La Matière Suffit Elle à Expliquer La Nature Des Choses

FAIT SOCIAL ? arrive que nous ignorons le détail des obligations qui nous incombent et que, pour les connaître il nous faut consulter le Code et ses interprètes autorisés ! De même, les croyances et les pratiques de sa vie religieuse, le fidèle les a trouvées toutes faites en naissant ; si elles existaient avant lui, c'est qu'elles existent en dehors de lui. Le système de signes dont je me sers pour exprimer ma pensée, le système de monnaies que j'emploie pour payer mes dettes, les instruments de

synthèse entre la matière et l'esprit. En effet, l'Homme ne crée pas à partir de rien (ex nihilo) mais à partir d'une certaine matière, à laquelle il donne un sens. L'oeuvre d'art est donc le fruit d'une création et de plus une "belle chose". Comment l'Art a évolué au fil des siècles ? Qu'appelle-t-on une oeuvre d'Art ? Quel est le rapport de l'Art à la beauté ?   I. Qu'est ce qu'une oeuvre d'art ?   1) L'oeuvre d'art est le résultat d'une technique et une copie de la nature   Platon et les

chercher quelle est la méthode qui convient à l'étude des faits sociaux, il importe de savoir quels sont les faits que l'on appelle ainsi. La question est d'autant plus nécessaire que l'on se sert de cette qualification sans beaucoup de précision. On l'emploie couramment pour désigner à peu près tous les phénomènes qui se passent à l'intérieur de la société, pour peu qu'ils présentent, avec une certaine généralité, quelque intérêt social. Mais, à ce compte, il n'y a, pour ainsi dire, pas d'événements humains

distinction entre âme et corps, esprit et matière diminue peu à peu. De plus en plus, on créée des machines très performantes, et au cours du temps la science arrive à expliquer le mécanisme de l’homme. Nous avons deux principes vitaux : notre esprit pensant et notre corps matériel. Soit les deux sont confondus, soit l’un domine l’autre. C’est un grand combat entre mécanicistes et vitalistes. Mais certaines choses qui sont en nous sont difficiles à expliquer par une pensée ou l’autre : notre cerveau

c’est « la transformation de la nature par l’intelligence humaine ». Mais lorsque l’on parle d’une œuvre d’art dans la vie courante, on pense le plus souvent à une seule de ces réalisations, une peinture ou encore une œuvre écrite ... L’artiste ressent le désir de créer cette œuvre, ce n’est pas quelque chose de rationnel, il ne peut pas le réprimer, cela devient même un besoin, une vocation, il est appelé à créer. « L'oeuvre d'art naît du renoncement de l'intelligence à raisonner le concret. ». [Albert

DE TEXTE (Durée 4h) Expliquer le texte suivant. La connaissance de la doctrine de l’auteur n’est pas requise. Il faut et il suffit que l’explication, par la compréhension précise du texte, rende compte du problème dont il est question. Il y a deux vues classiques. L’une consiste à traiter l’homme comme le résultat des influences physiques, physiologiques, et sociologiques qui le détermineraient du dehors et feraient de lui une chose entre les choses. L’autre consiste à reconnaître dans l’homme

connais. Mais pour répondre à la question, il faut saisir le sens du comparatif « le mieux placé » suppose que même si je peux me connaître, ce n’est pas moi qui y réussis le mieux ; il faudra donc en comprendre les raisons et déterminer alors qui ou quoi peut prétendre mieux me connaître que moi. Il conviendra alors de réfléchir à la question de la connaissance de soi : a-t-elle des limites, faut-il y renoncer ? 1.1 La conscience me permet de me connaître a) La conscience de soi est au

http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi Site web: http://bibliotheque.uqac.ca/ Émile Durkheim, “Qu’est-ce qu’un fait social ?” (1894) 2 Cette édition électronique a été réalisée par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi à partir de : Émile Durkheim “Qu’est-ce qu’un fait social ?” Un article publié dans Les règles de la méthode sociologique. Paris

+ Sujet et corrigé : expliquer un texte de Berkeley extrait de "Trois dialogues entre Hylas et Philonous" - la cerise par Bégnana 5 Février 2011 Publié dans : #Sujets L ES S Expliquer le texte suivant : Je vois cette cerise, je la touche, je la goûte, je suis sûr que le néant ne peut être vu, touché ou goûté : la cerise est donc réelle. Enlevez les sensations de souplesse, d’humidité, de rougeur, d’acidité et vous enlevez la cerise, puisqu’elle n’existe pas à part des sensations. Une cerise

conscience, la matière et l’esprit Thèse : notre esprit s’illusionnne quand il croit pouvoir penser aux choses en les séparant des sensations que ressent notre esprit. C’est-à-dire que nous sommes dans l’illusion lorsque nous croyons être capable de penser intelligiblement. Les sensations sont indissociables de l’idée que l’on se fait d’une chose. Notes : Georges Berkeley (1685-1753) , écrit à 25 ans ces 24 paragraphes dans lesquels il procède à une démonstration de l’inexistance de la matière. Il place