La Peur Des Barbares

DÉMOSTHÈNE. – Dis-le plutôt, afin qu'il n'y ait pas de dispute. NICIAS. – Non, par Apollon ! pas moi. Allons, parle hardiment, puis je te dirai mon avis. DÉMOSTHÈNE. – Que ne me dis-tu plutôt ce qu'il faut que je dise ? NICIAS. – Ce courage barbare me manque. Comment m'exprimerais-je en grand style, euripidesquement[2] ? DÉMOSTHÈNE. – Non, non, pas à moi, pas à moi : ne me sers pas un bouquet de cerfeuil, mais trouve un chant de départ de chez notre maître. NICIAS. – Eh bien, dis : « Dette

entendre que l’homme, malgré son intelligence et sa raison, est vouer a toujours vouloir surpasser son intelligence, d’où la perfectibilité de l’être, sans pour autant y parvenir, nous pouvons le voir aux lignes 16,17,18 et 19 lorsqu’il dit : « J’ay peur que nous avons les yeux plus gros que le ventre, et plus de curiosité que nous n’avons de capacité […] » Montaigne a la volonté de se mettre a la place de ses Indiens et de comprendre cette société cannibales qui lui parait moins cruelle que la

Question 1. L'idée générale du quiproquo du texte A est que Alcème croit que Jupiter est Amphytrion: "Amphytrion, en vérité,Vous vous moquez de tenir ce langage,Et j’aurais peur qu’on ne vous crût pas sage, si de quelqu'un vous étiez écouté," j'en déduis que le quiproquo est que jupiter c'est fait passer pour Amphytrion donc a mon avis il y a eu une usurpation d'identité .L'idée générale du quiproquo du texte B est que Jupiter continue a ce faire passer pour Amphytrion car Alcmène dit"As tu oublié

pas peur qu'ils meurent . Il veut que ses fils défendent la cité romaine jusqu'à leurs derniers souffles. Pour lui, c'est l'honneur de la famille horace qui est en jeu. Il est sur de voir ses fils gagner. « nous pourrions voir tantôt triompher les horaces » vers 975 Jusque la , on peut se dire que Le Vieil Horace n'est pas un grand sentimentale mais qu'il est fier de ses fils et il est sur de leur gloire. Le vieil horace veut voir Rome régner sur le monde, il veut que tout le monde ait peur de

Devant son exécution, le condamné ressent la peur de sa mort par rapport à la guillotine. Tout d’abord, il éprouve son angoisse et sa sensibilité à sa pendaison. Le détenu exprime ses sentiments: « quand [il] voit au-dessus des têtes ces deux bras rouges, avec leur triangle noir au [...], le cœur [le] faillit. » (Lignes 7 à 9). En appliquant la périphrase désigne les descriptions de la guillotine à substituer l’expression épouvantable du condamné. Puis, le prisonnier révèle l’horreur en regard l’échafaud

Candide, qui tremblait comme un philosophe » ligne 9-10, Voltaire dénonce directement les philosophes en les accusant d’avoir continuellement peur du danger. Toujours dans ce même chapitre, Voltaire exprime l’image de la boucherie avec la guerre. Ces deux mots sont en effets lié, il n’y à pas de guerre sans morts et donc sans images de boucheries barbares comme nous le montres les lignes 14-15 « des tas de morts et de mourants » , les lignes 17 à 23 « des vieillards criblés de coups regardaient

termes le respect se confond-il avec la simple tolérance ? I/ Respecter autrui = l'accepter "tel qu'il est" : La différence est inscrite au cœur du monde. Elle permet la relation, mais elle peut aussi la fausser. La différence fait peur, l'hétéro phobie est la peur de l'autre parce qu'il est autre (cf. Montesquieu, Lettres persanes : "Comment peut-on être persan ?"). Pour le raciste, l'antisémite, l'homophobe, l'autre est un étranger intégral qui, à la limite, n'appartient pas à l'espèce humaine

fille que l’on respecte, que l’on aime. Elle rêve du jour que le prince viendra. Il y a 2 cavaliers, en haut d’une falaise. Il y a des prairies derrière eux, et la mer et le coucher du soleil devant eux. Mais elle sait que cette image est impossible. Barbare est une fille très incertaine, elle n’aime pas l’idée que l’on l’aime, elle est vierge, elle ne s’est jamais trouvée jolie, mais elle attire toujours les regards. Avant d’aller au centre, elle est allée voir un psy parce qu’elle est anorexique

appartient au registre épique, intéressons nous au héros. La valorisation du héros ce fait dans le combat : « il broche son destrier avec une telle vigueur que le coursier, tout hérissé de peur, bondit pourtant contre la bête. » (l.5). Ici l’exagération sur la vigueur du héros est faite par l’antithèse du cheval ayant peur qui bondit tout de même contre le dragon. Il est aussi qualifié de « preux » à plusieurs reprises (l.4 et 6) et son prénom est répété six fois dans tout l’extrait alors que c’est le seul

blessés, c'est sûrement l'énorme insuffisance de reconnaissance de leur identité. Le monde assiste aujourd'hui à leur réaction extrême: ils se sont autodéterminés sur la terre de Palestine, ils ont chassés les peuples musulmans tels des conquérants barbares, ils reproduisent le mal qu'ils ont subi naguère. Ils ont enfin rassemblé le peuple juif, ils ont crée une nation: Israël. Et maintenant, leur identité nationale et religieuse prime sur tout le reste, écrase l'identité de leurs voisins, surtout des