La Danse macabre

désastre de Lisbonne est une œuvre écrite par Voltaire en 1756. Inspiré par le tremblement de terre de Lisbonne, qui eut lieu le 1er novembre 1755, le philosophe y exprime de manière pathétique son émotion devant le désastre, le peint de manière macabre et manifeste ses doutes et son mépris quant aux théories optimistes de Leibniz (qui veut que tout soit bien dans le meilleur des mondes.) Poème sur le désastre de Lisbonne Ô malheureux mortels ! ô terre déplorable ! Ô de tout le mortel assemblage effroyable

empoisonnée et prépare aussi une coupe de poison. Gertrude annonce la mort d’Ophélie qui s’est noyée dans la rivière. Acte V : deux fossoyeurs creusent la tombe d’Ophélie et discourent sur le suicide. Hamlet passe par là et se permet quelques macabres réflexions sur les vanités terrestres. Arrive un maigre cortège dont fait partie Laërte qui s’insurge devant le rituel écourté. Hamlet comprend qui est la défunte et il se précipite en jurant l’avoir aimée, ce qui fait redoubler la colère de Laërte

trafiquant à ma face,L'un de son vieil honneur, l'autre de sa beauté! Et mon coeur s'effraya d'envier maint pauvre hommeCourant avec ferveur à l'abîme béant,Et qui, soûl de son sang, préférerait en sommeLa douleur à la mort et l'enfer au néant! Danse macabre à Ernest Christophe. Fière, autant qu'un vivant, de sa noble stature,Avec son gros bouquet, son mouchoir et ses gants,Elle a la nonchalance et la désinvoltureD'une coquette maigre aux airs extravagants. Vit-on jamais au bal une taille plus mince

Dürrenmatt démasque la versatilité des valeurs et des discours politiques, décapite les conventions et poursuit une réflexion radicale sur la justice. Sous sa plume aux odeurs de souffre, amour, vengeance, cupidité, conscience et morale mènent une danse macabre où le grotesque du monde se joue de la vérité. Dürrenmatt révèle avec génie les mécanismes qui conduisent une collectivité à perdre toute notion de bien et de mal au nom du sacro−saint argent. Difficile de ne pas entendre d’écho à l’heure actuelle…La

que la pièce ne commence, en y installant une ambiance fantomatique. La musique nous fait rentrer dans une sorte de transe, il y a une dizaine de personnages masqués sur scène prenant part à une sorte de rituel qui nous annonce déjà l'atmosphère macabre, fantastique et enchanteresse dans laquelle la pièce va se dérouler. La nourrice arrive en chantant sur scène avec un costume somptueux propre à l'opéra chinois. Elle porte une grande coiffe, sa robe est rouge pourpre et blanche avec quelques dorures

BEAUTE XXII. — PARFUM EXOTIQUE XXXIV. — LE CHAT XLIII. — LE FLAMBEAU VIVANT XLIV. — REVERSIBILITE XLVII. — HARMONIE DU SOIR LI. — LE CHAT LXVI. — LES CHATS LXXXVII. — LE SOLEIL LXXXIX. — LE CYGNE XCII. — LES AVEUGLES XCVI. — LE JEU XCVII. — DANSE MACABRE CIX. — LA DESTRUCTION CXIV. — ALLEGORIE CXXI. — LA MORT DES AMANTS CXXVI. — LE VOYAGE 

Un poème en forme de vanité. En peinture, la vanité est une nature morte qui rappelle, sous une forme allégorique, la fugacité et la brièveté de la vie et le caractère vain des plaisirs, des honneurs et des divertissements. Héritage des danses macabres du Moyen Âge, ce genre s'est développé au XVIIe siècle, principalement chez les peintres flamands (la première vanité connue daterait de 1603, il s'agit d'une oeuvre de Jacques de Gheyn le jeune (1565-1629). Un peu abandonné aux XVIIIe et XIXe siècle

qui fait face, sort de son oreille gauche, comme son voisin de droite, une sorte d’amplificateur. Le jeu de cartes cimente la sociabilité des anciens combattants en Allemagne. Le Skat rassemble trois joueurs, telle une association macabre comme celle d’une danse qui s’inscrit sur la prothèse crânienne du joueur placé au centre de l’oeuvre et sur laquelle on distingue deux corps dansant. Ici les trois joueurs nous montrent leurs jeux. S’ils semblent avoir les cartes en main, le contenu est dévoilé

qui flamboyaient,Et je vois au delà quatre formes légèresQui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,Quand le maître revient, les lévriers joyeux.Leur forme était semblable et semblable la danse ;Mais les enfants du loup se jouaient en silence,Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,Sa louve reposait comme celle de marbreQu'adorait les

sur le sens de sa vie. En effet, il est important de préciser que le graveur était profondément attaché à la religion chrétienne qu’il va représenter dans de nombreuses œuvres [image 11] : l’autoportrait au squelette, Ecce homo en 1925 ou encore Danse macabre en 1922. Cette part du religieux dans se série d’autoportrait rappelle l’idée de vanité, on médite sur le temps qui passe, sur la précarité de l’existence humaine, en se regardant dans un miroir (symbole de la vanité et de la connaissance) pour