La Peste Le Regard Du Narrateur

contrastée par accumulation crimes de sang / crime de l’âne   Voix du conteur : « peccadille » (car le loup dirait « crime abominable ») qui souligne l’ironie permettant de dénoncer l’injustice. Conclusion      Dans la fable Les Animaux malade de la peste, La Fontaine met en place des personnages types qui correspondent chacun à des individus ou des groupes sociaux. Ces personnages sont ancrés dans la réalité de son temps mais leurs attitudes restent universelles. Le dénouement est triste. Il permet

mathématique et en philosophie. -XIIème : naissance des universités. -Développement d’une culture profane. La fin du M- : le bas M- (XIV-XVème) Période de crises : Crises matérielles : -Famine avec des hivers rudes et des épidémies, ex : La peste-noire qui tua ½ des français. Les guerres : -La Guerre de 100 ans (1337-1475) entre français et anglais MAIS les mercenaires engagés vont piller la France. -Il n’y a donc plus personne pour travailler la terre et l’argent est utilisé pour les rançons

des actions, o un effet d'emphase et d'amplification qui correspond à la solennité du chant épique ; • Syntaxe : o des phrases longues et complexes qui amplifient l'action représentée, o la modalité exclamative qui souligne les sentiments du narrateur, o des effets symétriques et de parallélisme qui manifestent l'opposition et l'affrontement ; • Figures de style : o des comparaisons et des métaphores, qui s'ajoutent à l'impression de puissance et de violence, o des hyperboles, ou des chiffres

L'existentialisme L'existentialisme n'est pas un mouvement littéraire, mais un courant philosophique. L'homme est libre même s'il essaye parfois d'échapper aux responsabilités que lui impose sa liberté. ▪ Quelques grandes œuvres Littérature : Camus, la peste (1947) Cinéma : Chaplin, les temps modernes (1936) Peinture : Guernica Le théâtre de l'absurde ▪ Le contexte historique et culturel Les horreurs de la seconde guerre mondiale, puis les guerres de décolonisation, donnent le sentiment que les

l’essai et le théâtre. Il est de coutume, d’autre part, de distinguer deux étapes dans son œuvre : un premier cycle qui développe le sentiment de l’absurde avec l’Étranger [1] (1942), Le Mythe de Sisyphe (1941) et Caligula (1944) ; un second – La Peste (1947), L’Homme révolté (1951) et Les Justes (1950) – à travers lequel la prise de position contre l’absurde dénoncé en premier, trouve son expression. Sous-jacent à cette exigence fondamentale, et le vivifiant de ses eaux fertiles, un courant profond

le plus simple et finalement le plus rare de communicationxelui de la communication duelle (en tête - à -tête). Or sans même parler du cas épineux du discours littéraire, dans lequel les instances émettrices et réceptrices se trouvent dédoublées, narrateur d'un côte, lecteur (narrataire - de l'autre), de nombreux cas de communication "ordinaire" deviennent par rapport à ce schéma canonique, et il serait urgent d'établir une typologie des situations d'allocution qui tiennent compte du nombre et du statut

question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours ...........229 Séquence 14 Les visages de l’Homme ................................................................231 Séquence 15 Parcours de lecteur : Albert Camus, La Peste, 1947 .....................258 Sommaire | Litterature.indb 3 3 06/09/11 11:52 Séquence 16 Les découvertes des voyageurs ......................................................270 Séquence 17 Histoire des arts : La photographie humaniste

(XVI-XVII-XVIII) Ragotin (XX) Narration indirecte Récit de La Caverne (III) Récit de Léandre (V) Récit d’Angélique (XI) Nouvelle 3 (XIV) Nouvelle 4 (XIX) Il y a donc une alternance régulière entre la narration directe – le Narrateur raconte ce qui arrive aux personnages, non sans intervenir à de nombreuses reprises ; c’est la part du burlesque – et la narration indirecte (un personnage raconte une histoire, ou ce qui lui est arrivé), et c’est la part du romanesque. L’on retrouve

alors les affres et les dangers des pouvoirs en présence dans les années 1998-2002 ? La structure de l’œuvre Matin Brun est une nouvelle, c’est donc un texte très court (11 pages). L’auteur ne perd pas de temps à présenter les personnages (le narrateur et son ami Charlie), le lieu ou l’époque du récit. L’incipit de la nouvelle est donc un incipit « in media res », on rentre directement au cœur de l’action, le lecteur est directement projeté dans « l’état brun » et découvre dès la première page

l’intérêt documentaire (page 7) l’intérêt psychologique (page 11) l’intérêt philosophique (page 16) Bonne lecture ! Alors que l’exode vide Paris, dans un hôtel du Square Cimarosa, dans le XVIe arrondissement, déserté par ses propriétaires, le narrateur, jeune homme auquel on «donnerait le bon Dieu sans confession», se trouve parmi une étrange faune cosmopolite, est «aux mains d’individus peu recommandables» : «le Khédive», «un ancien repris de justice» qui se voit devenir le Préfet de police, et