La Famille Thénardier

qui vous manquent dans le cahier, en partie Lettres. QUESTIONS DE LECTURE I. Gavroche sur les barricades 1. Rappelez en quelques mots qui est Gavroche dans Les Misérables. Dans Les Misérables, Gavroche est le troisième enfant de la famille Thénardier. Ses parents ne l’aiment pas ; aussi préfère-t-il choisir de vivre dans la rue. Son caractère débrouillard et sa gouaille en font un personnage des plus attachants dans le roman. N.B. : Il est devenu si célèbre que le mot « Gavroche » est

aux Seychelles et ils vont décider de la nouvelle stratégie de recherche du fabuleux trésor de La Buse. La salle de rédaction du Guetteur Moderne est remplie d'une dizaine de journalistes pour la réunion du mardi. La chef de rubrique Christiane Thenardier toise Lucrèce Nemrod, jeune journaliste scientifique aux grands yeux verts et à la tignasse rousse. - Et c'est qui ce monsieur La buse? - Un flibustier français de l'océan Indien. Aidé d'un autre forban, l'anglais Taylor, surnommé la terreur des

Italie, en Espagne, où il est élève au séminaire des nobles de Madrid. Vers l'âge de onze ans, il vient habiter avec sa mère ,Sophie Trébuchet, qui est royaliste et catholique, séparée à cette époque du général, à Paris. Il est le benjamin de la famille qui compte déjà deux fils . C'est là qu'il grandit dans une liberté d'esprit et de lectures absolue, sous les yeux d'une mère extrêmement indulgente et assez insoucieuse à l'endroit de l'éducation. Il s'élève tout seul, lit beaucoup, au hasard, et

son visage est même décrit comme étant une "écumoir", elle devient un objet dénué de toute vie. En opposition à la faiblesse de Cosette l'auteur emploie des termes comme "colosses" "éléphant" ou "ogresse" pour symboliser l'écrasement morale de la Thénardier sur celle-ci. On peut noter que le terme "Bourreau" en fin de phrase résume le mal dont elle est capable. Á l'époque le roman avait des personnages fictifs qui ne se rapprochaient pas de la réalité ils avaient une sorte de "pouvoir"

redevenue terrible, pousser dans les ténèbres un sourd rugissement » (l.49) Son emprisonnement au bagne pour avoir volé un morceau de pain pour sa famille aura laissé des traces chez Jean Valjean. Rendu malhonnête et presque mauvais par cet épisode de sa vie, il ne se repentira que grâce à Cosette, que sa mère Fantine lui a demandé de sauver des Thénardier. C’est lorsqu’il se rend compte que Cosette n’est pas loin de lui échapper, de faire sa vie sans lui que Jean Valjean sentira cet être enfoui en

font qu’un, comme dans Les Misérables , l’œuvre de sa vie. En effet, dans cette œuvre, Hugo traite du thème de la pauvreté, entre autres, à travers son personnage de Fantine, jeune mère monoparentale d’une enfant placée en famille d’accueil. Hugo illustre, dans l’extrait étudié, que la pauvreté entraîne d’abord la déchéance physique de la jeune femme qui, elle, entraîne à son tour sa déchéance morale. À première vue, Hugo traite du thème de la pauvreté à travers la

Question 1: 1.1 Ce document est un extrait d’essai de type informatif intitulé Histoire de la famille publié en 1986 aux éditions Armand colin. Le nom de l’auteur ne nous est pas indiqué. Cet extrait met en avant les différentes causes des abandons d’enfants depuis le XVIème siècle. Premièrement au XVI et XVIIème siècle, il existe deux sortes d’abandon. Tout d’abord l’abandon à la naissance à cause de la « honte » et des jugements portés aux filles-mères et ensuite l’abandon d’enfants âgés

dénoncer les travers de la société en prenant par exemple les écarts sociaux à une époque comme l'a fait Victor Hugo dans Les Misérables où il présente au cours de 5 Tomes la famille Thénardier qui représente le pouvoir sur les classes inférieures, la richesse et Cosette, cette pauvre jeune fille au service de cette famille qui la traite comme un vulgaire objet à leur service. Mais les auteurs plus contemporains comme Olivier Adam peuvent se concentrer sur des problèmes actuels comme il a fait dans

heure, à dix-huit ou vingt ans, suivant un usage assez répandu dans les familles parlementaires. Charles Myriel, nonobstant ce mariage, avait, disait-on, beaucoup fait parler de lui. Il était bien fait de sa personne, quoique d’assez petite taille, élégant, gracieux, spirituel ; toute la première partie de sa vie avait été donnée au monde et aux galanteries. La révolution survint, les événements se précipitèrent, les familles parlementaires décimées, chassées, traquées, se dispersèrent. M. Charles

il retrouve la raison. Il meurt entouré de l’affection des siens. - L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1607-1625): c’est un roman pastoral (qui représente la vie champêtre et les mœurs des bergers). Le berger Céladon aime la bergère Astrée, mais leurs familles se détestent et la jalousie d’un rival vient les séparer. Après bien des épreuves, ils ne parviennent pas à se révéler leurs sentiments et ils sont disposés à mourir. Mais la fontaine de Vérité d’Amour découvre les cœurs et scelle le mariage.