La Chaise-Dieu

QUI SAIT ? I Mon Dieu! Mon Dieu! Je vais donc écrire enfin ce qui m'est arrivé! Mais le pourrai-je? L'oserai-je? Cela est si bizarre, si inexplicable, si incompréhensible, si fou ! Si je n'étais sûr de ce que j'ai vu, sûr qu'il n'y a eu, dans mes raisonnements, aucune défaillance, aucune erreur dans mes constatations, pas de lacune dans la suite inflexible de mes observations, je me croirais un simple halluciné, le jouet d'une étrange vision. Après tout, qui sait ? Je suis aujourd'hui dans une maison

composition, formes, couleurs, etc.) | |- Description : L'objet dominant de la chambre est le lit : solide et simple, il suggère la chaleur, le confort et la sécurité. La plupart des | |autres objets (les chaises, les coussins et les tableaux) sont représentés par paire. Cette représentation contribue à donner une impression de| |tranquillité, d'ordre et de calme.

l’état d’exaltation et d’effroi dans lequel se trouve Jean à ce moment-là « il se lève d’un bond, fait tomber sa chaise en se levant […] montrant du doigt ». On peut supposer que Jean profère sa dernière réplique d’un ton de stupéfaction et de peur. Vocabulaire : Libation : sens 1, antiquité : une libation est un liquide qu’on répandait sur le sol à titre d’offrande pour un dieu. Sens 2, actuel, généralement employé au pluriels, « faire des libations » signifie boire abondamment, surtout du

problèmes (en déménageant dans des chambres non fumeur ceux qui avaient glissé et était retombé sur des clopes). Aujourd'hui c'était le dernier jour et dans moins d'une heure, 200 chiropracteurs entreraient à flots, chaque attente. a) Insigne de nom et chaise b) Café et deux biscuits (une plaine, une fantaisie) à 11h du matin c) Déjeuner, trois cours (incluant option végétarienne) à 12h45 de l'après midi d) Café et deux biscuits (les deux plaines) à 3h30 de l'après midi e) Cocktails du soir suivis

ici sortez d’ici (en lui frappant) Flora : (en pleurant), oh mon dieu qu’est ce que je vais faire. Aide moi mon dieu je vais mourir Le prince : Mlle qu’est ce que vous faites ici. Flora : (avec une vois douce) votre majesté excusez moi je passais seulement par ici (elle veut partir) Le prince : attendez, ne partez pas je vous prie, venez avec moi (il l’emmène au palais) qu’est ce qui s’est passé ? (elle s’assoie sur une chaise) dites moi qui êtes vous ? Flora : je m’appelle Flora, mes parents

trouvait en ce moment dans la maison de misère» (l. 45-46).On peut donc présager que l’action se déroule dans la maison de Donalda et de Séraphin. La présence de plusieurs mots du champ lexical de maison est présente comme par exemple : lit (l.12), chaise (l.12), chambre (l.14), cuisine(16). Ces deux circonstances qui entourent les interventions des prêtres sont significatives. Elles montrent que les prêtres sont appelés à intervenir dans toute sortes de situations, soit heureuses et soit malheureuse

t-il fait pour voir cette femme ? Voici une énigme qui va rendre fou plus d'un de vos amis ; cela fait beaucoup d'effet à l'oral. 2 hommes, un juif et un nazi, sont assis dans un lieu clos avec une chaise, une table, une bougie et un poignard. Kes ki fon seul dan cet piece ? 1. Mieux que dieu 2. Pire que le diable 3. Les pauvres en ont 4. Les riches en ont besoin 5. Si on en mange, on meurt

allumée et un flacon de pharmacie); de l'autre côté du lit, également à la tête, un fauteuil. Contre le pan de mur qui sépare la porte du fond de la porte de gauche, un petit secrétaire de dame, ouvert. A droite du secrétaire, appuyée au mur, une chaise. Près de la cheminée, presque à l'avant-scène et légèrement dos au public, un fauteuil; sur ce fauteuil, un jupon et une chemise de jour de femme. Sur la cheminée: une pendule, des candélabres; plus à droite, un service-verre d'eau (soit: une carafe

IV Que je m’ennuie entre ces murs tout nus Et peints de couleurs pâles Une mouche sur le papier à pas menus Parcourt mes lignes inégales Que deviendrai-je ô Dieu qui connais ma douleur Toi qui me l’as donnée Prends en pitié mes yeux sans larmes ma pâleur Le bruit de ma chaise enchaînée Et tous ces pauvres cœurs battant dans la prison L’Amour qui m’accompagne Prends en pitié surtout ma débile raison Et ce désespoir qui la gagne

échapper à son sort injuste. Et l’auteur exprime sa colère et son désaccord par des exclamations « neuf sous par jour ! » ; « que voulait ton d’elle, bon Dieu !... Ce qui distingue ce texte des deux autres est aussi une description assez détaillée des conditions de vie de fantine : « « elle n’avait plus de lit » ; « un matelas a terre » « chaise dépaillée »