La Dimension Fantastique

Nous verrons comment le dernier portrait de Nana dépasse le traitement naturaliste. Pour cela nous étudierons tout d'abord les différents éléments du portrait naturaliste et nous analyserons ensuite en quoi ce portrait dépasse la dimension naturaliste. Nous allons voir dans un premier temps en quoi ce portrait de Nana repose sur un ancrage spatio-temporel réaliste puis, nous nous intéresserons à la présence des personnages pour enfin nous pencher sur l’évocation

voire de son auteur. Il sera intéressent de se demander dans ce devoir si un personnage de roman doit-être exclusivement réaliste ou plutôt présenter une dimension exceptionnelle. Pour cela nous étudierons en premier lieu l'intérêt pour l'auteur et son lecteur d'un encrage du personnage dans le réel. Nous constaterons ensuite qu'une dimension exceptionnelle lui est souvent apportait. Lorsque le roman est situé dans une période historique précise, le personnage est symbolique de l'époque. Il

évoque son expérience de résistant durant la guerre. Ce roman est écrit dans la veine néoréaliste. Mais très vite, son éditeur l’encourage à se tourner vers une littérature plus populaire, en exploitant la veine de la fable ou du conte sur un ton fantastique et humoristique. De ces encouragements naitra la trilogie intitulée Nos ancêtres et composées de trois romans, Le Vicomte pourfendu, Le baron perché et le Chevalier inexistant. À la suite de cette expérience, il entreprend de traduire et de compiler

définissant le récit fantastique, on songe tout d'abord aux thèmes originaux qui paraissent être liés croyerz moi on a envi plus que vou de le constitutivement au fantastique, tels que la magie, le spiritisme ou l'occultisme, qui alimentent le genre en sujets. J. Bellemin-Noël parle d'un nombre limité de thèmes, bien que chacun admette une infinité de variantes,et fait remarquer que le fantastique a tendance à ne durer que le temps d'un frisson.2 On constate universellement que le fantastique est un genre

naturel/surnaturel se mêlent également dans le corps du vieillard. Cet « être sans vie », dont le visage rappelle une « tête de mort », a gardé une certaine vivacité. D’où le recours à l’oxymore « cadavre ambulant », qui introduit une dimension surnaturelle dans le portrait. Cette dimension préside aussi à l’évocation du tableau de Vien : elle tient à la fois au sujet (un personnage mythologique, Adonis), au modèle (un être contre nature ou hors nature) et à la facture de l’œuvre : elle semble en effet due

61 Revenire Cuprins Le fantastique dans les contes de Maupassant et de Poe Lect. dr. Alexandra Viorica Dulău Universitatea « Babeş-Bolyai », Cluj On présente les traits communs et les différences entre les œuvres fantastiques des deux écrivains. Ils se déclarent contre le romantisme et cherchent l’originalité tout en se basant sur la lucidité, mais tous les deux utilisent des symboles romantiques pour réaliser l’atmosphère surnaturelle. L’auteur français considère que le talent est dû au

qualités il peut compter sur ses qualité, le courage et la ruse → Se pose la question du libre arbitre. Nous pouvons citer le cyclope, le chant des sirènes, les géants, Charybde et Scylla, Circé … Toutes ces épreuves relèvent du magique et du fantastique. Elles sont tantôt des épreuves de forces, tantôt de la séduction. Épreuves dont Ulysse sort toujours vainqueurs. A la fin de son périple il rentre à Ithaque après 20 ans de périple, ou sa femme Pénélope continue de l'attendre malgré les pressions

ce recueil en 1817 appelé Nachtstücke ou Contes Nocturnes dans lequel on retrouvera L’Homme au Sable. Il meurt le 25 juin 1822. Présentation : C’est une nouvelle fantastique, il y a donc rupture avec le réel et irruption du surnaturel. HOFFMAN va inscrire son récit dans le réel par 3 lettres liminaires renforçant la dimension réaliste de l’histoire puis ces lettres sont suivies par le récit du narrateur nous expliquant pourquoi il a choisi de commencer par ces lettres puis il nous relate la

pathétique, ironique, réaliste et | |chez l’homme face au |et à ce qui est inscrit |tragique | |tragédies, |fantastique | |destin… et de la compassion|(dimension religieuse) | | |les textes sacrés, la | | |

panorama prend l’aspect d’un tableau fantastique. C’est le choix de la saison – « on était à l’automne » - qui permet ce traitement très pictural de la description : l’automne est la saison la plus riche en couleurs variées. Ici, on relève « bleuâtre », gris doux et tendre », « or », rosée »… Le jeu des couleurs, ajouté aux variations de lumière crées par le coucher de soleil, confère un côté magique au paysage. Et c’est bien une ambiance de conte fantastique que nous décrit Zola : « C’était comme