La Danse macabre

Aurélie Vandermiege, Cindy Bodart, Cordelia Amofa Français : Mr Marchal Philippe 2 Groupe n°6 : Cordelia Amofa, Cindy Bodart, Aurélie Vandermiege, Arnaud Villers et Clément Volvert. 1. Introduction Colin est jeune, riche et généreux. Il danse le biglemoi sur des airs de jazz et se passionne pour Jean sol Partre avec son ami Chick. Un jour, Colin tombe amoureux de Cholé et l’épouse. Mais Cholé attrape une mystérieuse maladie : un nénuphar se développe dans sa poitrine. 2. Biographie

jamais leur argent profiter; Tous deux sont d’une humeur aisée à irriter, L’un parle sans penser, et l’autre à l’aventure L’un a la teste verte, et l’autre va couvert D’un joly chapperon faict de jaune et de vert; L’un chante des sonets. l’autre danse aus sonettes Le plus grand différent qui se trouve entre nous. C’est qu’on dict que tousjours fortune aime les fouls Et qu’elle est peu souvent favorable aux poètes. Jean Passerat St. John Lucas, comp. Biographie : Jean Passerat de

des pantins mécaniques, il ne s’agit plus que de reliquats de corps, conséquence de la folie guerrière. Le jeu de cartes cimente la sociabilité des anciens combattants en Allemagne. Le Skat rassemble trois joueurs, telle une association macabre comme celle d’une danse qui s’inscrit sur la prothèse crânienne du joueur placé au centre de l’œuvre et sur laquelle on distingue deux corps dansant. Ici les trois joueurs nous montrent leurs jeux. S’ils semblent avoir les cartes en main, le contenu est dévoilé

cerveau Mes beaux rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes souvenirs faisandés en godiveaux Or ces pensées mortes depuis des millénaires Avaient le fade goût des grands mammouths gelés Les os ou songe-creux venaient des ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets criaient des choses nonpareilles Mais nom de Dieu! Ventre affamé n’a pas d’oreilles Et les convives mastiquaient à qui mieux mieux Ah! nom de Dieu! qu’ont donc crié ces entrecôtes Ces grands pâtés

- 12, l'absence de césures franches par manque d'accent tonique favorise un rythme tranquille, calme, apaisant, que la contemplation d'un parc procure. b) Un paysage où se déroule une fête. Nous devons constater que cette fête associe musique, danse et travestissements, le champ lexical de la fête étant explicite : "masques - bergamasques [vers 2] - jouant - luth - dansant [vers 3] - leurs déguisements - fantasques [vers 4] - chanson [vers 8] " et champ lexical du déguisement le prouve : "masques

Petites vieilles », v.2 (« Où tout, même l’horreur tourne aux enchantements ») - d’un mot à un autre, notamment par l’intermédiaire de l’oxymore : « le Rêve parisien » v.1 « Ce terrible paysage » dont l’image le « ravit » ; « Danse macabre » v.45 (« Bayadère sans nez, irrésistible gouge ») - Bayadère : danseuse sacrée de l’Inde - Gouge : courtisane (prostituée) qui suit l’armée 2/ une autre structure : la vision esthétique par opposition

pourra ainsi se demander comment Baudelaire détourne le topos littéraire de l’adresse à la femme aimée dans une vanité pour se livrer à une célébration paradoxale du laid, du répugnant et du mort (de la mort ?).   I – De la vanité à la description macabre   La vanité est un type de tableau très courant au XVIe siècle dans la peinture baroque. Son propos est moral : il s’agit de rappeler à celui qui regarde qu’il doit mourir et ne sera bientôt plus rien, quels qu’aient été ses biens et sa puissance

La scène telle qu'elle est décrite, montre à quel point la théâtralisation du cadre était minutieusement élaborée: frère Richard se positionne sur un promontoire qui lui permet d'être bien vu et entendu de tout le monde et tourne le dos à la danse macabre du cimetière, œuvre qui fut réalisé en 1424 et dont les images appuyait le sermon de l'orateur par le but qu'elle avait de souligner la vanité des distinctions sociales devant la mort. De cette manière, il était aisé de capter l'attention de tous

immobiles, sentant que je viens d'écarter l'obstacle, de soulever la trappe qui les maintenait dans le sous-sol de la conscience, se mettent en mouvement. Ils se lèvent, ils s'agitent, ils exécutent, dans la nuit de l'inconscient, une immense danse macabre. Et, tous ensemble, ils courent à la porte qui vient de s'entrouvrir. » Bergson, L'énergie spirituelle, Paris, Ed. Alcan, 1919, pp 95-96. Texte n° 10 : « Dans le « moi » lui-même, une instance particulière s'est différenciée, que nous appelons

cité. Aristophane dénonce les effets pervers des institutions judiciaires athéniennes. Elle se déroule généralement de la manière suivante: Le prologue où le héros est présenté. L'épisode qui est l'entrée en fanfare du chœur qui chante et danse. La lutte, au sens propre ou figuré, entre le héros et son ou ses adversaires, qui s'achève par le triomphe du héros. Un intermède où l'on s'adresse aux spectateurs pour faire la publicité de l'auteur. Divers épisodes où le héros célèbre