La Coparentalité

la garde de l'enfant est donnée à la mère. Par ailleurs, cette loi ignore les familles naturelles (dont les parents ne sont pas mariés) et divorcées. • La loi du 22 juillet 1987 veut remédier à ce dysfonctionnement en créant le principe de la coparentalité. En cas de divorce, l'autorité parentale est exercée en commun ou par l'un des deux parents seulement, en fonction de l'intérêt de l'enfant. Au sein d'une famille naturelle, les parents peuvent également exercer conjointement l'autorité parentale

possédé l’autorité parentale. * A partir de 1989, la C.I.D.R. (Convention Internationale des Droits de l’Enfant) est mise en place. *  La loi du 4 mars 2002 s’accentue sur les droits, les devoirs et l’intérêt de l’enfant. Intervient la coparentalité que Françoise Dekeuwer-Defossez (professeur de droit privé) définit comme : « idée selon laquelle il est de l’intérêt de l’enfant d’être élevé pas ses deux parents, dans la famille fondée sur le mariage comme dans la famille créée hors-mariage

recouvrir différentes formes. Par exemple : - lors d'une recomposition familiale où un enfant naît d'un couple hétérosexuel qui se sépare et sera ensuite élevé par ses parents séparés dont au moins l'un est « devenu » homosexuel ; - lors d'une coparentalité où un gay et une lesbienne décident d'avoir un enfant soit par procréation médicalement assistée, soit par méthode « artisanale » (sans soutien médical.) L'enfant sera ensuite élevé dans deux foyers. Souvent, une charte des droits entre les deux

étaient persuadés que les modalités du partage étaient inscrites dans la loi sous forme d'un week-end et de la moitié des vacances scolaires. Aujourd'hui ils sont libres de s'organiser comme ils le souhaitent, choisissant, en général, un système de coparentalité. C'est pourquoi, dans le doute, les juges imposent souvent dans un premier temps la résidence alternée. C'est donc aux parents de réfléchir de leur coté, d'observer si cette organisation convient à l'enfant et donc de pouvoir éventuellement

qu'il soit représenté dans l'accomplissement des actes de la vie civile. Sauf en cas d'émancipation. Le mineur émancipé est capable, comme un majeur de tout les actes de la vie civile. Sauf, mariage et adoption. A. Exigence de représentation coparentalité : aux deux parents de représenter l'enfant. (qu'il vive ensemble ou nan). Lorsque l'autorité parental est exercée en commun par les deux parents : administration légale pure et simple. A la difference : autorité parentale exercée par un seul

contribuant à mieux accompagner les mutations familiales auxquelles nous assistons. De ce fait, elle est également pionnière sur les études du livret de paternité en France (livret soulignant la place et le rôle du père, mettant ainsi en avant la coparentalité à travers l’affirmation essentielle du rôle du père). .A quelle époque a-t-elle rédigé son ouvrage ? Dans l’introduction de son ouvrage, l’auteur nous fait part de son investissement depuis une quinzaine d’années, sur la question des genres

développement du concubinage, le nombre croissant d’enfants naturels le prouvent.  Source : http://www.parent-solo.fr/modules/dossiers/article.php?article_id=163 La loi du 22 juillet 1987 veut remédier à ce dysfonctionnement en créant le principe de la coparentalité qui doit exister même en cas de divorce : ainsi, lorsque les parents divorcent, l’autorité parentale sera exercée en commun ou par l’un des deux seulement, en fonction de l’intérêt de l’enfant. Le juge sera chargé de désigner le parent chez qui

issus d’un des parents au moins. » La famille homosexuelle se décline sous quatre formes : 1) elle peut être issue d’une recomposition familiale avec un partenaire de même sexe après une union hétérosexuelle ou 2) s’établir avec un système de coparentalité dans lequel des gays et des lesbiennes (il s’agit généralement de couples et non d’individus seuls) s’accordent pour avoir un enfant qui évoluera entre leurs deux foyers ; 3) elle peut résulter d’une adoption, ou enfin 4) d’un recours à la procréation

Il y a des évolutions sur le rôle des pères mais qui restent timides. On continu à penser que les mères vont d’avantage faire face aux problèmes des enfants. Les pères sont cantonnés au rôle d’accompagnateur, de suppléant. 4. La coparentalité La coparentalité évolue très vite. Les pères aujourd’hui n’ont pas le même rôle qu’il y a 50 ans. L’entrée massive des femmes sur le marché du travail (1970/1980) a engendré un changement dans les cultures familiales. Aujourd’hui, 70% des femmes en âge

le cadre de la famille recomposée, le beau-parent est l’époux du parent légal se conduisant comme un parent vis-à-vis de l'enfant. À ces schémas plus ou moins anciens, les homosexuel(le)s cherchant à fonder une famille, ont ajouté celui de la coparentalité où, sur deux parents biologiques, l'un au moins est homosexuel. Ce schéma pouvant réunir deux couples et une géométrie variable quant à la définition de ceux qui assurent le projet parental, la notion de parent social a été créée pour définir la