La Croyance Religieuse Peut Elle S Affranchir De Toute Logique

ses obédiences, ses rites 27 Ce qui est commun à tous les musulmans Les trois principales obédiences La Méditerranée au XII° siècle 29 Le monde chrétien 29 L'empire byzantin : la Romanie L'Occident chrétien Les États latins d'Orient Quel bilan peut-on esquisser ? Des lieux d'échanges 32 Tolède, grand foyer culturel de l'Occident La Sicile L'universalité de la pensée d'Ibn Rushd 35 Dans la pensée juive 35 Dans la pensée chrétienne 35 La lutte anti-averroïste Dans la pensée musulmane 37 L'héritage

qu'il a pu découvrir des corrélations entre des tempéraments politiques et des faits de géographie humaine.       A. Siegfried ouvre ici la voie d'une sociologie électorale marquée par l'explication des comportements par la morphologie sociale. La logique des comportements politiques est à rechercher dans leur enracinement, dans les groupes sociaux auxquels les électeurs appartiennent.       Par exemple, il explique le vote républicain par le degré d'indépendance sociale que connaissent les petits

universelle » Pas majoritairement ouvrière et prolétaire mais populaire (petits patrons, artisans, commerçants). Pas organisation révolutionnaire mais fédération de délégués peu expérimentés et patriotes (prêt à se battre). Veut seulement la République mais toute la République vs Assemblée réac C’est ce Comité qui affronte la journée du 18 mars où Paris bascule dans une révolution. ● La journée du 18 mars 1871 : insurréction improvisée Thiers essaye de reprendre contrôle du terrain. Ordonne à l’armée de prendre

domo mea.(Réponse à M. Ferri) Questions sociales. I, II, III, IV. VII. Les Délits impoursuivis. VIII. Histoire des doctrines économiques. IX. La Croyance et le Désir. Août-septembre 1880. I. II. III. IV. X. La Croyance, le désir, la sensation : seuls éléments de l'âme. Caractère quantitatif de la croyance et du désir seuls Critique de Bentharr La Croyance, seul objet de désir Monadologie et sociologie. 1893. I, II, III, IV, V, VI, VII, VIII. XI. La variation universelle I, II, III, IV, V, VI

Monstres réels : -naturels : anormalité physique ou psychologique -artificiels : volontaire ou involontaire Monstres imaginaires : -Identifié comme tels : humains, mixtes, non humain -non identifiés comme tels : monstres hallucinés, monstres de croyances Remarque : Les peuples étranges dont parlent Hérodote et Pline (Grec et Romain) →description de peuples étranges et de monstres auxquels il croit et qui sont complètement délirant. Hérodote : chauves aux mentons proéminents. Opposé aux nains

principe de liberté religieuse et de laïcité instauré en France par la loi de 1905 de séparation des Eglises et de l’Etat implique en revanche, idéalement, que l’Etat reste indifférent aux activités des communautés religieuses et des croyants. Cette liberté est bien évidemment contrainte par de nombreux textes officiels nationaux et internationaux comme la Déclaration internationale des droits de l’homme de 1948 ou la Constitution de la Vème République qui garantit la liberté religieuse « tant que le

supprimer le désir, atteindre le détachement, pour atteindre le nirvana (concept proche de l’ataraxie des épicuriens et des stoïciens : tranquillité de l’âme, apaisement, sérénité) - le suicide est néanmoins condamné : c’est en vivant sa vie qu’on peut se libérer de la souffrance du désir Les Présocratiques Thalès de Milet (vers 600 av. J.-C.) - un principe unique : l’eau ; il mesura les pyramides grâce à l’usage des rapports mathématiques Héraclite d’Ephèse (544-484) - « Héraclite l’obscur »

latin « fémur » renvoyant à la cuisse, et effectivement, le fémur appartient à la cuisse. III. Histoire de la médecine romaine Depuis sa naissance, le peuple romain utilise la médecine. Mais cette médecine, traditionnelle, est basée sur des croyances floues et des recettes étranges plutôt que sur des vérités scientifiques, ce qui la rend presque toujours inefficace. Elle est pratiquée par des guérisseurs, bien souvent des charlatans. Au même moment, la médecine grecque est très développée

tribunaux doivent rendre des décisions justes. Pour le juriste, il peut avoir un sens subjectif ou institutionnel. Sens subjectif : l’acceptation morale de la justice (l’art de ce qui est juste et bon), dépend d’une civilisation, des mentalités Sens institutionnel : l’ensemble des institutions qui sont chargés de rendre la justice par le respect du droit (les tribunaux, …) Ces deux notions ne coïncident pas toujours : on peut trouver que certaines décisions rendues par des tribunaux ne sont

diversité des approches et du contenu de l’économie sociale : Il y a des définitions, des points de vue très différents selon les auteurs. Il y a beaucoup d’interrogations sur les différentes idées, avec une hétérogénéité de la lecture que l’on peut en avoir. Mais n’y a-t-il pas des principes communs à toutes ces approches ? Importance au niveau des chiffres : Il faudra aussi regarder les chiffres : en France cela représente 1 salarié sur 9. Cela se voit surtout à travers les banques et