La Culture Ouvrière

catégories ont une grande influence sur les sciences sociales (notamment la sociologie du travail) A cette époque, la classe ouvrière est découpée en trois strates : les manœuvres, les OS (ouvriers spécialisés) et les OP (ouvriers professionnels). * Le concept de « génération » déjà utilisé par Ariès et Halbwachs est préféré pour définir le « groupe central » qu’est la classe ouvrière. On entend par « groupe central » l’ensemble des individus ayant vécu les mêmes expériences fondatrices et les mêmes

Chapitre 5 : Espace social et style de vie I – Culture populaire : Il faut interroger les différents regard qu’on peut porter sur différentes cultures. Comment peut on les analyser. Il y a quatre erreurs de perceptions : Misérabilisme : pointer la position dominée des catégories populaires et qui consisterait à mettre en évidence toutes leurs difficultés. La première réponse vient du capital culturel. Cela recouvre les diplômes (culture scolaire). Il comprend le vocabulaire

[pic][pic] [pic] La classe ouvrière se caractérise par un mode de travail et un mode de vie spécifiques. Ainsi, un ouvrier est un salarié d’exécution qui produit manuellement des biens et loue sa force de travail à un capitaliste pour vivre. Pour Marx, l’ouvrier est exploité par le capitaliste ( son salaire est toujours inférieur à la valeur qu’il crée ) et la condition ouvrière est faire de précarité et de pauvreté. Une conscience de classe qui se forge dans la lutte des classes. Les ouvriers

ainsi un salaire qui, pour l'essentiel, est consacré à l'alimentation. 1880-1930 : les luttes et les cultures ouvrières ! La culture ouvrière, fait augmentée le nombre d'ouvriers : ils dépassent 5 millions en 1912. Cette nouvelle population se fixe dans les périphéries des villes. Une culture ouvrière se forme, celle des quartiers populaires, ou plusieurs journaux soutiennent la « classe ouvrière », comme l'Humanité. Il y a de nombreuses luttes, et le travail est de plus en plus fragmenté. Les premières

Ils sont les prolétaires car ils n’ont que le force de travaille à vendre. Mais la classe ouvrière n’existe que dans la mesure où elle lutte contre celle qui l’exploite(Les capitaliste) à la fin des années 1940 les ouvriers formait une classe sociale au sens marxiste du terme : un groupe bien visible par son ombre, les caractéristiques de son travail (en usine), le niveau de son revenu mais aussi par sa culture (fierté du travail ouvrier) et son organisation (CGT parti communiste).

1830, il s’urbanise et s’impose dans la grande industrie après 1880. Il s’affirme politiquement et syndicalement de la fin du xixe siècle au choc pétrolier de 1973. Comment parvient-il à acquérir une « conscience de classe » ? qq Comment sa culture, ses conditions de vie et de travail changent-elles de 1830 à 1975 ? 2. Le tri et le lavage de la laine 3. Le cardage (les fibres sont démêlées pour obtenir des fils parallèles) et le peignage (les dernières impuretés sont chassées). 4. Le

l'éclairage Plusieurs ateliers sont choisis successivement pour faire l'expérience : bobinage, assemblage de relais, inspection de petites pièces. La taille des ateliers est de plusieurs dizaines de personnes. Le directeur vient lui-même informer les ouvrières et présenter les chercheurs. Les expérimentateurs leur annoncent aussi ce qui se passe dans chaque phase, la puissance des lampes installées. L'expérimentation consiste à décider de la puissance des lampes pendant une semaine et à mesurer la

section 1 de l’ouvrage « l’attitude sociologique », lire de la page 13 au début de la 17 : « Recherche de référence : Richard Hoggard, la culture du pauvre ». Lecture du point 1.1 et 1.2. 1. Selon l’auteur de la recherche sur la Culture du pauvre (Richard Hoggard), quels sont les avantages mais aussi les dangers d’étudier un milieu social/une culture (ici ouvrière) dans laquelle on a soi-même grandi? Selon Hoggard, le fait d'être issu du milieu qu'il étudie l'aide lorsqu'il s'agit de sentir et

étudié que celui des ouvriers. Depuis un siècle et demi, la question ouvrière est au centre de puissants débats politiques et idéologiques. Tantôt porteurs d’un idéal révolutionnaire, tantôt revendicatifs et donc dangereux, tantôt en voie de disparition, les ouvriers ne laissent pas indifférent. Le concept de « classe ouvrière » n’est-il pas entré dans le vocabulaire courant, malg ré sa connotation marxiste ? Il y a une culture ouvrière, une façon d’être un ouvrier, un rapport particulier des ouvriers

homogénéité. La plus part des ouvriers se situent en bas de l’échelle sociales et ont des conditions de vie et de travail difficile. Cependant, cette situation tend à s’améliorer durant la période 1830-1975. Quelles sont les transformations de la classe ouvrière ? 1) La naissance du monde ouvrier (1830 -1880) : A cette époque la grande industrie était une exception, les ouvriers travailler essentiellement dans des ateliers. La main d'œuvre était beaucoup moins nombreuse que de nos jours et il existait