La Beauté Dans Le Regard

part, Baudelaire, évoque la beauté et le côté extraverti de la passante. En effet, il y va d’emblée en dressant un portrait enchanteur au sujet de la femme qui possède une beauté à en couper le souffle. Par l’utilisation de la métonymie, <<Avec sa jambe de statue>> (vers 5), le narrateur vient prouver à quel point il idéalise cette femme à la beauté unique. Le fait qu’elle possède une si grande beauté vient expliquer pourquoi Baudelaire a posé un regard admirateur sur celle-ci. Cet aspect

n'avaient principalement pour but que d'être pratiques. Il apparaît donc que lorsque l'utilité a disparu, la beauté prend sa place. Mais alors, la beauté qui se traduit dans le regard de chacun, n'est-ce qu'une aberration ? Et bien non, ces objets se trouvaient non seulement pratiques, mais aussi d'une grande beauté, souvent enfouie sous cette praticité. Et une fois cette utilité enfuie, seule la beauté est mise en avant, et cela donne l'impression que ces deux concepts sont divergents, voir discordants

Vautrin, le personnage principal de l'extrait du Père Goriot. En effet, c'est lors de cette description que le personnage nous apparaît comme antipathique : il est dit qu'"il imprimait la crainte par un regard profond et imperturbable [...]", l'imparfait "imprimait" utilisé ici sert à indiquer que son regard est en permanence appeurant, que c'est naturel chez cet homme ; et qu'"à la manière dont il lançait un jeu de salive, il annonçait un sang froid qui ne devait pas le faire reculer devant un crime [

plaire aux yeux ». En ajoutant « aux yeux », Boileau met en exergue l’aspect visuel purement esthétique au détriment du plaisir d’une émotion. Nous allons donc aborder la fonction première de l'art en tant que miroir du réel indissociable de la beauté formelle, puis nous examinerons l'art en tant que représentation picturale ou graphique d’une réalité susceptible de susciter un intérêt autre que purement esthétique. La problématique repose donc sur le sens donné au verbe « plaire ». Dans l’antiquité

évolue-t-il vers la peinture sociale ? Nous verrons dans un premier temps que Mme de Chartres est une héroïne idéale, puis nous remarquerons qu’elle se situe dans une certaine position sociale. I Une héroïne idéale 1) Une beauté * Apparait par une beauté répétée deux fois * Description physique valorisante (blancheur de son teint, cheveux blond) signifie qu’elle appartient à l’aristocratie * Mme de Chartres archétype de roman de chevalerie * Le portrait physique va vers

personnage son le reflet de l'époque ( femme :vertu (force de caractère) gloire); ( homme : courage moral physique, maitrise d eson corp + esprit), société fondée sur le regard . Extrait 1 « Première rencontre » « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu ou l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres

Se faire lustrer le minou en plein air dans une petite voiture n'est pas pour déplaire à cette brune chaude, alors son amant ne la conduit pas à l'abri des regards, il la baise sur place. Niquer avec cette beauté n'a rien d'un parcours du combattant car elle ouverte à toutes les pratiques sexuelles ayant grâce aux yeux des salopes de videos x. Ainsi, elle suce cette bite avec passion avant de se faire épingler la chatte dans diverses postures. Elle pousse d'abord son string pour que le sexe la pénètre

avait ouï (…) et même de l'impatience de le voir » ; puis de M. Nemours lorsqu'il rencontre Mme de Clèves : l.16-17 «M. de Nemours fut tellement surpris (…) des marques de son admiration.» ainsi que des autres invités du bal : l.6 «l'on admira sa beauté»; l. 18 « il s'éleva dans la salle un murmure de louanges». De même dans le texte de Stendhal, nous retrouvons les marques de la focalisation zéro comme nous pouvons le voir au début du récit : l.1-2 «Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles

l'art dévoile le réel Hegel : apparence = pas illusion / artiste n'imite pas la nature, Bergson : comme langage exprime mal la réalité, l'art peut exprimer l'indicible ---< L'art nous apprend à avoir un regard non utilitaire sur les choses. -l'art éduque à la beauté Kant : distingue agréable/beau : beau = universalité, agréable = relatif -l'art en apprend sur le monde oeuvre engagé ex : Banksy, jace... L'artiste joue un role prébondérant dans notre soicité

celle-ci est éblouie par le charme du Français : « […] tu m’as embrassé la nuque. Encore une fois, ta beauté m’a frappé […] elle se jetait sur moi d’une façon presque choquante qui me forçait à regarder ailleurs. » (p.198). Le paradoxe frappant ici est le fait que Nelly Arcan ne soit pas capable de regarder le Français. En principe, à la vue d’une belle personne, nous sommes portés à vouloir la regarder. Ainsi, il est assez paradoxal qu’une personne étant physiquement attirée par une autre personne détourne