La Dimension Fantastique

haschich, à l’opium, à la morphine et à l’éther qui lui confèrent, pense-t-il, une aide indispensable à la création. L’éther le met dans un état de dédoublement et les hallucinations dont il est conscient lui font craindre la folie. Dans ses contes fantastiques, reviennent donc les thèmes du double et de l’invisible. L’insolite rejoint l’anxiété. Il publie en 1883 Les Contes de la Bécasse. Une Vie paraît dans Gil Blas., journal à fort tirage. Suivront en 1885 Les Contes du jour et de la nuit, Bel-Ami

Le Horla de Guy de maupassant SommaIre Séance 1 › La nouvelle fantastique Dominante : lecture-découverte de l’objet livre Séquence pédagogique réalisée par Kim-Lan Delahaye, professeure de lettres modernes dans les Hauts-de-Seine p. 2 Séance 2 › entrer dans le récit Dominante : lecture analytique p. 3 Séance 3 › Le début de la folie Dominante : lecture analytique p. 4 Séance 4 › L’écriture du fantastique Dominante : langue p. 5 Séance 5 › Les adverbes Dominante

part entière. C’est l’époque du romantisme, du réalisme, du fantastique. Nous pensons à La peau de chagrin, paru en1831, d’Honoré de Balzac (1799-1850), ou encore à La Vénus d’Ille, paru en 1837, de Prosper Mérimée (1803-1870). Nous suivrons tout au long de notre développement, l’évolution du roman et des styles sous lesquels il s’est manifesté au fil des époques. Principalement le roman précieux, le roman-mémoire et le roman fantastique. Nous tenterons au cours de celui-ci, d’identifier à quels

un sens technique de « chose écrite » puis évolue à la fin du Moyen Âge vers le sens de « savoir tiré des livres », avant d'atteindre aux XVII-XVIIIe siècles son sens principal d'aujourd'hui: ensemble des œuvres écrites ou orales comportant une dimension esthétique ou activité participant à leur élaboration. La littérature a donc, depuis des siècles, pour but de transmettre un savoir ou d'exprimer son opinion. Mais le rôle de la littérature est-il uniquement de défendre des idées? Tout d'abord,

-L'irruption du fantastique de produit avec les paroles de la chanson du batelier. Le verbe "ecoutez" a l'imperatif, implique le lecteur dans le poeme qui se retrouve au rang des convives du cabaret. Le poete nous intime l'ordre d'ecouter un autre chant, qu'il enchasse dans son recit. Il s'agit ici d'une mis en abyme de la chanson et cet aspect renforce le cote incantoire du poeme. -La chanson nous plonge dans les legenes germaniques (on pense bien sur a la Loreley). L'univers est celui du fantastique : "sous

libre-cours à leur imagination. Ainsi, la poésie, la fantaisie, la musique, etc… mêlée dans l’Ecume des jours de Boris Vian donnent une dimension surréaliste à ce roman. L’auteur nous décrit un univers tout à fait différent de celui que nous connaissons. Par ailleurs, J.K Rowling est aussi un bon exemple ; les tomes d’Harry Potter présentent un univers totalement fantastique. Ils narrent les aventures d'un apprenti sorcier nommé Harry Potter et de ses amis dans l'école de sorcellerie de Poudlard. Là aussi

français première, hachette éducation dossier sur le roman p. 95 à 102. Lectures analytiques : 1) Incipit : du début jusqu’à « une prière de bénédiction » 2) La mort du roi : « Il laissa tomber… Katabolonga hurla. » (p.50-52) 3) Une scène fantastique : « Oui. Je vois…dans les flammes. » (p 125-127) 4) Une fin peu glorieuse : « le signal fut donné... » jusqu’à la fin du chapitre. (p. 200-202) Lectures cursives  d’extraits : Homère, Iliade, p.100 du manuel, extrait du chant XXII, la

un certain nombre de questions essentielles : où l'histoire se passe-t-elle ? à quelle époque ? qui la raconte ? quels sont les personnages ? etc. Dans l’incipit de Germinal, Zola, romancier réaliste, puis naturaliste, oscille entre réalité et fantastique. La description qu’il fait de la plaine rase, par une nuit sans étoiles, de l’homme qui marche sur le sol noir, si fragile face à l’intense froidure de l’hiver, qui a froid et faim, s’oppose à celle de la mine, métamorphosé en une sorte de monstre

son lieu d'incarcération le soir même de son arrestation, sous le regard incrédule de deux gardiens. Censée introduire le personnage, cette scène d'exposition est paradoxale car celui-ci se dérobe complètement, conferant à cet extrait une dimension fantastique. I) Une scéne d'exposition non conforme Refus du vraisemblable ou du réalisme : Premiére scène decevante : aucune indication de lieu ou de temps precise, celle-ci ne nous apporte aucune information importante, nous ne savons rien des

français première, hachette éducation dossier sur le roman p. 95 à 102. Lectures analytiques : 1) Incipit : du début jusqu’à « une prière de bénédiction » 2) La mort du roi : « Il laissa tomber… Katabolonga hurla. » (p.50-52) 3) Une scène fantastique : « Oui. Je vois…dans les flammes. » (p 125-127) 4) Une fin peu glorieuse : « le signal fut donné... » jusqu’à la fin du chapitre. (p. 200-202) Lectures cursives  d’extraits : Homère, Iliade, p.100 du manuel, extrait du chant XXII, la