La Danse macabre

.....................................................................18 SED NON SATIATA..............................................................................................................................................19 LE SERPENT QUI DANSE....................................................................................................................................20 UNE CHAROGNE.....................................................................................................

HISTOIRE DU BALLET SOMMAIRE Introduction I° - Le ballet de cour (1581-1670) 1°) Les premiers théoriciens 2°) Le ballet instrument politique 3°) Le roi danseur II – La danse et le théâtre (1570-1789) 1°) La comédie-ballet 2°) L’opéra-ballet 3°) Le ballet d’action III – Le romantisme en France 1°) Jean Dauberval 2°) Les jolies mortes : « La Sylphide », « Giselle » IV – Le ballet classique et l’influence russe 1°) L’école italienne et danoise 2°) Les grandes figures venues de Russie a°) Marius Petipa

1. Dès les 2 premiers mots, la présence monstrueuse voire allégorique des usines est marquée : on a un verbe d’action lié aux sens => personnification magistrale + pronom réfléchi qui indique la forte présence des usines. Elles se regardent parce qu’elles sont l’une face à l’autre. Dans un système poétique on aurait pu imaginer les mêmes verbes pour topos amoureux comme la rencontre. Il n’en est rien. Dès les deux premiers mots les usines prennent la place de l’homme tant sur leur

harmonieux pour les initiés, un langage irrationnel pour les profanes. • Initié : être impatient sur le chemin de la connaissance, qui aspire à un changement profond. L’initié semble ne pas trouver l’ignoble réponse, bien qu’il fasse des pas de danse justes et parfaits autour du tapis de loge. En pleine crise d’ado, l’initié passe son temps à maudire et à grogner parce qu’on lui refuse la vérité. 2 Stupeurs et tremblements à Héliopolis, bientôt notre jeune profane sera fauché par la mort

vers octosyllabes à rime), et l'allemande plus moderne (vers à mètre varié sans rime), baignent dans une atmosphère à la fois féérique, par leur vision sublime de la conception artistique et décadente, et grinçante par les images provocatrices et macabres qu'ils évoquent. L'œuvre est remplie d'ambiguïtés. Dans le texte, on passe souvent de la première à la troisième personne. Le ton « léger, ironique et satirique » s'allie à des sentiments de terreur, de violence et de nostalgie. Comme le soliste

(hyperbole L12-13, valorisation...) Rimes embrassées: principales disciplines encadrent les disciplines adjacentes. 2- Savoir artistique: 2ème quatrains Utilisation de la métonymie (partie pour le tout). Vers: 2 métonymie L6 → escrime = combat et bal = danse → activités de courtisant: alitération de «du» et «de». 3- La soif d'érudition: Quantité de discipline, désir d'apprendre: vers 1, 4 et 7 → verbes importants «je me ferais» ; «j'apprendrais»... Italie cité en fin de vers est le berceau de l'humanisme

en profita pour avancer sur eux. L’escouade Armadéus mit leurs bolters en bandoulières et sortirent leur pistolet afin d’engager le corps à corps…Les épées tronçonneuses levées, ils chargèrent a la gloire des dieux sombre et s’exécutèrent dans une danse de mort ne laissant en vie que le sergent humain qui faisait encore face a Hypérion dans un air de défi. Axion avait été tué, ce qui démoralisa l’entrain des cultistes qui avaient assisté à la scène de la mort de leur chef charismatique… Ses derniers

émerveillés, Apollinaire est un fastueux danseur. II Expert en l'art de distiller L'enivrante folie Des corrosifs de choix ou de fantaisie II crée d'hallucinantes chorégraphies Qui rappellent les contorsions, pandiculations Et bâillements macabres Des Lucifériennes goéties. Puis virtuose du pas de quatre Du cavalier seul Et de la mesure classique; II tricote des jarrets, Gavotte sur deux temps à la française, Valse sur trois à la viennoise, Fait des ronds de jambe, Se campe, se cambre

émerveillés, Apollinaire est un fastueux danseur. II Expert en l'art de distiller L'enivrante folie Des corrosifs de choix ou de fantaisie II crée d'hallucinantes chorégraphies Qui rappellent les contorsions, pandiculations Et bâillements macabres Des Lucifériennes goéties. Puis virtuose du pas de quatre Du cavalier seul Et de la mesure classique; II tricote des jarrets, Gavotte sur deux temps à la française, Valse sur trois à la viennoise, Fait des ronds de jambe, Se campe, se cambre

battements frêles, s’entremêle aux échos intenses que reflète le décor qui m’entoure. Mes mains enfiévrées scindent l’air d’une poignée sanglante. De troubles vestiges accompagnent ma défaillance vers les flots de l’aberrance. Cette anomalie macabre et ces confusions continuelles ne font qu’accabler mes remords. L’air est froid, elle effleure le creux de mes mains embrumées, et caresse mes tempes. La brume révèle sa perfidie, elle n’a de cesse de faire trépider mon âme. Je sens le néant