La Belle Image

vengeance, la ruse, le voyage et l’aventure Personnages principaux  : Schahriar, Schéhérazade, Dinarzade puis Douban,, Sidi Nouman, Ali Baba et Morgiane Résumés : Menacée de mort par le sultan Schahriar, le belle Schéhérazade met au point un ingénieux stratagème pour échapper à son sort : tous les soirs, elle entame une histoire qu’elle ne termine jamais avant le lever du jour. Finalement, le sultan lui fera grâce et décidera de l’épouser.

Virgile, Géorgiques L'antithèse L'antithèse juxtapose deux éléments de sens contraire dans un même énoncé. ex. : Joyeux, j'ai vingt-cinq ans, triste, j'en ai soixante. Hugo, Les contemplations Lorsque l'antithèse est condensée en une seule image, on l'appelle un oxymore ex. : Le soleil noir de la mélancolie. Nerval, El Desdichado Le chiasme Semblable au parallélisme dans sa construction et dans ses conséquences sur l'effet produit, le chiasme est conçu comme un miroir. On met un

ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes, Belle, sans ornement, dans le simple appareil D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil. Que veux-tu ? Je ne sais si cette négligence, Les ombres, les flambeaux, les cris et le silence, Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs, Relevaient de ses yeux les timides douceurs, Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue, J'ai voulu lui parler, et ma voix s'est perdue : Immobile, saisi d'un long étonnement

mourir L3 : comparaison « comme la feuille d’une pervenche » / termes péjoratifs pour désigner la peau « lambeau », « fragile et petit » => met en avant la fragilité de la peau et donc que le personnage arrive à sa finL4 : apostrophe « belle image de ma belle vie » => souligne l’amour porté pour cette femme et la fierté d’une vie réussieL5 : « disons-nous adieu » impératif => Raphaël annonce sa mort à Pauline / l7-8 : il révèle ce qu’est la peau de chagrin et qu’elle incarne sa propre vieL10 :

venu vers moi. Il s’est fait connaître et il m’a dit : « Je vous connais depuis toujours. Tout le monde dit que vous étiez belle lorsque vous étiez jeune, je suis venu pour vous dire que pour moi je vous trouve plus belle maintenant que lorsque vous étiez jeune, j’aimais moins votre visage de jeune femme que celui que vous avez maintenant, dévasté. » Je pense souvent à cette image que je suis seule à voir encore et dont je n’ai jamais parlé. Elle est toujours là dans le même silence, émerveillante.

vivien au travers d’une image du printemps et a fortiori de ce qu'est son "vrai" printemps ? Colette y répondra au travers de ce texte tout d’abord en décrivant avec force détail mélioratif le printemps de Nice, puis en expliquant pourquoi celui-ci n'est malgré tout pas un vrai printemps et enfin ce qu'est pour elle le vrai printemps. La question de mondanité se pose car le printemps niçois représente ici une toute autre dimension de la mondanité avec le “Midi” comme image, exemple illustrée de cette

Image de la pièce de Théâtre de Molière, Les Fourberies de Scapin, avec Scapin et Argante, Acte I, scène 4. " Scapin : Eussiez-vous voulu qu'il se fut laissé tuer ? Il vaut mieux encore être marié, qu'être mort. Argante : On ne m'a pas dit que l'affaire se soit ainsi passée. Scapin : Demandez-lui plutôt. Il ne vous dira pas le contraire. Argante : C'est par force qu'il a été marié ? " Extrait de la pièce de Théâtre de Molière, Les Fourberies de Scapin, Acte I, scène 4, créée en 1671.

représentation.   Quand on dit qu'une oeuvre est représentation, ce peut être au sens de reflet d'un modèle naturel donné ou résultat d'une activité originale, d'un style d'une manière de voir. Dans le premier cas la représentation est une simple image, le redoublement d'une apparence: le sensible est présenté une seconde fois (vu, puis reproduit). La représentation devient alors le résultat d'une double déformation, d'un double aveuglement: l'image comme forme sensible d'une chose et la représentation

entière. Et si elle semble belle, et imposante on ne peut s'empêcher de la trouver triste, lugubre, désireuse de jours meilleurs. Elle est le centre de toute l'histoire et subi chaque intrigue l'une après l'autre... Les femmes s'y dévergondent, les hommes s'y divertissent, même les hommes de foi (cf. le Cardinal) ne résistent pas à son ambiance malsaine. Les personnages s'adressent d'ailleurs directement à elle à plusieurs reprises (cf. Acte II, scène 3, ligne 160 "Que tu es belle, Florence, mais que tu

devenir importante au cours des deux prochaines décennies. A l'occasion du suicide de Marilyn Monroe en Août 1962, Warhol a utilisé cette image pour sa sérigraphie. Il s'agissait d'une publicité photographiée par Gene Korman pour le Niagara film, réalisé en 1953. Warhol était fasciné par les concepts morbides. Parfois, cependant, les résultats sont étonnamment belle, tels que les résonnants, images brillamment colorées de Marilyn Monroe. Les toiles de Marilyn étaient les premiers exemples d'utilisation