La Grosse Tête

TÊTE TORDUE un conte social de Pascal MARC Société de production : Tomsa Films Synopsis Tête TordueThomas est un garçon de 10 ans qui a une tête atypique, à la fois marrante et bizarre : un visage dissymétrique dont un côté est "normal" et l’autre côté est "tordu". À cause de son physique hors norme, il s’est enfermé dans son monde : aussi tordu à l'extérieur qu'à l'intérieur. Il vit seul avec sa mère depuis que son père, un grand torero, parcourt le monde de corrida en corrida sans jamais revenir

la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile (défaite écrasante) Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes ne peuvent plus marcher Et le cœur bien gros, avec des sanglots, on dit adieu aux civelots (civils) Et même sans tambour, et même sans trompette, on s’en va là-haut, en baissant la tête 1 Refrain : Adieu la vie, adieu l’amour, adieu toutes les femmes C’est pas fini, c’est pour toujours, de cette guerre infâme C’est à Craonne, sur le plateau, qu’on va laisser

la tranchée Notre vie est bien utile, car sans nous on prend la pile (défaite écrasante) Oui mais maintenant, on est fatigués, les hommes ne peuvent plus marcher Et le cœur bien gros, avec des sanglots, on dit adieu aux civelots (civils) Et même sans tambour, et même sans trompette, on s’en va là-haut, en baissant la tête Refrain : Adieu la vie, adieu l’amour, adieu toutes les femmes C’est pas fini, c’est pour toujours, de cette guerre infâme C’est à Craonne, sur le plateau, qu’on va laisser not’

la copier, la redistribuer, l’envoyer à vos amis. Vous êtes d’ailleurs encouragé à le faire. Vous devez aribuer l’œuvre aux différents auteurs, y compris à Bibebook. Préface 1 Le dernier jour d’un condamné Chapitre Il n’y avait en tête des premières éditions de cet ouvrage, publié d’abord sans nom d’auteur, que les quelques lignes qu’on va lire : « Il y a deux manières de se rendre compte de l’existence de ce livre. Ou il y a eu, en effet, une liasse de papiers jaunes et inégaux

sang qui coulait le long de sa blessure commençait à sécher. Si seulement, elle ne s’était pas fait repérer quand elle chassait, mais les chasseurs étaient aussi après sa proie – un beau et gros lapin. Heureusement les villageois avaient arrêté de la poursuivre. Enfin, elle arriva chez elle. Elle poussa avec sa tête les planches assemblées avec des cordes. Quand elle rentra, elle reprit sa forme humaine. Yuki était une belle jeune femme, elle avait les cheveux bruns, des yeux en amandes de couleur

boiteux, manchot, gros, gras, obèse, corpulent, enveloppé, trapu, bouffi, maigre, maigrichon, mince, beau, mignon, élégant, charmant, laid, affreux, horrible, vilain, monstrueux, répugnant grand, immense, géant, petit, minuscule, nain, fort, robuste, musclé, faible, Le visage : pâle, bronzé, rougeaud, ridé, joufflu, bouffi, rond, boutonneux, parsemé de tâches de rousseur, parcouru de tics, barbu, moustachu, imberbe, gai, triste, fermé, souriant, Autour du visage : tête ronde, tête carrée, Les

Paysage nu désolé Il n’y a que deux arbres Pas de mauvaises herbes Directeur Femme Grande taille Rousse Taches de rousseurs (autant visage, bras, jambes) Autoritaire Stanley Yelnats Stanley Yelnats IV Née dans une famille pauvre Pas d’amis Gros Surnom : homme des cavernes Les élèves du collège se moquaient de son embonpoint Le plus costaud de la tente Malheureux à l’école Jamais eu d’amis Il ne s’amait pas lui même Arrivé au camps le 24 mai Mrs. Bell Professeur de mathématiques de

menaçantes Les menaces que pratiquement tout le monde connaît sont les feulements et le gros dos, joints au poil hérissé, à une queue gonflée comme une brosse à bouteilles, et à un regard fixe. Un chat qui adopte cette attitude, ce que l'on peut souvent observer lorsqu'un chat rencontre un chien, est prêt à tout pour se défendre et attaquer. Mais un chat qui se réveille, s'étire et baille, fait aussi le gros dos : celui-là n'a rien de menaçant, c'est seulement un signe de bien-être et de détente

palpitaient. La respiration d’Antonio venait prendre pied là, sur les parois de ses flancs. C’est là qu’elle tremblait lentement dans l’attente, quand il guettait à la pique un gros saumon. C’est de là qu’elle s’élançait quand il lançait le harpon sur le poisson, c’est là-dedans qu’elle venait se rouler sur elle-même quand il avalait sa grosse haleinée de plonge ou quand il s’apprêtait à hurler son cri vers les femmes. Antonio aimait toucher ses flancs. Là commençait le creux. Ses jambes, ses cuisses, ses bras

elles ressuscitent pour un instant ; et c’est que par-dessus l’arrête le soleil, basculant soudain, est venu sur elles ; mais lui n’est pas plus gros qu’une fourmi au pied de ces entassements. Il n’en levait pas moins la pioche ; ensuite il empoignait la pelle, cherchant celui qui n’était plus, et c’est le pauvre Séraphin. Il n’avait plus bien sa tête, c’est pourquoi il levait sa pioche dans le soleil ; puis, se baissant, empoignait par le manche la pelle plate, creusant une tranchée à peine marquée