La Peste Le Dénouement

les autres arts Séquence 4. Dossier Les sciences humaines dans la littérature et les arts 64 Séquence 5. Groupement de textes et d’images Des situations et figures mythiques 92 Séquence 6. Œuvre longue Un roman philosophique : La Peste de Camus 108 Objet d’étude 3 La parole en spectacle Séquence 7. Dossier Scènes de parole, paroles en scène 128 Séquence 8. Groupement de textes et d’images Les tribunes politiques et leur médiatisation 152 Séquence 9. Œuvre longue

Le brave homme. - «timbré» : Fou (familier). - «extravague» : Déraisonne. - «objet» : La femme aimée, dans la langue classique. - «Malepeste» : Espèce d'interjection qui trouvait son origine dans la peur qu’inspirait autrefois le fléau de la peste, et qui exprimait la surprise. - «sa démence […] lui coupe la gorge» : Hyperbole par laquelle il est prétendu que l’amour de Dorante cause sa mort. - «piquante» : Qui stimule agréablement l’intérêt. - «mon cœur est parti» : Il est à une autre.

...36 2) Les éléments de l’étrange ..........................................................................36 Conclusion .................................................................................................................37 Le dénouement ; la scène du tombeau (acte V, scène 3) .......................................................38 I) La structure générale de la scène............................................................................38 1) Pâris sur la dépouille de Juliette

mots) : Le brave homme. - «timbré» : Fou (familier). - «extravague» : Déraisonne. - «objet» : La femme aimée, dans la langue classique. - «Malepeste» : Espèce d'interjection qui trouvait son origine dans la peur qu’inspirait autrefois le fléau de la peste, et qui exprimait la surprise. - «sa démence […] lui coupe la gorge» : Hyperbole par laquelle il est prétendu que l’amour de Dorante cause sa mort. - «piquante» : Qui stimule agréablement l’intérêt. - «mon cœur est parti» : Il est à une autre. - «extasié» :

scène. Un banni jette l’anathème sur le pouvoir : « Qu’ils crèvent tous dans leur fange crapuleuse et nous mourrons contents. » Philippe Strozzi apparaît désormais comme leur seul espoir. = le sauveur de la liberté italienne. « Adieu Florence, peste de l’Italie », analogie avec la mère stérile (contre l’idée de la mère patrie). Les bannis mêlent leurs voix pour jeter l’anathème sur Florence. Ceci n’est pas sans rappeler le chœur antique. Anaphores de l’adjectifs « maudit(e)s » + « Malédiction

: Le brave homme. - «timbré» : Fou (familier). - «extravague» : Déraisonne. - «objet» : La femme aimée, dans la langue classique. - «Malepeste» : Espèce d'interjection qui trouvait son origine dans la peur qu’inspirait autrefois le fléau de la peste, et qui exprimait la surprise. - «sa démence […] lui coupe la gorge» : Hyperbole par laquelle il est prétendu que l’amour de Dorante cause sa mort. - «piquante» : Qui stimule agréablement l’intérêt. - «mon cœur est parti» : Il est à une autre.

comportements humains. Le recueil Fables est une œuvre colossale comprenant douze livres. Tout le monde connaît bien « La Cigale et la Fourmi », « Le Corbeau et le Renard ». Mais La Fontaine, dans « Le Loup et l'Agneau » ou dans « Les Animaux malades de la peste », s'en prend également aux institutions de son époque et au pouvoir royal. Le texte soumis à notre étude est la quatrième fable du second recueil publié en 1678. « Les obsèques de la Lionne », comme la plupart des fables, situe l'histoire dans le

tyrannique n’est pas un droit encore fixé. La tragédie oppose constamment un droit à un autre, et l’on voit le droit se déplacer et se transformer en son contraire. La tragédie débute à Thèbes, devant le palais, lorsque la ville est frappée de la «peste » et que les Thébains viennent demander secours au roi, et se termine par l’exposition du roi aveugle et déchu par sa destinée à ces mêmes habitants. Dix personnages y prennent part (dont le coryphée, chef de chœur) et 15 choreutes. Les personnages

ici dans une parodie de conte. V- Le dénouement d'une comédie : Tous les personnages se trouvent réunis en un seul lieu, et voient leur sort fixé de manière heureuse. VI - En quoi la métairie s'apparente-t-elle au chateau de Thunder-Ten-Tronkh ? Lieu fermé, hors des atteintes du monde, et vivant en autarcie ; mais ici la métairie appartient au réel : une métairie (= ferme) et non un château, et la prospérité décrite est modeste, mais bien réel. Le dénouement de Candide, c'est la perte des illusions

la fin du premier chapitre : « ici se termine l’exposions de cette…. tragédie parisienne »8. -une crise brutale : où les passions se débrident au cours de scènes dramatiques (chapitre 2). -un faux dénouement : (chapitre 3) qui correspond à l’arrestation spectaculaire de Vautrin -un véritable dénouement : avec la mort de Goriot (chapitre 4). 24 Français Mais ce qui, à mon sens, est le plus important à signaler c’est la complexité de l’architecture de ce roman. C’est un roman qui ressemble à un