L Indépendance Du Juge Administratif

TD3 : droit administratif / Marie-Laure Cavalié grpe 4 « C’est tout un équilibre conceptuel des juridictions administratives, fruit d’une longue tradition juridique française qui a paru un temps mis en cause » ainsi le prononça François Di Palma dans son écrit évoquant le changement de commissaire du gouvernement à rapporteur public. En effet selon lui ce changement aurait pendant un certain temps menacé non seulement ce poste mais notamment la juridiction administrative elle-même. Au début

que le gouvernement ne joue plus de rôle dans la juridiction. Les gouvernants qui composent l’Etat, ont la tâche de faire appliquer les lois et de les faire respecter. « Son soucis était de leur voir conférer par le juge une valeur supraconstitutionnelle », c’est-à-dire que le juge donnera à ces droits une valeur plus grande que les articles de la constitution, mais « la conception française de la souveraineté populaire opposait alors un formidable barrage à la réception d’une telle construction »

l’administration. Loi du 16 et 24 aout dispose que les juges ne pourront troubler les corps administratifs. Interdiction pour les juges d’empiéter sur les compétences de l’administration en lui ordonnant de prendre une mesure. Cette interdiction a été tempérée par la loi du 8 février 1995. Lorsqu’un jugement ou un arrêt implique qu’une personne morale de droit public prenne une mesure dans un sens déterminé, le juge prescrit cette mesure assorti d’un délai d’exécution. Cela permet d’enjoindre l’administration

loi, n’est-ce pas de respecter le domaine fixé à celle-ci par la Constitution ? Plus largement, au nom du principe de légalité (que Bernard Stirn définit comme « la soumission de l’administration au droit » et qui est au fondement même du droit administratif), les obligations du pouvoir règlementaire à l’égard de la loi peuvent-elles se résumer au respect de celle-ci ? Ce serait trop réducteur, car toujours selon B. Stirn, « ce principe de légalité se compose de deux éléments : l’obligation de conformité

judiciaire en France Présentation des tribunaux qui existent en France. Dans l’organisation judiciaire : indépendance des juges. Une juridiction : n’importe où se rend la justice. Une instance qui rend la justice. On rend la justice soit en tranchant les litiges entre particuliers, soit en sanctionnant les infractions (=juridiction pénale) Il est possible de recourir à l’arbitrage (par recours au juge) dans certains domaines. Les arbitres sont des experts indépendants. Autorité de la chose jugée :

juridictionnelle et il comporte également les règles de la procédure administrative (étapes d’une instance, procès). En revanche il ne comporte que ce qu’on l’on appelle les compétences générales, les juridictions administratives. Il s’agit du tribunal administratif, de la Cour administrative d’appel et le conseil d’état §2 : Les précisions de vocabulaire On distingue 4 précisions de vocabulaire - Distinction entre judiciaire et juridictionnelle Judiciaire : au début du 19eme siècle d relatif à

définitive par l’économiste anglais Adam Smith. Ainsi, la notion de principe général du droit est connue de presque toutes les disciplines. Ce sont des principes généraux de droit reconnus même en l’absence de texte. A titre d’exemple, le droit administratif et le droit international public possèdent aussi leurs principes généraux qui constituent une source du droit. Le droit fiscal n’échappe pas à cette ontologie de la norme. Les principes généraux de doit ne deviennent toutefois une source

partie : Le statut de la presse A / Les entreprises de presse 1) Les principes de transparence et d'indépendance 2) Le pluralisme des courants socioculturels 3) Les aides publiques B / Les formalités et contrôles administratifs concernant les publications écrites 1) Le mécanisme du contrôle préalable 2) Les contrôles préalables propres à certaines publications écrites

législateurs, c’est une relation tripartite. II) L’Interdiction d’émiction On a demandé au juge d’appliquer la loi, mais de ne pas légiférait et de ne pas se substituer à l’exécutif. L’art 5 CCivil : Le juge ne peut disposer de manière générale et ne peut se prononcer par une voie générale et réglementaire sur les causes qui lui sont soumise. Il ne peut pas juger la loi L’art 12 Ccivil : Le juge tranche sur le litige conformément aux règles de droit qui lui sont applicable, il ne doit pas vérifier

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