La Peste Camus Metaphore

question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours ...........229 Séquence 14 Les visages de l’Homme ................................................................231 Séquence 15 Parcours de lecteur : Albert Camus, La Peste, 1947 .....................258 Sommaire | Litterature.indb 3 3 06/09/11 11:52 Séquence 16 Les découvertes des voyageurs ......................................................270 Séquence 17 Histoire des arts : La photographie humaniste

comprend aisément l’intention xénophobe de l'affiche qui tente de créer un sentiment de méfiance de la population à l’égard de ces résistants, sentiment reposant sur la peur de l’étranger. Ainsi le poète en associant l’idée de l’inconnu à la métaphore de la tâche de sang et à la descriptions de portraits sombres et peu engageant dénonce les procédés utilisés pour effrayer la population et discréditer le mouvement résistant comme le suggère ce vers : « Y cherchait un effet de peur sur les passants

mode pleine d'artifices. Le style précieux : Il se caractérise par : • des exagérations avec l'emploi de superlatifs comme « furieusement », « effroyablement », « terriblement » ou d'expressions du type « cela est du dernier bourgeois ». • des métaphores et des périphrases parfois incompréhensibles. Ainsi pour éviter d'employer des mots bas comme « fauteuil » on parle de « commodités de la conversation », quand au miroir il devient le « conseiller de la beauté ». • des genres brefs comme le portrait

Victor Hugo, Émile Zola, Marcel Proust texte étant fondé sur une série d'antithèses comme  sa face riait, sa pensée non  ou  s'il eût pleuré, il eût ri . Par le biais de la personnication du marteau nommé  Fine , Zola associe, en une longue métaphore lée, l'ouvrage de Goujet à une danse :  les talons de Fine tapaient la mesure . En outre, l'auteur ore une image quasiment épique de son héros, en recourant à des images et des hyperboles : son cou était  pareil à une colonne , ses bras 

Homère, etc. (ii) L’humour joue un rôle chez Érasme et Budé (cf. « non sans complaisance » : auto-ironie de Budé). (iii) À l’inverse Pic et Boistuau ancrent leurs textes dans un sérieux mystique, non moins efficace sur un plan argumentatif. (iv) Métaphores (économique chez Budé, mystique chez Boistuau et Pic) et comparaisons (homme-animal chez Érasme) sollicitent l’imaginaire des lecteurs. (v) À l’inverse, noter le strict didactisme d’Agricola (progression logique du propos, marquée par les connecteurs

position de Franco Cassano 5 B. L’importance de la configuration géographique 5 1. Le rapport entre terre et mer 5 2. Penser la frontière 6 C. Deux auteurs : Albert Camus et Pier Paolo Pasolini 8 1. Albert Camus : Nécessité de la pensée du midi 8 2. Pier Paolo Pasolini 9 IV. Critiques 10 A. Nos critiques de l’ouvrage : « La Pensée méridienne » 10 B. Comprendre la pensée

d'après les oeuvres d'un algérois francophone : Hamdan Ibn Utman Khodja. Paris 4, JeanPaul CHARNAY, 1984. Index : Coloniale Exotisme Histoire Colonisation. ABDELGADIR, Elfatih. Doctorat de 3° Cycle. Images de l'Afrique du Nord dans l'oeuvre d'Albert Camus. Lyon 2, Roger BELLET, 1978. Index : Exotisme Coloniale. ABDELJAOUAD, Hedi. Ph. D. Tendances surréalistes dans la littérature maghrébine d'expression française. Philadelphie, Eric SELLIN, 1983. ABDELKEFI, Hedia. C.A.R. Problématique du récit dans

sens d’exagération, mais dans le sens étymologique. Il passe du monde sensible au monde intelligible. 34 On peut voir dans lui une sorte d’idéalisme, de platonisme. Il faut distinguer le symbole de toutes les autres figures rhétoriques. La métaphore a une base de ressemblance quelque part. Le symbole est beaucoup plus mystérieux et n’a pas de relation avec ce qui symbolise. La poésie symboliste rentrera dans une fonction du langage que consistera à la création de langages nouveaux: les symboles

mouvements littéraires Au 17e siècle, un mouvement est en vogue à partir du salon de Mlle de Scudéry. Il privilégie une expression emphatique, riche en exagérations et en images: métaphores, utilisation de l’adjectif, nominalisé, préférence systématique de la périphrase à l’expression simple et directe, vocabulaire subtil et refus des sujets vulgaires. Comment l’appelle-t-on ?

ce mot n’a été utilisé que tardivement par Ronsard: à l’origine, il existait un groupe appelé «Brigade» (Ronsard, du Bellay, Baïf) constitué au collège de Coqueret sous l’autorité de leur professeur, Dorat. De la brigade à la Pléiade: par simple métaphore, Ronsard comparait sept poètes de son temps aux sept étoiles de la Pléiade, comme on l’avait fait autrefois pour sept poètes Alexandrins du IIIe siècle. Ce mot a très vite désigné les poètes groupés autour de Ronsard et reconnus par lui comme meilleurs