La Coparentalité

commun par les époux durant leur vie commune. Section 2 : Les conséquences du divorce à l’égard des enfants Les parents vont devoir organiser la vie de leurs enfants sinon c’est le juge qui le fera. Dans le deux cas, on va tenter de maintenir la coparentalité. I) L’autorité parentale en cas de divorce La règle se trouve dans l’article 373-2 alinéas 1 : « La séparation des parents est sans incidence sur les règles de dévolution de l’exercice de l’autorité parentale ». Bien sûr il y a des excès. A) L’attribution

peu de part à l’éducation de leurs enfants, confiés surtout aux mères. C’est pour cela qu’au début des années 80, on créa une direction pour les hommes au ministère de l’Egalité des chances et on modifia le droit de la famille en faveur d’une coparentalité effective dans les couples, même après séparation. La réflexion sur la nécessité d’une présence éducative des deux parents auprès des enfants faisait son chemin, - en même temps qu’on recherchait toujours à soulager les femmes après les maternités

gestation pour autrui, mais il faut savoir que cette pratique est interdite par La loi française qui interdit l’insémination avec donneur aux personnes seules ou homosexuelles et qui interdit le recours à la gestation pour autrui (mère porteuse). -La coparentalité, il y là deux à quatre personnes dans ce schéma familial, les parents légaux ainsi que leurs conjoints homosexuels Il faut savoir que les familles homoparentales représentent 0,2 % des couples en France, ce qui est minime. Le schéma traditionnel

identiquement des personnes qui n'ont en rien participé à la vie sentimentale de leurs parents dont, d'ailleurs, la conduite n'est plus jugée scandaleuse par quiconque. L'autorité parentale conjointe ne fait pas oublier la réalité, elle concrétise la coparentalité. Le pacte civil de solidarité ne réalise en rien la promotion de l'homosexualité car 94 % de ces unions sont hétérosexuelles. La diversité des modes juridiques de conjugalité ne pervertit aucunement les règles de conduite qui s'imposent au couple

famille monoparentale ne rend pas compte des situations de garde alternée qui se développent en France sans que les adaptations législatives soient complètement réalisées3. Elle ne tient pas compte non plus de la mise en oeuvre du principe de coparentalité visant à impliquer les pères dans les responsabilités parentales même après séparation conjugale. Enfin, la notion de famille monoparentale tend à figer une situation qui peut être temporaire : un certain nombre de familles monoparentales sont

d’entretien et d’éducation qui lui incombe La question des parents divorcés : Innovation principale de la loi de 2002 : l’autorité parentale est partagée à égalité entre les deux parents, quelle que soit leur situation conjugale. Exercice en commun = coparentalité : devient la règle que les parents soient ou non mariés. « Art. 372. - Les père et mère exercent en commun l'autorité parentale. » Délai raisonnable pour établir la filiation : le père doit reconnaître son enfant dans la première année qui suit

existence. Cet élan vital que chante le poète, indifférent à l'orientation sexuelle des futurs parents, n'est pas l'apanage des couples féconds. Ainsi le désir d'enfant conduit, plus souvent qu'on ne le croit, des couples homosexuels à pratiquer la coparentalité : leur enfant a ainsi un père et une mère et le fait que ces derniers vivent chacun en couple de même sexe ne suscite aucune difficulté d'ordre juridique (V. C. Desjeux, Homosexualité et parentalité : du désir d'enfants à sa réalisation : Recherches

: elle appartient aux père et mère pour protéger l'enfant et assurer son éducation. Ensuite, la loi a posé le principe d'égalité des père et mère : égalité de droit, mais aussi égalité de devoirs. Enfin, a été peu à peu affirmé le principe de coparentalité, c'est à dire l'idée selon laquelle il est de l'intérêt de l'enfant d'être élevé par ses deux parents, dans la famille fondée sur le mariage comme dans la famille créée hors mariage, que le couple parental soit uni ou qu'il soit désuni. Ces trois

l’enfant. La médiation familiale s’appuie sur des principes d’autonomie, de responsabilité et d’autodétermination des parents et leur permet de répondre eux-mêmes à des besoins fondamentaux, tels que : • Organiser les modalités de la coparentalité • Préserver les droits de chacun et en particulier ceux des enfants • Trouver des accords acceptables pour chacun Elle repose sur une démarche volontaire des familles. La médiation familiale constitue un moyen pour chacun de

couple d'homosexuels de fonder une famille: * La recomposition familiale: Un couple homosexuel accueille régulièrement (ou occasionnellement), ou bien vit avec les enfants de l'un ou des deux individus, nés d'une précédente union. * La coparentalité ou recomposition familiale: Un couple homosexuel s'associe avec un couple de sexe opposé (ou avec un ex-conjoint, ou avec une personne seule de sexe opposé) pour réaliser un projet de parentalité. Un homme et une femme font alors un ou des enfants(s)