La Chaise-Dieu

votre texte à partir de « CLEANTE : Mon Dieu ! » jusqu’à « HARPAGON : … ne les placer qu’au denier douze. » Première didascalie à inscrire, avant la première réplique pour situer le cadre spatio-temporel : Dans un salon, une grande table tout un couvert de mis dessus, Harpagon d’un côté, les deux enfants de l’autre. Puis notez à chaque nouvelle réplique d’Harpagon, une nouvelle didascalie : Décale sa chaise en arrière … Se lève en faisant tomber sa chaise … Se dirige vers les enfants … Lève les

actions : voilà il mette la salle en ordre, puis frappe au porte du locataire ; mais, on n’aperçoit pas de vie dans ses gestes, ils ne relèvent pas du conscient, ils se succèdent comme des pignons dans un mécanisme bien agencé : « un pas de côté, la chaise à trente centimètres, trois coups de torchon… », « de très anciennes lois règlent le détail de ses gestes».  Ses actions, même s’ils ont pour but ranger la salle, semblent plutôt inutiles, le patron ne les attache aucune importance : « il repêche

siècle avant J.C…et ce costume-là n’y renvoie pas directement et le comédien joue peut être (ou pas) avec un accent pour imiter celui que pouvait avoir Sophocle sachant qu'il venait de Colone près d'Athènes. La pièce commence avec un homme sur une chaise longue. Il commence à crier puis se réveille en sueur. Sa femme alors arrive et l'homme lui explique qu'il a rêvé d'un enfant plus petit que lui mais qui lui était pourtant supérieur, l'appelant « Papa ». « J’ai compris quelque chose…mais je ne sais

Cette vision de l'homme est proche de la vision "calviniste" de l'homme. (Cf Jean CALVIN) 2°- Seule la grâce de Dieu (grâce efficace, en opposition à la grâce suffisante, prônée par les jésuites), peut le pousser vers le bien, le pousser vers la « délectation céleste » et le détourner de la « délectation terrestre ». Cette grâce est efficace car elle guérit nécessairement ceux à qui Dieu l'accorde ; celui-ci constitue un petit groupe d'élus. Cela rejoint l'idée de prédestination de l'homme développée

proche du roi. Ils le regardent comme un dieu grâce à son pouvoir absolu. La routine quotidienne du roi est un spectacle publique au moment où le roi se lève. Les nobles choisis ont le droit d'aider le roi faire les nécessaires dont quelques unes sont vendues. Annie Jay donne un exemple des charges d'affaire. Suzon explique à Cécile, « ...Pour 30 000 livres, tu as le droit de rester avec le roi quand il fait ses...besoins sur sa chaise percée, sa « chaise d'affaire » ....Pendant ce temps, tu peux

Dans ces deux mêmes passages, les personnages sont sans cesse redirigés vers quelqu’un d’autre, quand ils cherchent à rencontrer pour l’un le Roi et pour l’autre le Père de La Chaise. Ils sont toujours envoyés vers quelqu’un de moins élevé, même si celui-ci est encore plus difficile à voir que le Roi ou le Père de La Chaise. Ici, la haute hiérarchie est égale à la basse hiérarchie. Voltaire nous montre donc l’illogisme par cette contradiction interne à la hiérarchie.   Voltaire fait dans le chapitre

aujourd'hui dans nos rue'' Utilisation de la religion et surtout vocabulaire du bien et du mal : le mal : ''ennemi de dieu, les orgueilleux et l'aveugle, dans les ténèbres de la peste, maudit'' le bien: ''dessin éternelle, miséricorde divine, chemin du salut, 2axe: allégorie du fanatisme et superstition Description du père paneloux: ''assaillait au rebord de la chaise, grosse main, forme épaisse et noir, tache de ses joue, cheveux corps agité, ses 2 bras court'' il y a du discours indirect

Enfin c’est un diamant fin des pieds à la tête, et voilà ce que je viens annoncer à Monsieur le baron. Vous sentez que cela me fait quelque honneur, à moi, qui suis son gouverneur depuis l’âge de quatre ans ; ainsi donc, mes bons amis, apportez une chaise que je descende un peu de cette mule-ci sans me casser le cou ; la bête est tant soit peu rétive, et je ne serais pas fâché de boire encore une gorgée avant d’entrer. Le choeur. Buvez, maître Blazius, et reprenez vos esprits. Nous avons vu naître

Guillaume Apollinaire, Alcools Que je m’ennuie entre ces murs tout nus Et peint de couleurs pâles Une mouche sur le papier à pas menus Parcourt mes lignes inégales Que deviendrai-je ô Dieu qui connais ma douleur Toi qui me l’as donnée Prends en pitié mes yeux sans larmes ma pâleur Le bruit de ma chaise enchainée Et tour ces pauvres coeurs battant dans la prison L’Amour qui m’accompagne Prends en pitié surtout ma débile raison Et ce désespoir qui la gagne " Clotilde " Guillaume Apollinaire

t'aime , mais.....mais.....a qui vais je dire si je n('ai personne a qui le dire , combien de foid je me suis entraîner à le dire , combien de sénario j'ai fait , combien de fois jai imaginé la situation , enfin je Jour "J" arrive. il m'apppella mon dieu, moi, simple créature sur terre , et il m'invite au dîner, j'étais aux anges, je nageais dans le bonheur enfin il allait parler et on, oui, on allait se dire les 4 mots , il allait me prendre par la main (la droite ou la gauche ) je ne sais pas peu