La Peste Le Dénouement

Jean-Pierre sarrazaC, L’Avenir du drame, Éditions de l’Aire, 198l. – Anne uBersfeLD, Lire le théâtre, Éditions sociales, 1977. 1 Les genres mixtes La tragi-comédie TexTe 1 ➜ p. 108 Corneille, Le Cid n 1. Situation du texte L’étude du dénouement du Cid met en lumière deux caractéristiques de la tragi-comédie : une fin heureuse et les libertés prises avec les règles de bienséance et de vraisemblance. On peut ainsi mieux comprendre 66 • Chapitre 2 • Le théâtre : texte et représentation

Chabrol, La Cérémonie Barbara, Göttingen J.-P. Blondel, Qui vive ? M. Condé, La Belle Créole G. Méliès, La Sirène L.-F. Céline, Voyage au bout de la nuit F. Bon, Sortie d’usine ANALYSE D’IMAGE C. Chaplin, Les Temps modernes TEXTE 2 A. Camus, La Peste D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 F. Vargas, Pars vite et reviens tard TEXTE 3 P. Claudel, Les Âmes grises D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 P. Grimbert, Un secret ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE P. Claudel, Les Âmes grises TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS 178

livre : « L’Heptaméron », celui-ci est librement inspiré d’un autre auteur célèbre qui s’appelle Boccace et qui a écrit « Décaméron », celui-ci est le premier roman dit à tiroir. L’histoire de « Décaméron » : elle commence à Florence, lors de la peste.  10 jeunes aristocrates décident de s’isoler dans un de leur château, à l’écart de Florence (à 50km).  Pendant 10 jours, ces 10 jeunes aristocrates composés de 7 garçons et de 3 filles, tous les soirs décident de se réunir autour du feu pour raconter

rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode

trouve à travers ses actes (le nom donné par les parents n’a pas de sens puisqu’ils l’ont renié). L’oubli progressif de son nom traduit justement la transformation du personnage en autre chose, à savoir un « héros » sanglant. Les noms attribués au dénouement, Goliath, Samson achèvent la transformation du personnage qui devient héros. Les autres personnages ne sont pas nommés car il n’ont pas de vraie vie : archétypes avant tout, ils ne sont que des ombres, des miroirs déformants, voire des images fabriquées

trouve à travers ses actes (le nom donné par les parents n’a pas de sens puisqu’ils l’ont renié). L’oubli progressif de son nom traduit justement la transformation du personnage en autre chose, à savoir un « héros » sanglant. Les noms attribués au dénouement, Goliath, Samson achèvent la transformation du personnage qui devient héros. Les autres personnages ne sont pas nommés car il n’ont pas de vraie vie : archétypes avant tout, ils ne sont que des ombres, des miroirs déformants, voire des images fabriquées

Roche-Derrien. Sa femme, Jeanne de Penthièvre, poursuit le combat. 1345 1346 1347 26 août : défaite de Philippe VI à Crécy-en-Ponthieu. Calais tombe aux mains des Anglais. Edouard III rencontre Philippe VI à Malestroit. Signature d’une trêve. 1348 La Peste noire («la Dame Rouge», p. 22), venue d’Italie, touche la France et l’Angleterre. 1350 Combat des Trente entre Ploërmel et Josselin. Victoire des chevaliers français (p. 16). 1351 1352 10 avril, combat de Montmuran (chapitre 1). 1354 1356 19 septembre

d’un monde révolu : univers héroïque et courtois, c’est le monde médiéval tel que l’ont redécouvert et idéalisé les romantiques. Cœlio rêve d’actions chevaleresques mais au cœur de ce rêve se love un désir de mort. Pulsion de mort qui annonce le dénouement : les couleurs de Marianne seront teintes de son sang, mais le sacrifice de sa vie ne sera utile à personne. 3. Au rêve héroïque s’oppose la réalité présente. Les marques négatives se multiplient : « ne puis » (l. 6), « ne sert point » (l. 6-7)

pour la suite du roman. • 2. LA FIN DU RÉCIT LE DÉNOUEMENT FERMÉ La dernière page du récit (ou excipit) est un moment capital, puisqu’elle assure le dénouement de l’histoire. Ce dernier peut se présenter sous deux formes : Le dénouement fermé apparaît comme un aboutissement : l’histoire est « finie ». ● À la fin du roman de Stendhal, Le Rouge et le Noir, Mathilde ensevelit dans une grotte Julien, qui a été guillotiné. Le dénouement clôt aussi la destinée des autres personnages. Par

l’Inquisition, évolution du protagoniste, théâtralisation de la scène, l'art de conter voltairien Chap.19 depuis « En approchant de la ville » jusqu’à  « dans Surinam. » Dénonciation de l’esclavage : griefs retenus ; critique de l'optimisme Chap.30 Un dénouement philosophique: leçon philosophique ; conclusion morale, évolution des personnages ?   Activités personnelles : lecture de plusieurs contes voltairiens pour tirer enseignement moral et social ; rédaction de pamphlet, articles modernes d'une encyclopédie