La Fête De Gervaise

personnages dans une situation précise et observe leur comportement par rapport au contenu de leur assiette. Le choix de l'aliment, les morceaux choisis et la manière dont ils mangent révèlent leur désirs et leurs sentiments. Ainsi la gourmandise de Gervaise fait apparaître l'étendue de ses frustrations affectives. Manger est pour elle comme le substitut à un amour impossible. Le père Bru, un mendiant, mange tout et n'importe quoi. Il subit la nourriture comme les événements de la vie, c'est-à-dire avec

étions perdus sans toi ! D’ailleurs, je serais perdu sans toi… [Blanc 2.] G. Euh… R3. Allons festoyer gaiement, voulez-vous ? Une poularde bien grasse nous attend et je me sens le cœur à la fête ! [Ils rient tous, et s’en vont gaiement en sautillant de joie.] Scène 9. (prose) Repas de fête. Gervaise est assise à côté de R2. R2, tandis que tout le monde rit, rigole etc. Ecoute, je pensais tandis que nous marchions, tu ne veux pas rester avec nous ? Nous aider, te joindre à nos plans…

naturaliste et cherche à représenter la réalité aussi dure soit-elle. Puis enfin, le commentaire subjectif de l'auteur de cette quatrième de couverture : « Ce neuvième volume des Rougon-Macquart est une satire cinglante des hautes sphères pervertues par une fête qui ruine le peuple et détruit les valeurs. ». Il incite ici le lecteur à lire cette œuvre en utilisant des mots forts comme les verbes « ruiner » et « détruire ». Composition, structure du roman : Découpage général : Le roman est découpé en

FUTUR ANTÉRIEUR PRÉSENT CONDITIONNEL PRÉSENT FUTUR SIMPLE Suite de l’exercice à la page 3 … ©  2003 G    Exercices … suite de l’exercice de la page 2 PAGE 3 3. Je lui ai demandé [s’il viendrait à la fête]. L’abbé PRÉVOST Action du verbe de la subordonnée : antérieure, simultanée ou postérieure PLUS-QUE-PARFAIT PASSÉ ANTÉRIEUR PASSÉ COMPOSÉ ou PASSÉ SIMPLE IMPARFAIT CONDITIONNEL PASSÉ FUTUR ANTÉRIEUR PRÉSENT CONDITIONNEL PRÉSENT FUTUR SIMPLE

double, le commissaire Juve et le journaliste Fandor. Incarnant la part sombre de l'homme, il a fasciné les cinéastes. Souvestre et Bonnard, Fantômas, 1909. Grand Meaulnes : héros adolescent, il découvre par hasard un étrange domaine où se donne une fête mystérieuse et entrevoit une jeune fille, Yvonne de Galais, dont il s'éprend et qu'il épousera. Mais, lié par un pacte d'amitié, il doit s'éloigner. Quand il revient, des années plus tard, Yvonne est morte en accouchant d'une petite fille. Epris absolu

invités de la haute classe sociale, les bavardages vont bon train. Tout le monde évoque discrètement le dîner et la fête qui doivent se tenir le lendemain soir chez Nana. Chapitre 4 Le dîner se déroule dans une atmosphère de séduction, entre femmes aussi légères que lourdement fardées et prétendants, tandis que tout le monde boit beaucoup d'alcool et mange tout autant. La fête s'achève sur une sorte de débauche générale et des bagarres puis, dès l'aube, les invités partent au bois de Boulogne

enceinte (elle fera une fausse couche), et surtout cela lui permet de profiter de l'existence bourgeoise, mode de vie dans lequel elle se livre à corps perdu faute de pouvoir faire autrement. Au milieu des épouses de divers dignitaires, Renée va de fête en fête, dans une débauche de chiffons payés hors de prix chez les tailleurs les plus réputés. Dans ce milieu, c'est à celle qui sera la plus excentrique, et Renée, dotée d'un physique avenant, se montre particulièrement brillante, restant à la limite

été publié à Paris en feuilleton dans le Voltaire d’octobre 1879 à février 1880 et en volume chez Charpentier en 1880. Emile Zola y dépeint deux catégories sociales symboliques , celles des courtisanes et celles des noceurs. Nana est la fille de Gervaise Macquart (l’héroïne de l’Assommoir) et de Coupeau . Résumé du Roman Nana est une courtisane dont le Tout-Paris applaudit les débuts comme actrice au théâtre des Variétés. Les habitués, journalistes, aristocrates et lycéens dévergondés discutent

partie de la famille la plus sage, se préoccupant en majortié de son argent ou de sa réussite sociale, tandis que la branche Macquart regroupe une famille d’alcooliques paysans. Jacques Lantier fait partie de la branche Macquart. Il est le fils de Gervaise, héroïne de « l’Assomoir », mais aussi frère d’Etienne, personnage principal de « Germinal ». Selon Zola, l’hérédité de ses personnages détint sur leur caractère, et la folie meurtrière de Jacques viendrait donc de sa famille, issue du monde ouvrier

dévotion, pourvu qu’elle y absorbât son âme et que l’existence entière y disparût. Gustave Flaubert, Madame Bovary, partie II, chapitre VI, extrait, 1857. › Texte 3 Gervaise Macquart, une jeune provinciale, a suivi Lantier, son amant, à Paris. Vers cinq heures du matin, tandis que ses deux enfants dorment paisiblement, Gervaise, accoudée à la fenêtre de sa chambre d’hôtel, s’inquiète de l’absence de Lantier qui n’est pas rentré de la nuit. L’hôtel se trouvait sur le boulevard de la Chapelle 5