La Fête De Gervaise

L’Assommoir, ch. 10 : les hivers des pauvres  PP 377Situation : Gervaise s’est laissée aller à faire des dettes, à moins bien travailler, elle a cédé à Lantier installé chez elle. Finalement, elle a dû abandonner la boutique et s’installer « dans le coin des pouilleux ». Elle est redevenue ouvrière mais néglige son travail. Coupeau ne travaille pas régulièrement. Ils ont quand même fêté la communion de Nana. Le passage résume les deux années qui suivent en évoquant la dureté des hivers pour les

vie L’Assommoir Résumée par chapitres Gervaise Macquart, une jeune femme montée de Plassans à Paris pour y suivre son amant Auguste Lantier dont elle a eu deux fils, Claude et Etienne, est délaissée au profit d’Adèle (I) . Pressée par son voisin, Coupeau, ouvrier zingueur, d’accepter la vie commune, elle y consent, enfin, lorsqu’il la demande en mariage (II). La noce, vaste bouffonnerie teintée d’amertume, assied tout de même Gervaise (III).Le couple forme un bon ménage, vite renforcé

Lecture analytique : L'Assommoir chap. X : l’hiver des pauvres " Mais ce fut là le dernier beau jour du ménage. [...] volé chez son patron " [pic] Introduction : Au chapitre X, Gervaise et Coupeau ont fêté le dernier événement joyeux : la communion de Nana. Puis ils tombent dans la misère et s'installent dans un appartement sordide au 6ème étage (le coin des pouilleux). Opposition avec leurs débuts au chap. II (maison de la Goutte d'Or). Paradoxalement, c'est lorsqu'ils habitent dans les hauteurs

article de Jacques Voisenet, revue Sénéfiance, Publications Université de Provence, 1996. ❏ Document 2 : « La fête de Gervaise », L’Assommoir, Émile Zola, 1877, réédité par Éditions Gallimard, Collection Folio, 1978. ❏ Document 3 : « Les femmes dans les banquets politiques vers 1848 », article de Jacqueline Lalouette, revue semestrielle CLIO éditions électroniques, 2006. ❏ Document 4 : « La fête comme excès », L’Homme et le Sacré, Roger Caillois, Éditions Gallimard, 1938. Avertissement : le barème des

document 2 est un extrait du livre « L'assomoire » écrit par Emile Zola en 1877, réédité par Folio Gallimard en 1978. C 'est un texte de type narratif avec quelques passages de type descriptif. La scène raconte le déroulement du repas organisé par Gervaise avec une blanchisseuse marié à un ouvrier, à la fin du 19eme siècle. Dans cet extrait, l'auteur Emile Zola décrit les différentes attitudes adoptées par la classe ouvrière comme lorsqu'il critique les manières ou le manque de tenue des invités lorsqu'ils

ouvrière II) Une prise de conscience de la misère • Contraste • Formules imagées Analyse L'Assommoir chap. X " Mais ce fut là le dernier beau jour du ménage. [...] volé chez son patron " Au chapitre X, Gervaise et Coupeau ont fêté le dernier événement joyeux : la communion de Nana. Puis ils tombent dans la misère et s'installent dans un appartement sordide au 6ème étage (le coin des pouilleux). Opposition avec leurs débuts au chap. II (maison de la Goutte d'Or).

article de Jacques Voisenet, revue Sénéfiance, Publications Université de Provence, 1996. ❏ Document 2 : « La fête de Gervaise », L’Assommoir, Émile Zola, 1877, réédité par Éditions Gallimard, Collection Folio, 1978. ❏ Document 3 : « Les femmes dans les banquets politiques vers 1848 », article de Jacqueline Lalouette, revue semestrielle CLIO éditions électroniques, 2006. ❏ Document 4 : « La fête comme excès », L’Homme et le Sacré, Roger Caillois, Éditions Gallimard, 1938. Avertissement : le barème des

de la famille des Rougon-Macquart. Gervaise Macquart, fille d’Antoine Macquart (voir La Fortune des Rougon), blanchisseuse, est abandonnée, dans un hôtel du quartier populaire de la Chapelle, par son amant Lantier. Elle reste seule avec ses deux petits garçons, Etienne et Claude (le futur peintre, que le lecteur a déjà rencontré dans Le Ventre de Paris). Un ouvrier zingueur, Coupeau, devient amoureux d’elle et l’épouse. Ils ont une fille, Anna, dite Nana. Gervaise ouvre une boutique de blanchisserie

montrer la générosité de celui qui reçoit les convives pour montrer son pouvoir. 1.2.Le deuxième document est extrait du roman L’assommoir d’Emile Zola écrit en 1877. Le chapitre s’intitule La Fête de Gervaise et est de type narratif. L’idée directrice est la gourmandise lors d’un repas donné pour une fête de la classe ouvrière. L’idée principale est l’importance de la nourriture pour la classe ouvrière. Le troisième document est un article intitulé les femmes dans les banquets politiques en France

les aristocrates savent être généreux grâce aux présents offerts. Document 2 Le document est extrait du roman l’Assomoir d’Emile Zola paru en 1877. C’est un extrait de type narratif. L’auteur nous décrit l’énorme festin donné par Gervaise dans sa boutique lors d’une fête où sont conviés que des ouvriers parisiens de la fin du XIX ème siècle. C’est un repas simple , préparé à l’avance , il n’y a pas de personnels pour servir.Le mari sert du vin ,un invité coupe la viande. Le repas se déroule sur le