La Culture Nous éloigne T Elle De La Nature

considérablement, d’un individu à l’autre et d’une culture à l’autre. Mais nous avons sur le réel une visée fonctionnelle, qui ne conserve que certains aspects de la réalité au détriment d’autres. Ainsi mon rapport avec le réel est-il très incomplet. L’art permet d’attirer notre attention sur cette dimension de l’invisible. En détruisant les apparences comme par exemple Picasso en sortant de sa période bleue. Mais l’art est aussi œuvre de culture et en ce sens il modifie les relations avec les

l’insécurité, le sous-développement et finalement la barrière des langues ou de l’écriture. De nos jours, on remarque que les touristes s’intéressent principalement aux destinations exotiques et éloignés. En effet, les touristes souhaitent goûter l’exotisme par la découverte d’autres cultures. Quitter son propre pays demande dépaysement ce qui peut parfois pousser à choisir une destination éloignée comme par exemple la Chine où l’on retrouve architecture, cuisine, langue, paysage, vécu historique

En quels sens peut-on dire de l’homme qu’il est un être dénaturé ? La question présuppose que l’homme a eu une nature, a vécu dans un état naturel et qu’il s’en est éloigné. Il faut donc comprendre quelle serait cette nature et comment ou par quoi elle serait niée. Il faut aussi se demander si un état primitif a existé et si l’homme a une nature Le terme « dénaturé » comporte aussi une connotation péjorative et suppose que cette perversion de l’état originel de l’homme ne lui serait pas favorable

L’éducation interculturelle Les cultures sont des mémoires collectives de longue haleine. Ces mémoires permettent de déduire de l’histoire aussi que des comparaisons interculturelles des principes éthiques universels. Ainsi, tout en partant des différences entre civilisations, l’interculturalité, grâce à ses fondements universalistes, ne rejette pas seulement l’indifférence du relativisme culturel, amis encore et surtout restrictif tout concept nationaliste et intégriste. Toutes les sciences

Ce teste est extrait du chapitre Des cannibales. Montaigne argumente autour de l'opposition entre nature et culture. Ce chapitre est très important pour la pensée critique occidentale, il analyse la sauvagerie des habitants du Nouveau monde et la montre plus enviable que la cruauté des civilisés : les barbares ne sont pas ceux qu'on pense. En s'appuyant sur une relation de voyage de Léry (qui a servi aussi pour la récente rédaction de Rouge Brésil, le roman de Ruffin), Montaigne inaugure le mythe

d'une révolution des conceptions et des manières de voir. Elle est désormais le lieu de la culture. La dissolution de l'Empire prépare le rétablissement de l'Allemagne et des Allemands. Le lien est direct avec la culture. La liberté est la valeur centrale. Le mouvement refuse les conventions sociales et morales qui brident l'épanouissement de la personne de même qu'un art moral qui dépeint des personnages éloignés de toute expérience concrète. Le Sturm und Drang s'oppose sur le plan esthétique à la tradition

sculpture, peinture, théâtre, poésie et littérature, musique, puis le septième art avec la photographie et le cinéma). - Le Beau fait plaisir à tout notre être, c’est une satisfaction totale. Mais c’est un plaisir désintéressé qui passe outre de la culture, c’est une réaction de l’être humain (valeurs de l’âme) avant le sujet. b. Démystification des buts de l’art. (Nous sommes trompés par la façon d’associer art et beauté) L’art pour : - Agir sur le monde : La plupart des œuvres d’art sont

L'art n'est pas simple imitation de la nature mais bien une création, une nouveauté. Aucune beauté naturelle n'égale la beauté d'une œuvre d'art. Comme Hegel ou Heidegger, Bergson pense que la fonction première de l'art est de révéler la vérité. Cette thèse est radicalement opposée à celle de Platon pour qui l'art est illusion et éloigne de la réalité. On pense généralement que l'art ne se rattache qu'à la beauté des œuvres d'art. Mais la définition de l'art ne peut pas se limiter à quelques œuvres

inconsciente. Les cultures sont différentes, mais structurées selon des lois identiques. Il définie la notion de culture dans Anthropologie structurale (1958): « Nous appelons culture tout ensemble ethnographique qui (…) présente, par rapport à d’autres, des écarts significatifs ». Son but est de comprendre les caractéristiques universelles de la « nature » culturelle et sociale de l’homme, penser anthropologiquement le passage de la nature à la culture. Pour ce courant de pensé, la culture ne « fonctionne

: La culture peut-elle dénaturer l'homme ? Le sujet renvoie directement aux notions de nature et de culture qui traditionnellement s'opposent. A la nature, que nous pourrions simplement évoquer comme « ce qu'il y a d'animal en nous » on oppose la culture, ce qui ferait de nous des hommes, ce qui nous différencierait des animaux, essentiellement donc tout ce qui relève de l'éducation et de la civilisation (le travail, l'art, la politique, le langage, la religion...). Sous cet angle la culture dénature