La Gentrification

plates- formes logistiques. • Le logement social existe depuis longtemps et la politique des "empowerment zones" vise à rénover les quartiers les plus défavorisés en incitant à l’investissement (défis- calisation). Cet outil a été celui de la gentrification d’un quartier comme Harlem qui progressa aujourd’hui vers le nord et vers Brooklyn. La sécurisation du centre a eu lieu durant les années ou Rudolph Giuliani était maire (1994-2001) et a renforcé l’attracti- vité de la ville. 3. Les problèmes

etc.) dont NY est emblématique. - Extension des banlieues avec le développement des transports ferroviaires puis routiers - Crise des centres puis rénovation en particuliers des « piers » (ancienne zone portuaire proches des centres) (gentrification : Boston, NY, Chicago) - Développement des edges-cities 3) La façade du Nord Est atlantique a été aussi la porte d'entrée majeure de l'immigration en particulier à New York (Ellis Island) ; il en résulte a la fois la présence de quartiers

de l’économie avec le développement des emplois hautement qualifiés (dont nécessite La City) et d’autres précaires à bas salaire. On peut remarquer une baisse des emplois dans le secteur secondaire et une hausse dans le secteur tertiaire. La «gentrification» résidentielle et commerciale progressive à haut revenus a transformé la forme des villes: les professions libérales = dans les boroughs du Nord et de l’Ouest. Tandis que les ouvriers non qualifiés se concentrent à l’Est. Au nord-ouest de

renouvellements urbains notamment, donnent certes un autre visage aux banlieues, mais on ne peut ignorer que ce nouveau visage participe à rendre ces zones reléguées plus attractives sans que rien ne soit fait ou imaginé pour limiter un phénomène de gentrification inévitable, qui a toute chance de donner lieu à d'autre formes de relégation des populations dont on aura momentanément cherché à améliorer le cadre de vie. Rappelons que notre actuelle Ministre de la Ville presse les offices HLM de vendre une

sociaux. Plus l’indice tend vers 1 plus l’espace concerné est socialement exclusif. C’est à dire qu’il est homogène socialement. Cela ne dit rien d’autre que l’existence ou non de la mixité sociale de l’espace concerné. Le mécanisme en jeu est la «gentrification» progressive des espaces urbains centraux qui par la politique tarifaire du m2. en centre-ville exclut vers la périphérie ceux qui ne peuvent payer ces prix. Ce sont donc des populations aisées ou qui sont intéressées par les activités de centre-ville

pauvres à l’Est -un espace qui se recompose et devient polycentrique: développement de nouveaux centres directionnels, reconversion des zones industrielles situées près du port en résidences aisées ou en centres commerciaux (tertiarisation et gentrification), les bidonvilles situés au centre représentent un capital foncier convoité -des atteintes à l’environnement de plus en plus fréquentes : constructions illégales au bord du littoral, parc national de Sanjay Gandhi grignoté par l’urbanisation

Développement de «science parks» (biochimie, informatique et recherche. Le plus grand «la route 128» à Boston profite de la proximité avec Harvard» Reconversion réussite → réattire les activités donc les populations qualifiées donc aisé → phénomène de gentrification. b) L'inégal dynamisme des périphéries. Périphérie dynamique et attractive = la Sun Belt (fait référence au climat puis à l'économie) , sa réussite s'explique par: Interface terrestre (Mexique avec le dvp des maquiladoras et le Canada)

populaires sont en cours de transformation, les espaces industriels sont reconvertis en logements grands, modernes et chers destinés aux populations aisées. A l’Est, le niveau social est élevé. Le fait de voir des quartiers sans bourgeoisie est appelée gentrification. * Cela conduit à la volonté de gestion durable de la ville. Les transports et la croissance de Londres posent de nombreux problèmes : pollution, saturation de l’espace. Mais aussi la gestion des déchets et l’approvisionnement de l’eau et

l’optique de développer le secteur touristique de leur économie. Ces orientations de politique publique tendent, comme cité plus haut, non seulement à modifier la vocation d’un site, mais également, de manière lente ou plus volontariste, à créer une gentrification des espaces. Celle-ci est plus ou moins forte selon que la ligne suivie joue ou non sur le registre de l’image et du marketing urbain. En effet, certaines opérations de requalification sont clairement des opérations de communication visant le

péri-urbain ou sur les banlieues avec la mise en place souhaitée par le gouvernement d'une nouvelle géographie des banlieues pour 2013.... Si la fin des villes n'est pas selon Levy, d'actualité, leur mutation est réelle : dédensification, gentrification, « crise des banlieues », problème du logement, la question de l'Urbain touche professionnels et élus qui en appellent aux géographes pour tenter de décrypter une situation trop longtemps restée dans l'indifférence générale. La question de l'autovisibilité