La Cité Idéale Selon Platon

(Homère, Hésiode) à un discours logique et démonstratif (Platon, Aristote)   Et encore, les Grecs ont inventé la logique, l’induction, la déduction, le syllogisme, le principe d’identité,…le théâtre, le rapsode,…la tragédie (Eschyle, Sophocle et Euripide) et la comédie (Aristophane), l’Histoire (Hérodote, Thucydide)   Les Grecs ont l’idée de changer le système de gouvernement, ils ont supprimé le Roi et ont créé une organisation de la cité où chaque citoyen peut intervenir et discuter à égalité

nécessité pour l’encadrer. La justice quant à elle serait étrangère à l’homme, alors amoral. Dans le Gorgias de Platon, Calliclès, un sophiste imaginaire, évoque la justice naturelle qui serait alors la « loi du plus fort ». Dans l’ordre naturel, c’est cette dernière qui s’imposerait. A cette thèse, Socrate oppose ses propres vues: la justice consiste à se comporter selon l’ordre et selon la loi. B. Les lois se révèlent donc nécessaires: Il faut donc contraindre les hommes à être plus justes

pouvoir et qui va être influencé par un seul (qui va diriger la cité). Les philosophes grecques voulaient démontrer que le parler et la démonstration est très efficace pour diriger une société. Protagoras : « l’homme est la mesure de chaque chose », il faut comprendre que chaque homme va percevoir les choses selon ses propres critères qui sont différents pour chaque individu. Notre interprétation des choses ne dépend que de nous.  Platon (427-347 avant JC). C’est un grand philosophe issue d’une

déclin. En 1962, Strauss dit : « La crise de l'occident …..hommes et femmes libres et égaux … puissance de production grâce à la science ». Il souligne deux choses : - Un idéal n'a pas été atteint : celui des Lumière contre l'obscurantisme. Cette consiste en l'idéal du progrès, de la sciences mais aussi des droits de l'Homme. - Cet idéal n'ayant pas été atteint, l'Occident a perdu confiance en son dessin, autrement dit l'idée que l'idéal ne s'est pas réalisé signifie un désaveux des prétentions de l'Occident

s’occupe de problème qui se pose à la conscience individuel. A l’origine la philo moral s’adresse à la conscience de l’individu. Le problème est de pouvoir orienté sa conscience vers les idées de bien et de justice et vers l’autonomie du jugement selon KANT. L’autonomie du jugement symbolise le courant des Lumières, qui lutte contre l’obscurantisme et le dogmatisme. Elle précédé l’autonomie de la volonté. Etre autonome dans son jugement: penser par soi même, ne pas dépendre d’un tiers pour penser

L’utopie « Les utopies ne sont souvent que des vérités prématurées » selon Lamartine. Depuis des siècles, l’humanité imagine des cités idéales. Le mot figure pour la première fois dans De optima reipublicae statu deque nova insula Utopia que fit paraître en 1516 Thomas More, le futur chancelier du roi Henri VIII d’Angleterre. Dès 1551, l’Oxford English Dictionary en donne la définition suivante : « Une île imaginaire décrite par sir Thomas More comme jouissant d’un système social, juridique et

à ce titre, raisonner et y conformer l'ensemble de ses actions. Nous suivrons le développement de deux notions importantes liées à la conception de cette rationalité: la nature et sa connaissance par l'être humain. Cette présentation s'arrête avec Platon, section où nous nous bornerons à indiquer les grands thèmes dont il hérite. Mythe et raison Dans la Grèce antique, les multiples rapports au mythe ne sont pas vécus simplement sur un plan de connaissances. Parce que transmis et conservés dans

Paton 1. La femme antique vue par le mythe & les réalités historiques 2. Une conception aristotélicienne fidèle à la pensée classique grecque 3. Platon impose la première évolution du statut de la femme antique II/ Le statut de la femme après Platon : de l’oubli des conceptions platoniciennes à l’explosion du féminisme 1. Le Moyen-Age oublie Platon 2. Les Lumières remettent la question au goût du jour 3. Des féministes luttant contre la misogynie Attention, la totalité de l'exposé n'est

L'évolution de la société et la recherche de la Cité Idéale « Tout le monde rêve d’une cité idéale. Sauf ceux qui considèrent comme satisfaisante la ville qu’ils habitent. Mais ils sont rares. Aussi rares que ceux qui trouvent parfaite la société dans laquelle ils vivent. Le philosophe dans sa bibliothèque et le déraciné dans son bidonville rêvent d’une ville qui puisse satisfaire aussi bien leur quotidienneté que leurs fantasmes. » Michel Ragon - L’homme et les villes (1995) 1 SOMMAIRE

Petite histoire de l'utopie... De tous temps les hommes ont rêvé de villes idéales : des Utopies. A toutes les époques, ces villes « rêvées » reflètent, par leur situation, leur organisation sociale et politique, les aspirations des hommes à vivre dans une société plus juste, plus libre, et donc plus heureuse. Ce besoin essentiel des hommes de se projeter dans un monde meilleur, c'est aussi le moteur du progrès. Comme l'a dit Lamartine, « Les utopies ne sont souvent que des vérités prématurées».