La Peste Le Dénouement

Segrais sur l’origine des romans (1669) 8. Antoine Furetière (1619-1694) Tout ce qui est romanesque lui paraît arbitraire et artificiel, que ce soit le style, les personnages, l’intrigue, les épisodes, les analyses, les descriptions ou les dénouements. Que reste-il à écrire ? Un texte décousu, une suite de refus et de négations, sans émotion, sans imagination, sans verve, sans rêve. Le Roman bourgeois, ouvrage comique (1666) tient cette gageure. Balayé le roman d’aventures qui florissait à l’époque

peuple entier d'une ville ou d'une province prend part avec ferveur. Les moralités Les moralités apparaissent vers la fin du XIVe siècle, sans d'ailleurs supplanter les miracle plays. Ce sont de véritables pièces de théâtre, avec conflit et dénouement, qui dramatisent les difficultés du salut de l'homme, champ de bataille où les forces du mal - les vices, les péchés, ceux que les artistes du Moyen Âge sculptent sur la façade des cathédrales - montent à l'assaut de la citadelle de l'âme pour la

affectant des manières ridiculement prétentieuses. - «il n’en peut rien autrement» : Il ne peut en être autrement. - «vous m’intéressez» : Il l’a intéressé dès les premiers chapitres. Cette parole de sympathie rassure le lecteur sur la nature du dénouement. Quoi qu’il advienne, il espère que les traîtres seront punis - «bravade» : Défi risquant de n’être pas tenu. - «débrouillerons» : Éclaircirons. - «galérien» : Mérimée avait d’abord écrit : «domestique». Page 422 : - «Ne cherchez pas Orlanduccio» :

Fromentin il triche sur la surface de son blé. Et Athanasie, tu crois qu’elle déclare tout le sel qu’elle met dans ses petits pâtés Bonpain? Arnaud  : mais Jean tu vas dénoncer nos amis ! Jean Vieux  : nos amis ? La peste soit d’eux ! Quand je suis allé les voir pour leur dire de me donner une part de ce qu’ils ont détourné ils m’ont traité de merdaille et bien ils vont voir si le Jean Vieux est une boursemolle. Arnaud  :

d’Aristote, ou du moins rien de ce qui s’y rapporte ne nous est parvenu. Pour cette raison sans doute, la doctrine classique lui attribue un statut inférieur à la tragédie. Et range simplement sous cette définition toute pièce de théâtre qui a un dénouement heureux. CONIO G., FOREST P., Dictionnaire fondamental du français littéraire, Bordas, Paris, 1993. 3.2.3 Les mécanismes du comique a) Première approche - Quelles sensations et quelles impressions associez-vous spontanément

d’Aristote, ou du moins rien de ce qui s’y rapporte ne nous est parvenu. Pour cette raison sans doute, la doctrine classique lui attribue un statut inférieur à la tragédie. Et range simplement sous cette définition toute pièce de théâtre qui a un dénouement heureux. CONIO G., FOREST P., Dictionnaire fondamental du français littéraire , Bordas, Paris, 1993. 3.2.3 Les mécanismes du comiquea) Première approche· Quelles sensations et quelles impressions

une brouille avec Molière. Sa réputation de jeune ambitieux opportuniste s’installe. 1666 Mort de la Reine-Mère, le parti dévot n’a plus de défenseur suprême. Alliance franco-hollandaise contre l’Angleterre. Incendie de Londres (après la grande peste de l’année précédente). Corneille fait jouer Agésilas et, l’année suivante, Attila. 1666 Racine prend prétexte de lettres de Nicole sur les Visionnaires, plutôt adressées à Desmarets de Saint-Sorlin, pour se sentir visé par le terme d’« empoisonneur

intellectuelle). 37 des Voyelles votent sont habilitation à la mission et Rob la conduit dans ses appartements de fonction, un peu trop insistant. Elle pénètre dans sa chambre et décide de lire pour se calmer les esprits. Allis veut d'abord lire La Peste de Camus et se trouve transportée à Oran, seulement par son souvenir du livre, dont les pages sont déjà blanches. Elle ouvre ensuite Le grand Meaulnes de Fournier. Elle devient le personnage principal et voit soudain quelqu'un d'extérieur au récit

jure tout ce qu'on voudra, et que je recommence après, quand je n'aurai plus mal ? CRÉON, lui serre le bras. Ecoute-moi bien. J'ai le mauvais rôle, c'est entendu, et tu as le bon. Et tu le sens. Mais n'en profite tout de même pas trop, petite peste… Si j'étais une bonne brute ordinaire de tyran, il y aurait déjà longtemps qu'on t'aurait arraché la langue, tiré les membres aux tenailles, ou jeté dans un trou. Mais tu vois dans mes yeux quelque chose qui hésite, tu vois que je te laisse parler

Fiche de synthèse n*1 Les animaux maladies de la peste Cette fable s’articule autour d’une scène de jugement qui aborde le problème de la justice avec le thème du bouc-émissaire, c'est-à-dire celui qui paie pour les autres. Le texte propose la satire de l’organisation sociale. La société est dominée par la loi du plus fort fondée sur une perversion, une vacance du droit et un ordre inique. Quelles représentations du pouvoir et de la justice ce texte nous offre-t-il ? Nous analyserons