Le dernier jour du condamné
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Devant son exécution, le condamné ressent la peur de sa mort par rapport à la guillotine. Tout d’abord, il éprouve son angoisse et sa sensibilité à sa pendaison. Le détenu exprime ses sentiments: « quand [il] voit au-dessus des têtes ces deux bras rouges, avec leur triangle noir au [...], le cœur [le] faillit. » (Lignes 7 à 9). En appliquant la périphrase désigne les descriptions de la guillotine à substituer l’expression épouvantable du condamné. Puis, le prisonnier révèle l’horreur en regard l’échafaud qui illustre le symbole horrible, effrayant et hideux en périphrase. En effet, le détenu présent cet image au mouvement dans la phrase d’ellipse qui supprime plus nettement les emblèmes de la guillotine évoquée par la frayeur véritable du condamné. Subséquemment, le détenu démontre sa faiblesse physique. Pour marquer son adynamie, il dit qu’: « ses pas sont mous et fléchissent comme s’ [il] [a] deux genoux à chaque jambe. »(Lignes 79 à 81). Le fait de comparer de deux modèles ses pas à deux genoux que le condamné veut énoncer sa douleur. En fait, le prisonnier crée son état d’asthénie physique par illustrer deux genoux: ramolli, tremblé et ni de puissance devant sa décapitation. En d’autre mot, les sensations frayent et les débilités physiques du condamné provoquent fortement par témoignage à l’échafaud.
Ensuite, le prisonnier indique la répulsion et l’imperméabilité au comportement inhumain de la foule. Puis, le condamné ressent de la haine envers le peuple qui voit son exécution comme un spectacle. Le détenu rapporte les paroles de la foule: « chapeau bas! Chapeau bas! Criaient mille bouches ensemble- Comme pour le roi. » (Lignes 133 à 134). En utilisant la métonymie qui monte l’image de la bouche pour parler des gens qui crient. Pour ce faire, le prisonnier éprouve que l’affluence est irrespectueuse de percevoir son exécution ressemble à une scène. Alors, la phrase exclamative «chapeau bas! Chapeau bas![…]» dans la citation représente l’émotion excite