La Coparentalité

L'HOMOPARENTALITE SOMMAIRE I) DEFINIR L'HOMOPARENTALITE II) BELGIQUE, AVANT L'ADOPTION DE LA LOI A) 1er cas: La Coparentalité B) 2ème cas: La procréation médicalement assistée III) BELGIQUE, APRES L'ADOPTION DE LA LOI + Exemple de Pétition IV) AUTRES CAS: L'IRLANDE V) SONDAGES A) Au niveau de L'UE B) Au niveau des critères sociaux démographiques VI) CONCLUSION I) Definir L'homoparentalité La Famille homoparentale a la particularité d'être composée de deux personnes de même

avoir été abandonné par ses parents biologiques. L’adoptant peut être un couple ou un célibataire. Ce n’est pas forcément une personne qui ne peut pas avoir d’enfant, c’est aussi une personne ou un couple, qui décide ce type de parentalité. La coparentalité : c’est une méthode par laquelle deux personnes (souvent homosexuelles) ont un enfant sans être en couple pour autant. Les homosexuels revendiquent leurs droits : d’être en couple comme les autres, de pouvoir adopter comme les autres car ils sont

première branche du moyen est que la cohabitation n’équivaut qu’à la résidence habituelle. La seconde branche dit que la cohabitation n’amène pas forcément l’autorité parentale du parent. La loi de 2002 parle de la coparentalité, or, la cohabitation est différente de la coparentalité. La troisième branche dit que l’exercice d’un droit de visite et d’hébergement ne fait pas cesser la cohabitation chez la mère qui est la résidence habituelle. Cet argument est venu subsidiairement, donc si les deux

statistiques de l’I.N.S.E.E., a orienté notre choix de famille à étudier. Nous observerons les approches théoriques de sociologues contemporains dans un premier temps pour, ensuite, aborder les places occupées par les parents (notamment en matière de coparentalité) et le beau-parent. Enfin, nous nous focaliserons sur la construction des liens dans les fratries recomposées. 1 - Approches sociologiques de théoriciens contemporains Pour François de Singly, ce sont les normes qui se sont déplacées. Les divers

la mère légitime de l’enfant d’avoir une place au sein de la famille et de son fonctionnement. Depuis le 4 Mars 2002, l’évolution s’est accentuée, en effet, l’autorité parentale est désormais exercée conjointement et fondée sur le concept de coparentalité lors d’une séparation. L’autorité parentale est aujourd’hui un principe d’ordre public, les parents l’exercent et ne la peuvent modifier selon leur volonté, si ce n’est par convention légale limitée. Ainsi, l’autorité parentale est exercée jusqu’à

avec don d'ovocytes) , cette technique utilisée habituellement pour les femmes ayant des problèmes de fertilité et ne pouvant fournir leurs propres ovules, est également ouverte aux couples de femmes dans plusieurs cpma belges. 3. la coparentalité La coparentalité est une formule de parentalité par laquelle une femme et un homme s'associent pour donner la vie et élever un enfant, sans pour autant former un couple. Dans cette situation les deux parents vivent chacun séparément leur vie sentimentale

(procréation médicalement assistée) ) La parenté qui est le lien crée par l’alliance et la filiation représente un code social qui met en évidence la diversité des arrangements et la variété des pratiques qui la fond. ♂ ♀ Il existe : Bi parentalité, Coparentalité, Monoparentalité, Homoparentalité Notion de parenté et parentalité sont des termes proches mais qui ne désignent pas la même chose. Parenté peut être considérée comme un système de repérage social qui englobe l’univers de ceux que l’on considère

paternelle. Ce n’est que le 22 juillet 1987, via la loi Malhuret, que l’exercice de l’autorité parentale devient conjoint. Le 8 janvier 1993, cette loi se vérifie même en cas de parents séparés. En 2002 apparait la notion de coparentalité (art 371 CC). Le principe de coparentalité repose sur le fait qu'un enfant a toujours et dans tout les cas, le droit de conserver une relation équilibrée avec ses deux parents, même s'ils sont séparés ou divorcés, à moins qu'il soit reconnu utile de le séparer d'un

: 11 % des femmes lesbiennes et 7 % des hommes gays seraient parents. La moitié serait des « ex-hétéros », et leurs enfants issus d’une précédente union « mixte ». L’autre moitié concerne des personnes devenues parents à travers « un projet de coparentalité ». Toujours selon ces estimations, 3 à 4% des hommes gays parviennent à adopter et un très petit nombre d’entre eux recourent à des mères porteuses à l’étranger. Pour les femmes lesbiennes, la situation est comparable, bien qu’un peu plus simple

couples marié où en union ont le droit d’adopter et ce peut importe leur sexe, des lois de même types ont aussi été voté en Angleterre, en Hollande et au Danemark . Les homosexuel ont aussi la possibilité d’avoir un enfant dans le cadre de la coparentalité (autorisé en France) et de la procréation médical assisté (qui n’est pas autorisé en France) . Situation juridique et sociale : L’adoption est plus qu’une simple prise en charge, elle désigne des parents adoptifs, les termes père et mère étant