La Peur Des Barbares

Dans son ouvrage „La peur des Barbares“ Tzvetan Todorov nous propose de redéfinir quelques notions de base telles que Culture, Civilisation, travail indispensable si nous voulons encore croire au « vivre ensemble » et en nos démocraties.Il part de la célèbre thèse de Samuel Huntington « Le choc des civilisations » et explique que le terme de « civilisation » ne peut être mis au pluriel. Il n’existe qu’une civilisation, celle de l’humanité. Est civilisé tout être humain, tout Etat, qui inclut tous

de la Grèce antique, le terme « barbares » qualifiait ceux qui ne parlaient pas leur langue. Ensuite à l’époque des Romains, il s’agissait de ceux qui vivaient en dehors du limes, c’est à dire derrière les fortifications limitrophe de l’Empire Romain. Il a fallut attendre l’invasion de l’Empire Romain pour que ce terme devienne péjoratif à l’image de l’activité des vandales. Aujourd’hui ce terme a gardé sa dimension péjorative et traduit le mépris pour autrui, la peur de l’autre, le mal physique, la

destruction. Il faut cependant ajouté que la simple destruction n’est pas en soi négative, il peut y avoir destruction pour mieux créer. Il faut adopter un point de vue plus moral et employer le terme de Cruauté. Ex : récemment, le « Gang des Barbares » en France. (Notons également le poids des mots). Dèf : Cruauté. Cette cruauté nous apparait comme une forme de méchanceté particulièrement « ignoble ». Dans le sens où elle serait l’inverse d’une action noble, une action vile et basse. Plus

différentes raisons : climatiques, faciliter les échanges… Mais la raison majeure serait la peur des Huns, une terrible tribu barbare turque originaire de l’Asie centrale. L’intérêt de ce texte est de montrer que malgré la puissance que fut autrefois l’Empire romain, au fil des siècles il fut affaibli pour au final se retrouver seul contre tous. De plus le texte permet de se rendre compte, que nombreux sont les barbares qui convoitent l’empire romain car c’est un territoire prospère. Les grandes idées

Fiche de lecture : La Peur des barbares. Au-delà du choc des civilisations Auteur : Tzvetan Todorov Directeur de recherches au CNRS (Centre de recherches sur les Arts et le Langage) Éditeur : Robert Laffont Date de publication : 15 Septembre 2008 Tzvetan Todorov est l'auteur de nombreux ouvrages traitant de littérature, d'histoire, de politique et de morale. Il a enseigné à Yale aux États-Unis, et à l'École pratique des hautes études, à Paris. Ses livres sont traduits dans plus de vingt-cinq

tort des barbares puis une rivalité entre Occident et Orient et enfin, nous aborderons dans un second temps la chute de l’empire romain, l’action des causes extérieurs divisé en deux parties, les alliances barbares et les attaques barbares. I- Les causes internes entrainant la Chute de l’Empire Romain La chute de l’empire romain comprends des causes extérieurs, cette chute n’est pas dû seulement à l’Empire lui même, d’autres actions sont mises en causes telles que celle des barbares, ou bien

composition du film.Entre ces deux niveaux de composition surgit la vision de la barbare Medèe:l'intervalle ou le conflit de ces deux niveaux est le schème createur de l'oeuvre,le principe de son montage.Le seul lieu où coexistent ces deux niveaux est le regard de Medèe,qui contient la vision du monde d'une barbare,vision difficile à representer si ce n'est par la technique du montage. Le montage du regard barbare de Medée sur fond de desert se fait entre les gros plans et les panoramiques lateraux

enjeux Ce texte s'inscrit dans une réflexion sur la notion de culture, en particulier la culture telle qu'elle se définit pour un Occidental. Qu'est-ce qu'un homme cultivé ? s'oppose-t-il à celui que l'on appelle barbare ? Et sur quoi repose la prétention à qualifier l'autre de « barbare » ? ne manque-t-on pas soi-même d'humanité en la refusant à autrui ? Éviter les erreurs La plus néfaste des erreurs serait de faire un contresens sur le propos de Lévi-Strauss en ramenant la barbarie à une absence

derrière les mots utilisés pour qualifier des hommes d'autres cultures, on leur refuse la valeur même d'êtres de culture. De là, il n'y a qu'un pas pour leur refuser l'humanité ; c'est ainsi que, dans la dernière partie, l'auteur pose sa thèse : « Le barbare, c'est d'abord l'homme qui croit à la barbarie. » Développement Première étape L'auteur commence par un constat d'attitude, et en cela il est anthropologue : lorsqu'on se trouve dans une « situation inattendue » comme lors d'un voyage ou lorsqu'un

en plus importantes. Ces tribus s’organisent entre elles. Elles vont s’associer et former des confédérations (unir les saxons au burgondes). Ces tribus se sentent de plus en forte.IL semble que ce soit la peur que suscite ces fameux Huns (venant de Chine). Ils font peur aux autres tribus barbares. Les huns ont le visage scarifié. Il détruise tout, et migre de l’est vers l’ouest. Toutes ces tribus veulent trouver refuges à l’intérieur de l’empire. Ces incursions vont se transformer en une véritable