La Gentrification

riches Parc Broadway CBD Central Business District Ghetto en voix de réhabilitation → gentrification Nous observons le même phénomène à Carcassonne. - Viguier et La Conte = quartiers assez pauvres, immeubles simples car ils sont vite construits en 1960 car il y a un manque de logement → Baby-boom, immigré, manque de main d’œuvre → cherche

néanmoins quand Latouche parle des années soixante et de “quartier”, cela réveille de mauvais souvenirs et de fait des oppositions. C'est justement dans les années soixante que les quartiers ont commencé à être caractérisés sous les traits de la gentrification ou de la ghettoïsation. Si le quartier est doté d'atouts majeurs il sera l'objet de l'attraction d'une population plus aisée qui sollicitera l'augmentation des loyers et du niveau de vie en général, par conséquent les moins fortunés seront condamnés

« catégories » distinctes : La relégation La périurbanisation La gentrification L’entre soi contraint est le propre de la relégation, c’est la vie obligée en banlieue, l’habitant n’a pas le choix, ghettoïsation et stigmatisation de la banlieue vont alors de paire L’entre soi protecteur caractérise la périurbanisation où les habitants recherchent la sécurité pour eux et leurs enfants, sur le modèle des cités protégées américaines. La gentrification elle est caractérisée par l’entre soi électif et sélectif

s’éloigne du CBD on trouve des zones industrielles et résidentielles. On peut alors constater que les zones résidentielles affichent un coût plus ou moins élevé en fonction de son éloignement du centre ville. On assiste alors à un processus de gentrification : l'espace urbain est organisé selon les catégories sociales de la population et on voit alors coexister dans les villes des quartiers riches et des quartiers pauvres. On peut assister à une fragmentation directe avec des bidonvilles qui côtoient

forment l’archipel Métropolitain car elles sont toutes reliées entre elles. Les villes mondiales sont devenues des modèles d’organisation et de développement, elles possèdent toutes un C.B.D (Centre Business District), leur développement va vers une gentrification des centres et cela développe une ségrégation socio-spatiale avec des quartiers de plus marqué (=entre-soi). Les périphéries intégrés, les BRICSAM et les pays pétroliers font concurrence à la Triade. 2) Des espaces plus ou moins en marges :

les services (en milieu rural il y a désert médical, accessibilité), la stigmatisation d’un territoire… Il y a aussi les stratégies individuelles des uns et des autres. Feuille : Le « travail » de Gentrification : les transformations sociologiques d’un quartier parisien populaire Gentrification : on est plutôt au niveau de l’espace urbain, c’est un processus de transformation de la composition du profil socio-économique des habitants du quartier. C’est un certain embourgeoisement des quartiers

1) Les fractures urbaines La fragmentation socio-spatiale s’observe dans tous les espaces urbains, de la ville-centre à la couronne périurbaine : schéma. a) Dans la ville-centre Quartiers bourgeois traditionnels depuis l’époque industrielle. Gentrification : embourgeoisement des villes-centre par retour d’habitants aisés suite à la rénovation des quartiers dégradés. Enclaves d’habitat dégradé encore peuplées de catégories défavorisées. b) Dans la banlieue Les secteurs de grands ensembles d’habitat

grande majorité des cas synonymes de baisse de l’âge moyen, de l’augmentation du nombre d’enfants par ménages et par l’augmentation de la motorisation des ménages. De manière générale, les banlieues proches de la ville-centre sont témoins d’une « gentrification ». Selon le géographe J-P Dollé, la banlieue a « l’aspect, le visage, la couleur de la ville et ce n’est pas la ville » : ce géographe insiste ici sur la différence entre le centre, porteur d’impulsions dirigées vers la banlieue et celle-ci, malgré

urbaine. Celle-ci se présente comme une mise à l'écart de groupes ethniques ou sociaux par une séparation spatiale. On observe ainsi une opposition entre les beaux quartiers et les quartiers populaires. Les centres connaissent un processus de gentrification (remplacement des populations modestes par des catégories aisées au mode de vie citadin) qui passe par la réhabilitation de l'habitat, des espaces publics et le renouveau des commerces. Les politiques de reconquête économique et patrimoniale ainsi

magasins pour la Bourgeoisie (Halles, le Bon Marché)- lampadaires, colonnes Morisse, égouts, généralisation du gaz, omnibusConséquences sociales et économiques de l’haussmanisation :- toujours des quartiers pauvres, insalubres, peu de sécurité- gentrification, loyers trop élevésD’autres villes de Province comme Lyon, Bordeaux, Marseille, sont aussi touchées par ces transformations.C- Une société en mutation1- L’âge d’or du monde ruralSous le Second Empire, la France est majoritairement rural, les français