L Independance Et L Impartialite Du Juge Administratif

législatif et du pouvoir exécutif). A proprement parler en France, le pouvoir judiciaire n’existe pas : titre VIII de la C intitulé « De l’autorité judiciaire » et non « Du pouvoir judiciaire ». Ne pas confondre indépendance des juridictions et indépendance des juges : impartialité et indépendance. Section 1 : La protection constitutionnelle de l’indépendance de la justice §1 – La reconnaissance constitutionnelle de l’indépendance de la justice Le principe constitutionnel de l’indépendance de

Casal TD 2, le juge administratif AgenCélia Licence Accès Santé 2, filière KinéDissertation : Le dualisme fonctionnelLors de sa création en 1799 par Napoléon Bonaparte, le Conseil d’État a été défini par l’article 52 de la Constitution du 22 frimaire an 8 qui dispose que « un conseil d’état est chargé de rédiger des projets de lois et les règlements d’administration publiques et de résoudre les difficultés qui s’élèvent en matière administrative » affirmant ainsi la double fonction du Conseil d’État

sur une liste de 3 candidats présentés par la haute partie ctante concernée. Mandat de 6 ans avec limite d’age de 70 ans. Le mandat est renouvelable :critique car pas facteur d’indépendance des juges. Prestation de serment avec honneur, indépendance, impartialité + exigences posées par la convention elle-même qui sont les compétences requises pour exercer les plus hautes fonctions judiciaires dans l’ordre juridique. La parité n’est pas parfaite. L’assemblée parlementaire peut-elle écarter une liste

sociétes et son indispensables, par ailleurs tt société demo , repose sur le faite que nul ne peut se faire justice lui meme. les institution reponde a ce besoin de juge . institution jurditionnel ce sont les institution qui " disent le droit" nous etudirons les instituions de l ordre judiciare que les institutions de l ordre administratif . l organisation juridictionnel elle def par la loi et ellle est assez stable depuis la rev french . cependant il ya eu des evolution au gre des chg politique

d’application (décrets) sont prises par le gouvernement. Ce qui génère deux séries de textes sur le même sujet. Les matières qui ne sont pas du domaine de la loi ont un caractère réglementaire qui relève de la compétence du gouvernement (règlements administratifs). C) L’élaboration de la loi Un texte préliminaire est présenté aux deux assemblées parlementaires qui le votent, généralement après l’avoir modifié par voie d’amendement. a) L’initiative des lois ( L’initiative des lois appartient :

des conflits entres deux particuliers ; et l’ ordre administratif/ ordre pénal qui va s’ occuper des conflits de Droit Public à savoir entre un particulier et l’ Etat. Pour régler un conflit, il y’ a un acte solannel, c’ est le fait de rendre un jugement par ex : un arrêt, une sentence, une ordonnance, etc… Cet acte intervient au terme d’ une procédure, il y’ a donc deux types de procédure, à savoir une procédure de type accusatoire où le juge est de type passif, il intervient uniquement à la fin

consiste en une répartition de compétences entre deux juridictions distinctes : L'ordre administratif et l'ordre judiciaire, ayant à leur tête respectivement le Conseil d'Etat et la Cour de Cassation. L'existence de ces deux ordres de juridiction distincts est, en France, le produit de l'histoire. Elle résulte de la loi des 16 et 24 août 1790 et du décret du 16 Fructidor An III, fruits de la volonté d'empêcher le juge judiciaire de s'immiscer dans les questions de l'administration. La loi des 16 et

repassée en Justice. Force exécutoire : effet attaché au jugement qui permet de recourir à la force publique pour obtenir l’exécution du jugement. * L’Etat est tenu de rendre la Justice quand cela lui est demandé. Article 4 du Code Civil : Si un juge refuse de statuer, il est coupable d’un déni de justice. * L’Etat a un monopole mais doit respecter des modalités : rendre la justice dans un délai raisonnable et respecter les principes d’équité énoncés dans la Convention européenne des Droits

parties : la jurisdictio. Cela renvoie à l’imperium, le fait que l’État puisse imposer le respect d’une décision : la décision est assortie d’une décision exécutoire. L’article 4 du code civil sanctionne le juge qui se soustrairait à son devoir de juger : interdiction du déni de justice. « Le juge qui refusera de juger, sous prétexte du silence, de l'obscurité ou de l'insuffisance de la loi, pourra être poursuivi comme coupable de déni de justice. » A – La notion d’institution judiciaire.

collectivité (un particulier demande à une mairie un permis de construire, que l’on lui refuse  conflit), que l’on dit alors « de droit public » (ordre administratif). Le point commun entre ces conflits est qu’ils sont tranchés via un « acte juridictionnel » (un jugement, un arrêt, une ordonnance ou une sentence). On distingue procédure inquisitoire (le juge a un pouvoir d’enquête) et procédure accusatoire. En France, les procédures tendent à être plus souvent accusatoires. L’ensemble des juridictions