La Famille Dans Le Père Goriot

Précédent Suivant > Explication du texte : BALZAC, Le Père Goriot Chapitre 1 10 Novembre 2009 Consulté 15903 fois Profs Elèves Parents Ecrire sur son mur Ajouter à mes amis étude de texte - Niveau Lycée - Français PDFmyURL.com Imprimer Envoyer à un ami Ajouter à ma bibliothèque No t e r Balzac, Le Père Goriot (1835) Chapitre 1 Maxime regardait alternativement ... Explication Eugène de Rastignac, issu d’une vieille famille aristocratique désormais appauvrie, incarne la figure

meilleur ami Luo, 19 ans, autre personnage principal de ce récit, est son voisin de palier avant leur départ pour la rééducation ; ils grandissent ensemble sans jamais se disputer. Le père de Luo est un dentiste célèbre dans toute la Chine pour avoir « touché » les dents du président Mao. Mais après cet événement toute la famille avait été déclarée « ennemi du peuple ». Le dernier personnage de ce livre est une jeune fille des montagnes surnommée la petite tailleuse dont vont s’éprendre les deux amis

Balzac nous fait part de la description de la pension à Mme Vauquer. C'est une pension de famille situé à Paris en 1819. Le roman s'ouvre sur la description détaillée et statique de la pension Vauquer et il enchaîne par la description dynamique des personnages.  Nous avons Mme Vauquer au saut du lit. Pour Balzac, il s'agit de montrer le personnage et les lieux où il vit. Le décor a été modelé par le personnage et le décor agit sur ce personnage : c'est une interaction entre le décor et le personnage

réelle on peut l’identifier grâce à son nom de famille, son sexe, âge ou même origine sociale. Le romancier rend le personnage proche du lecteur qui peut ainsi s’identifier à lui et s'y attacher, ainsi, les caractéristiques du personnage données par l’auteur permettent au lecteur de s'impliquer dans le roman, jusqu'à ressentir ses émotions, par exemple dans « Le Père Goriot » de Balzac (1835), où le lecteur est pris de pitié pour le personnage du père Goriot, qui se dépouille pour installer ses filles

moins que son père et est une femme très dure : BALZAC disait d’elle « Ma mère me haïssait avant que je fusse né ». Son enfance fut traumatisante. 2) Etudes et rencontres En 1816, BALZAC entame des études de droit mais suit aussi le métier de clerc de notaire auprès de Jean-Baptiste GUILLOMET-MERVILLE qui lui inspira plus tard le personnage de Derville dans Le Colonel Chabert. Il obtient son diplôme en 1819 mais se consacre finalement à l’écriture. Sa famille quitte Paris en

Biographie d'Honoré de Balzac (1799-1850) Honoré de Balzac est né le 20 mai 1799 à Tours et mort a Paris le 18 août 1850, où il était issu d'une famille bourgeoise car son père était directeur des vivres de la 22ème division militaire de Tours. Il aura deux sœurs et un frère. A huit ans, Balzac fut envoyé au collège de Vendôme où il sera pensionnaire. Il vécut une expérience traumatisante qui donna lieu à l'œuvre Louis Lambert en 1832. Au début, Balzac était destiné à la carrière

dominante, qui constitue son caractère propre ; puis il leur attribue les habitudes, les gestes, les paroles, les professions qui leur conviennent et crée ainsi des types inoubliables par leur intense réalité : Grandet représente l'avare, Goriot la paternité, Gaudissart le commis voyageur, Rastignac l'arriviste, Vautrin le forçat. Balzac excelle en particulier dans la peinture de cette bourgeoisie moyenne provinciale ou parisienne

BALZAC - LE PERE GORIOT Vautrin s'efforce de montrer à Eugène l'antagonisme violent de sa situation : l'aspiration sociale et la réalité de sa condition. Pour cela il développe un tableau et un portrait d'une exactitude redoutable. Le contrôle de l'équipage : le tableau des hobereaux provinciaux Le ton est ironique, volontairement enjoué et paternaliste : Vautrin singe le tableau d'une famille régnante en révélant la sordide condition de la famille Rastignac. Il emploie volontairement un

Eugénie Grandet est un personnage de la Comédie humaine d’Honoré de Balzac. Née en 1796 à Saumur où elle mène une vie ennuyeuse entre un père d'une avarice sordide, une mère bonne mais passive, et la servante Nanon, dévouée comme un chien à l'avarice de son maître Félix Grandet. Elle n'apparaît que dans Eugénie Grandet, (1833), mais elle représente un type original qui a inspiré La Demoiselle à Ivo Andrić1, et que Fiodor Dostoïevski a traduit en russe. Il y a puisé l'inspiration pour l'univers

Distinctions Chevalier de la Légion d'honneur Fondateur et président de la Société des gens de lettres Œuvres principales La Comédie humaine (cycle romanesque), (1831-1850) Les Chouans, 1829 La Peau de chagrin, 1831 Eugénie Grandet, 1833 Le Père Goriot, 1835 Le Colonel Chabert, 1835 Le Lys dans la vallée, 1836 Illusions perdues, 1837-1843 Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1846 Compléments La Comédie humaine a été publiée en 20 volumes illustrés de (1842 à 1852) par Charles Furne