemple, que l'esclave est esclave parce qu'il l'a choisi et qu’il a jugé préférable de se soumettre? 2. L'esclavage comme contrainte. L'esclavage consiste

L’ignorant est-il libre ? Selon Descartes « le plus bas degré de la liberté c ‘est encore de la liberté », nous pouvons l'adapter en disant que si l’ignorance est le plus bas degré dans l’échelle du savoir humain c’est encore du savoir. La difficulté est justement de savoir si un ignorant est conscient de son ignorance, à savoir s'il est responsable des ses actes et conscient de son libre choix, conscient de son état d’homme libre ou pas, car à priori selon le sens commun le sage est libre car

société à l’Homme pour le fait de jouer un rôle. Mais encore, une fois, ce masque que l’on revêt efface encore un peu plus notre réelle personnalité et nous fait sombrer dans ce que l’on peut appeler un « Surjeu ». 3) C’est ce que remarque Sartre dans « L’Être et le néant » (Partie 2, chapitre 2[insérer la citation]). Il décrit le garçon de café et constate qu’il en fait beaucoup trop et tombe dans ce que j’appelle le « surjeu ». Le surjeu peut être compris comme le fait que l’Homme croît

France (débarquement en Normandie). En 1945 l’Allemagne est totalement encerclée et capitule le 8 mai, le Japon quant à lui signera son abdication le 2 septembre 1945 suite au bombardement nucléaire sur Hiroshima et Nagasaki par les Etats-Unis. Selon les différentes estimations, c’est le plus grand conflit qui s’est déroulé dans toute l’histoire de l’humanité et qui a mit en place les armes les plus dévastatrices (environ 55 millions de mort). Cette guerre, qui est une conséquence de la première