La Chair et le Diable

l’existence de deux mondes, l’un bon et l’autre mauvais. Le premier, le monde invisible dont les créatures sont éternelles, résulte de la création de Dieu le Père ; le second, le monde visible et corruptible, est l’œuvre du Diable. Introduits dans des corps de chair fabriqués par le Diable, des anges déchus sont devenus les âmes des hommes et des femmes. Pour les cathares, le christ est uniquement l’envoyé du Père venu porter le message du salut aux hommes. Il n’est pas comme chez les catholiques le rédempteur

) y voyait un chatiment divin contre un peuple Noir qui a rejeté les Blancs. Et à Haiti même on y voit un signe divin, beaucoup de témoins présents racontent entendre partout dans les villes des gens prier... voyant un signe du pacte passé avec le diable pour chasser les Blancs à la fin du XIXème siècle. En 1755, après un terrible séisme qui avait détruit la quasi totalité de Lisbonne, Voltaire avait rédigé un magnifique ‘POEME SUR LE DESASTRE DE LISBONNE’ dans lequel, il rejetait, déjà, l’idée

produit par le parallélisme sur lequel sont construits les deux hémistiches confère à ce vers l’aspect d’une maxime. Enfin, on peut également relever la présence de pronoms définis présentatifs : « c’est Satan Trismégiste » (vers 9), « c’est le Diable » (vers 13), « C’est l’Ennui » (vers 37) ; ils contribuent à la portée générale du poème. (B – Abondance des vices humains) Ce poème se caractérise en outre par l’abondance des vices humains qui y sont évoqués. L’impression d’abondance s’appuie

mais était très raide et je sentais une douleur dans mon dos. J’étais très mal positionné. Mon cœur battait aussi vite que je descendais, j’en avais la chair de poule de ne savoir où j’allais. La fin du tunnel était proche, et plus je me rapprochais, plus je sentais une chaleur m’envahir. Ce fut une descente aux enfers tout droits chez le diable. Mon compagnon de voyage était-il au courant de ce passage secr

Cet écrit met en scène le mythe de Faust, un docteur allemand qui a soif de connaissance et rêve de percer le secret des questions existentielles. Il n’y parvient pas et, au bord du suicide, s’en remet aux pouvoirs du Démon – pour Goethe - (ou le Diable pour Paul Valéry).Faust est un être prêt à rester en enfer pour l’éternité contre quelques feux d’artifice sur terre. Dans le contexte religieux du Moyen-âge, l’Inquisition est une véritable police du savoir pour garantir l’orthodoxie religieuse

donnent bonne conscience aux possédants). Ils veulent contribuer à la régulation de la société et pensent que la solitude est mauvaise, rejoignant en cela la Bible. Dans leur volonté d’édifier, ils adoptent un ton prêcheur. C’est dans le désert que le diable vient tenter Jésus (cf. ici les majuscules à Esprit, Démon : ce sont les entités qui viennent tenter). Arrêtons nous sur le mot « merveilleusement » : fondé sur mirabilis, signifiant "étonnant", il joue sur le sens moderne et montre la fascination

troublent son cœur, pareil À la nuit. Elle tremble et pleure. IV Ô pauvres femmes De pêcheurs ! c’est affreux de se dire : « Mes âmes, Père, amant, frères, fils, tout ce que j’ai de cher, C’est là, dans ce chaos ! — mon cœur, mon sang, ma chair ! » Ciel ! être en proie aux flots, c’est être en proie aux bêtes. Oh ! songer que l’eau joue avec toutes ces têtes, Depuis le mousse enfant jusqu’au mari patron, Et que le vent hagard, soufflant dans son clairon, Dénoue au-dessus d’eux sa longue

La chair et le marbre. Je cite de Michel-Ange* « J'ai vu un ange dans le marbre et j'ai seulement ciselé jusqu'à l'en libérer. » Michel ange a été une source d’inspiration pour Rodin ce qui le poussa a être attachée a la grec antique et en particulier le travail du marbre La chair : tissus musculaire et conjonctif du corps humain que recouvre la peau Le marbre : roche métaphorique calcareuse très dure Rodin artiste modeleur, travaillant essentiellement le bronze il réussit a imitée

l'Achéron : Modulant tour à tour sur la lyre d'Orphée Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. Gérard de Nerval (1853) Carmen Carmen est maigre, — un trait de bistre Cerne son œil de gitana. Ses cheveux sont d’un noir sinistre, Sa peau, le diable la tanna. Les femmes disent qu’elle est laide, Mais tous les hommes en sont fous : Et l’archevêque de Tolède Chante la messe à ses genoux ; Car sur sa nuque d’ambre fauve Se tord un énorme chignon Qui, dénoué, fait dans l’alcôve Une mante à son corps

Martinique comme contrôleur des îles du Vent. Il se retire ensuite à Pierry, près d'Épernay, pour se consacrer à ses goûts littéraires. En 1763, il publie L'Aventure du pèlerin, un court apologue dénonçant l'hypocrisie de la cour, puis en 1772 Le Diable amoureux, qui lui vaut d’être considéré comme l’un des pionniers de la littérature fantastique française. En rédigeant Voltairiade en 1783, il critique la philosophie des Lumières. Il publie encore la Guerre de l'opéra,; Ollivier, poème en douze chants;