La Fonction Des Didascalies

réplique « Oh il va me parler aujourd’hui, oh le beau jour encore que ça va être ! » par l’interrogation ainsi que par l’expression « oh le beau jour ». On observe également un champ lexical de la joie avec au vers 2 l’adjectif « joyeuse » dans la didascalie mais aussi « sourire » au vers 15 puis l’adjectif merveilleux au vers 15 intensifié par « si ». Winnie semble donc en effet heureuse par avance de la journée qui tend à se passer. Ce personnage possède cependant quelques similarités avec un personnage

Scènes 3 et 4 Pbmatique : un « spectacle » théâtral à destination à la fois du spectateur et des personnages par l’exploitation scénique et le langage théâtral. 2 mouvements dans le passage : la scène 3 : fin : un interrogatoire à double fonction : implicite pour Roxane, explicite pour le spectateur. La scène 4 : scène de conflit entre C et Christian qui veut s’émanciper de sa tutelle langagière. Si la Préciosité est centrale au début de la scène (partie coupée), elle continue à compter

phrase exclamative «  Et vous vous figurez que je verrai faire sans rien dire ! » l.25 témoigne là encore de la colère de Ruy Blas ainsi que le parallélisme « Comme un infâme ! Comme un lâche ! Comme un chien ! » l.57. Cette violence verbale, qui fonctionne comme une menace, montre qu’il est prêt à tous pour se venger. La gradation décroissante « une épée, une hache, un couteau » l.31 montre que Ruy Blas veut faire peur à Don Salluste, il le menace physiquement à travers cette gradation d’arme. Il

considéré comme le point culminant de la pièce. On peut, en prenant en particulier pour repères les didascalies, y distinguer quatre parties : - Lignes 1-5 : Figaro, qui aime sincèrement Suzanne et pense qu’elle l'a trahi, est bouleversé. Sur le conseil de sa mère, il s’est rendu au jardin où ont lieu les rendez-vous, apparaissant vêtu d’un grand manteau, coiffé d’un large chapeau rabattu. La didascalie, « Seul, se promenant dans l’obscurité, il parle du ton le plus sombre », annonce un désespoir qui

et grotesque La composition du passage : Don César s’amuse tout d’abord de cet homme qu’il prend tout naturellement pour le mari de la femme avec qui il a rendez-vous. Sa bonne humeur s’oppose à la colère de DG qui « s’avance d’un pas roide » (didascalie) et le quiproquo est ici inversé puisque c’est DC qui se trompe alors sur l’identité de DG. Il fait mine tout d’abord d’être, et ce avec la plus grande jovialité, uni dans le malheur avec DG  (il est vrai que tous deux ont été bernés): l’effet

expression : “Primo, ces alguazils qui m’ont pris dans leur serre ; puis, cet embarquement absurde” (v.1576-1577) mais l’acte se conclut sur son arrestation par des alguazils qu’il a lui-même appelés à la rescousse qui se manifeste dans la dernière didascalie du narrateur “Entre un laquais en livrée portant sur son dos une grosse sacoche”. Cependant, nous décrirons César comme un antihéros, puisqu’il opère en permanence en cachette quand il échappe des laquais, puis il s'assure de n'être entendu par

Les fonctions : Définition : C’est le rôle dans une phrase Fonction par rapport à un nom Fonction par rapport à un verbe 1-Complément du nom Ex : Le chien du voisin voisin Ct du N de chien 1- Sujet 2- Épithète : adj qui qualifie un nom Ex : Un chien mauve mauve épithète du nom chien 2- C.O.D Ex : Je mange une pomme c.o.d du verbe manger 3- En apposition à ne pas apprendre 3- C.O.I Ex : je parle a Sara 4- Attribut : 1- Il faut un verbe d’état 2- Il faut que

est-ce une scène d’exposition ? I Le Cadre spatio-temporel 1) Les lieux : commerces, ville, place de café, espace ouverts 2) Le moment : didascalies l23, dialogue l69-50-93 3) Les sons : l25 « carillon », son rhinocéros, son très important. II La Présentation des personnages 1) Leur entrée en scène : dans leur fonctions (ménagère et épicière), certains présents mais n’interviennent pas, pas tous identifiables, Béranger et Jean se distinguent des autres (prénoms, arrivée

d'être vu joué sur scène pour prendre toute sa valeur ? I/ La lecture suffit à apprécier une pièce de théâtre. 1. La beauté du texte théâtral. Texte avant tout littéraire, voire poétique (versification, V. Hugo, Racine...) 2. Rôle des didascalies. Fonction informative des indications scéniques, au plus près de l'auteur, pas « perverties » par metteur en scène. 3. Imagination du lecteur. Travail de l'imaginaire, le lecteur devient metteur en scène (selon Musset, texte de théâtre = « spectacle

la Reine d’Espagne, seule dans sa chambre laisse libre cours à ses sentiments et à sa rêverie dans un long monologue lyrique. Elle y révèle ses inquiétudes et donne en même temps des informations sur R.B et D.S. PROBLEMATIQUE : Quelles sont les fonctions de ce monologue, placé très tôt dans la pièce ? PLAN : Ce monologue est d’abord un monologue d’aveux, mais c’est aussi un autoportrait de la Reine qui tourne à un véritable portrait de R.B. I. Un aveu réticent La Reine, s’enfonçant dans sa rêverie