La Liberté Matrimoniale

Acces au contenu LE COUPLE ET LA FAMILLE Mariage et divorce - Concubinage et PACS - Filiation - Régimes matrimoniaux et successions Mariage et divorce Le mariage Le Code civil ne contient pas de définition juridique du mariage. Il se contente de définir son régime, consacré aux conditions de formation du mariage et aux obligations, devoirs et droits en découlant. Ainsi, pour les dispositions les plus réputées du Code, l'article 212 dispose que " les époux se doivent mutuellement fidélité

Famille : lieu de tension théologique Type anarchique : la famille attentatoire à la liberté individuelle, un milieu étouffant Critique marxisante : milieu conservateur passablement égoïste qui contribue a la reproduction des clivages sociaux. L’union soviétique récusait l’idée qu’il puisse y avoir un dt de la famille, le dt n’a d’autre but d’administrer l’économie. Le dt de la famille intéresse l’économie. Il comprend eu branches : Le dt extrapatrimonial de la famille et le dt patrimonial

préambule de la Constitution de 1946, il est dit « la nation assure à l’individu et à sa famille les conditions nécessaires à leur développement. » La Constitution protège la liberté matrimoniale (se marier ou non). Parfois, on interroge le Conseil constitutionnel pour savoir si une institution atteint ou pas cette liberté matrimoniale. Depuis le 23 juin 2008, il est possible de recourir à la QPC (question prioritaire de constitutionnalité) art. 61-1 de la Constitution. Il est donc possible d’invoquer

PARTIE 1 : Le couple La famille repose sur une union de deux personnes , cette union matrimoniale ou quasi-matrimoniale peut se présenter sous différents visages . Il s'agit de pratiques sociales non organisées par le droit . Ces unions existent donc et peuvent créer des difficultés qui font que le juge est de plus en plus appelé à régler ces difficultés . A coté des unions de faits (concubinage , fiancaille) on retrouve les unions formelles réglementé par le droit (le mariage , le pacs )

Cas Pratique Estelle Catinot exerce depuis trois ans l’activité de courtière au sein de sa propre agence matrimoniale « La flèche de Cupidon ». Le 22 septembre 2010 Estelle conclut un contrat avec Mr.Chabre. Le cocontractant indique dans les questionnaires accompagnant le contrat, être divorcé et vouloir convoler en une nouvelle Union. Pourtant Estelle apprend par les questions trop indiscrètes d’un détective privé mandaté par Mme .Chabre que son cocontractant est en instance de divorce et

AJ Famille 2010 p. 157 Le partage du régime matrimonial devant le juge aux affaires familiales : état des lieux au lendemain d'une réforme (1) Eloi Buat-Ménard, Magistrat, Diplômé notaire Le juge du divorce et la liquidation du régime matrimonial - La connaissance des mécanismes gouvernant la liquidation et le partage des régimes matrimoniaux est depuis longtemps une nécessité pour le juge du divorce. En effet, dans le cas d'un divorce par consentement mutuel, lorsqu'il homologue la convention

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réfléchi et sincère : les vices de consentements Lors de la célébration du mariage, il est nécessaire de vérifier que l'engagment des époux n'est pas vicié. Cela signifie qu’il faut vérifier pour qu’un époux s’engage valablement qu’il ait la pleine liberté de contracter le mariage. Il n'existe néanmoins que a que deux vices de consentement. En effet, en droit de la famille, le vice de dol est exclut. Depuis longtemps, on considère, conformément à un adage de Loisel, que « En mariage, trompe qui peu

civil) , il y'a eu une grande influence des philosophe , les revolutionnaire ont reprit les idées de Liberté , Egalité, Laicité => repercusion sur le droit de la famille => laicisation du droit de la famille càd le mariage depuis cette époque n'est plus considéré comme un sacrement. Mariage = acte civil/juridique (Manifestation volontaire d'une ou plusieurs personne =contrat.) L'idée de liberté explique que le mariage n'est plus indissoluble . Il y'a une lois de 1792 qui crée le divorce. La famille

devant l’autorité civil. C’est la sécularisation du mariage. Cette sécularisation a été confirmée par la Révolution française. Les courants philosophiques qui ont précédés la Révolution, reposaient sur la liberté. Ainsi, les principes régissant la famille et le mariage étaient inspirés de la liberté et de l’égalité. Le code civil marquera le retour en force des conceptions traditionnalistes. Ce n’est qu’au cours du 20ème siècle que les idées plus libérales s’affirment d’avantage. Aujourd’hui, le modèle