La Maximisation Du Profit

7% de l’énergie dite « verte ». Malheureusement, nous avons tendance à oublier notre source d’énergie qui nous est la plus chère : le Soleil. « La Terre reçoit toutes les 6 heures l’équivalent d’un an de consommation mondiale », pourquoi ne pas en profiter ? Blabla sur le besoin de trouver de nouvelles sources d’énergie……. La Fondation Desertec Alors que les plupart des pays européens essayent de sortir du nucléaire, qui leur fournit une majorité de leur énergie, une fondation multinationale

permettant de résoudre les problèmes de gestion particulièrement ceux ou le gestionnaire doit déterminer, face à déférente possibilité l’utilisation optimale des ressources de l’entreprise pour atteindre un objectif spécifique comme la maximisation des profits ou la minimisation des couts. Entrée P.L. Sorties optimales La plupart des cas les problèmes traités par la P.l. comporte un certain nombre de ressources (mains

actionnaires et les managers ont des intérêts qui différent d’où des relations d’agence entraînant des coûts de surveillance et des coûts d’opportunité. En effet, les comportements d’optimisation des managers peuvent porter sur la maximisation du chiffre d’affaires (Baumol), sur les dépenses de prestige (Williamson), sur une stratégie de croissance par diversification (Marris). Les incidences de ces comportements face à des actionnaires insatisfaits vont de la baisse de leurs rémunérations

mécanismes auto-régulateurs du marché qui assure le bien- être de tous les agents économiques. Ils tolèrent toutefois une intervention de l'État mais celui-ci doit se limiter à un rôle d'État-gendarme en s'occupant de tout ce qui ne rapporterait pas de profit aux entreprises. Au contraire, pour les socialistes, le rôle de l'État doit davantage être mis en valeur, il devient l'État- providence. Les interventionnistes ne croient pas aux vertus et aux mécanismes auto-équilibrants du marché. Ils considèrent

structure de marché, le producteur a pour objectif de maximiser son bien-être, soit son profit (cherche à maximiser son profit) : il va alors chercher à combiner au mieux ses facteurs de la façon la moins couteuse possible (au profit maximum). Le profit du prod : recette totale - couts de production : donc son but est de chercher la quantité de facteurs pr produire la quantité de bien qui maximisera son profit. MAIS On a différentes structures de marché : -la concurrence pure et parfaite : le

Seule celle-ci rend possible la détermination d’objectifs clairs et réalistes car il est impossible d’être efficace avant de décider quelle sera la tâche à accomplir. P.F Drucker s’élève aussi contre l’objectif de maximisation du profit. Il estime que l’entreprise doit obtenir un profit suffisant pour couvrir les risques de l’activité économique. Pour lui, le but premier d’une entreprise est de créer une clientèle. À partir de ce but, il y a deux fonctions essentielles : la mercatique et l’innovation

gouvernance tenant compte des parties prenantes : - Modèle « shareholders » ou « shareholders value » = maximisation de la valeur actionnariale.
 - Modèle « stakeholders » = servir l’intérêt de l’ensemble des parties (salariés, clients, fournisseurs, état, ... et actionnaires). Création de valeur : cette expression signifie qu'une entreprise crée plus de richesse qu'elle n'en consomme au profit de l'ensemble des parties prenantes : actionnaires, salariés, clients, etc. Cette valeur créée est appréciée

[pic] La théorie néoclassique se base également sur un certain nombre d’hypothèses : • L’objectif essentiel et unique de la firme est de maximiser les profits : c’est ce que va chercher le propriétaire en produisant des produits et en les vendant à un prix supérieur à ses coûts pour générer une marge qui dégagera du profit • Dans la théorie néoclassique, on considère que les agents (propriétaires des firmes) ont une rationalité parfaite : • envisager toutes les alternatives

trouve son fondement idéologique dans le « capitalisme » libéral (ou économie de marché), c'est-à-dire sur un système économique qui favorise la propriété privée des entreprises et moyens de production de richesses ainsi que la recherche, la maximisation, du profit. Elle s’appuie sur un immense territoire (« l’infini des horizons » ; « la changeante splendeur… déserts enflammés de l’Arizona ») riche en matières premières, métaux, ressources énergétiques (charbon et pétrole) et productions agricoles

entre les deux économies A et B. On constate que ce choc asymétrique de politique budgétaire induit une iniquité dans la répartition des gains en termes décroissance au profit du pays qui impulse ce choc asymétrique. Il y a donc une non-soutenabilité de ce zone puisque chacun des pays a intérêt, à des fins interne, pour l maximisation de sa croissance, à impulser des chocs asymétriques, ce qui est contraire à l’intérêt mutuellement avantageux. Cela illustre le fonctionnement asymétrique de la zone euro